Même s’il faudra  attendre encore pour connaître les chiffres pour 2016 concernant les taux de fréquentation des parcs français et européens, l’association internationale des parcs a diffusé mi-août  son rapport annuel concernant le nombre de visiteurs des parcs et musée du monde entier en 2015. Focus sur ces chiffres et sur ce qu’il en ressort.
 

A l’image de l’excellent taux de fréquentation qui avait été enregistré l’an dernier, les 25 plus grands parcs du monde attirent toujours autant de visiteurs. En 2014, les billetteries de parc avaient enregistré 223,5 millions d’entrées. En 2015, elles en ont constaté 12 millions de plus, ce qui équivaut à une progression de 5,4 %.

Parmi les parcs d’attraction qui se sont distingués, on note une belle fréquentation des parcs régionaux français,  comme celui du Pal par exemple. En effet le parc d’attraction du Pal dans l’Allier a battu son record de fréquentation avec plus de 575 000 visiteurs en 2015, soit une hausse de 1,6 % par rapport à l’année précédente.

Ce parc a su prendre le virage et s’adapter aux nouvelles demandes de ses clients, en proposant notamment des Safari lodges. Ces loges africaines, qui permettent aux visiteurs de dormir dans le parc au milieu d’animaux évoluant en semi-liberté, ne désemplissent pas.

D’autres parcs d’attractions régionaux tirent leur épingle du jeu, comme celui de Walibi Rhône-Alpes (400 000 visites en 2015, sa meilleure affluence depuis 10 ans) ou bien encore le parc végétal Terra Botanica (hausse de 33% des visites par rapport à l’année précédente).
 

Cette hausse constante des taux de fréquentation des parcs d’attraction en France notamment, peut s’expliquer d’une part, par la belle saison printemps-été  2015 que nous avons eu dans l’Hexagone, et d’autre part par l’arrivée de nouveautés dans différents parcs (Safari Lodge au Pal, le grand-huit en bois Timber de Walibi Rhône-Alpes, etc.).

Cette très belle saison pour les parcs en France et aux alentours devrait se confirmer en 2016, à la vue des premières estimations. Réponse à la fin de l’année pour un bilan complet.