Les retraités, majoritairement propriétaires de leur logement, peuvent se retrouver à la tête d'un patrimoine immobilier parfois conséquent. Ainsi, un propriétaire à Paris depuis 35 ans a vu la valeur de son immobilier multipliée par 9, tandis que ce chiffre n’est que de 2,4 ailleurs en France sur 21 ans, Avec l’arrivée de l’Impôt sur la fortune immobilière (IFI), des solutions existent pour permettre aux seniors de réduire ce nouvel impôt !
Une de ces solutions : vendre les murs de son bien et ne conserver uniquement que l'usage de ce dernier. Cela permet d'abord aux seniors détenteurs d'un patrimoine immobilier de dégager immédiatement des liquidités mais également de baisser leur assiette d'imposition à l'IFI et donc leur impôt sur le patrimoine. En effet, le capital obtenu à l'issue de la transaction, s'il est investi sur des actifs financiers, va sortir de l'assiette imposable au futur IFI. Ainsi, grâce à la vente avec usage et valeur garantis, il sera possible pour un senior de vendre son bien tout en conservant le droit d'y habiter à vie. Et s’il venait à décéder prématurément, ses héritiers percevront un capital complémentaire. La famille est ainsi assurée de percevoir dans tous les cas une valeur très proche de la valeur du bien vendu. A l'inverse d'une vente en viager, le patrimoine ne risque pas d'être bradé en cas de décès prématuré : la valeur est ainsi garantie.
Une de ces solutions : vendre les murs de son bien et ne conserver uniquement que l'usage de ce dernier. Cela permet d'abord aux seniors détenteurs d'un patrimoine immobilier de dégager immédiatement des liquidités mais également de baisser leur assiette d'imposition à l'IFI et donc leur impôt sur le patrimoine. En effet, le capital obtenu à l'issue de la transaction, s'il est investi sur des actifs financiers, va sortir de l'assiette imposable au futur IFI. Ainsi, grâce à la vente avec usage et valeur garantis, il sera possible pour un senior de vendre son bien tout en conservant le droit d'y habiter à vie. Et s’il venait à décéder prématurément, ses héritiers percevront un capital complémentaire. La famille est ainsi assurée de percevoir dans tous les cas une valeur très proche de la valeur du bien vendu. A l'inverse d'une vente en viager, le patrimoine ne risque pas d'être bradé en cas de décès prématuré : la valeur est ainsi garantie.