Victoire du OUI pour une Santa Cruz autonome
Le referendum de dimanche dernier a été favorable pour le statut autonome de la région de Santa Cruz en Bolivie. Une victoire qui marque la fracture du pays et le début d’un nouvel affrontement entre partisans du gouvernement socialiste d’Evo Morales et opposition nationaliste.
900 000 électeurs ont voté dimanche pour le referendum sur l’autonomie de la région de Santa Cruz, le OUI l’emporte avec 82 % des voies. Une Santa Cruz autonome depuis Dimanche, c’est le bouleversement total de l’économie du pays, en effet, cette région est vitale pour le développement de la Bolivie car elle renferme d’importantes réserves de gaz naturels.
Alors que le referendum annonce la victoire du OUI pour l’autonomie de la région, les résultats heurte à la fois le contexte sociale avec affrontement des Amérindiens et des populations européennes et dans un contexte politique car le gouvernement socialiste d’Evo Morales n’a pas l’intention de reconnaître ces résultats : « Ce référendum est illégal et inconstitutionnel ».
L’enjeu est surtout de taille économique que joue la région de Santa Cruz, les réserves de gaz naturel produisent le tiers de la richesse de la Bolivie et qu’Evo Morales veut nationaliser, inacceptable pour les nationalistes, cette région productrice, les conservateurs veulent la diriger seuls.
Après l’annonce du scrutin, des violences n’ont pas attendu à éclater socialistes et nationalistes, on compte 21 blessés à Santa Cruz. Les deux camps devraient dans les prochains jours se lancer dans les négociations sous peine de voir trois autres régions qui réclameront leur autonomie d’ici Juin prochain.
Alors que le referendum annonce la victoire du OUI pour l’autonomie de la région, les résultats heurte à la fois le contexte sociale avec affrontement des Amérindiens et des populations européennes et dans un contexte politique car le gouvernement socialiste d’Evo Morales n’a pas l’intention de reconnaître ces résultats : « Ce référendum est illégal et inconstitutionnel ».
L’enjeu est surtout de taille économique que joue la région de Santa Cruz, les réserves de gaz naturel produisent le tiers de la richesse de la Bolivie et qu’Evo Morales veut nationaliser, inacceptable pour les nationalistes, cette région productrice, les conservateurs veulent la diriger seuls.
Après l’annonce du scrutin, des violences n’ont pas attendu à éclater socialistes et nationalistes, on compte 21 blessés à Santa Cruz. Les deux camps devraient dans les prochains jours se lancer dans les négociations sous peine de voir trois autres régions qui réclameront leur autonomie d’ici Juin prochain.
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