CHRISTIANE J.*****

07/01/2009

Je n'en crus pas mes yeux....




Je n'en crus pas mes yeux lorsqu'après le tournant de la rue je découvris une maisonnette ruisselante de lumières : le traîneau étincelant tiré par des rennes fougueux, des étoiles constellant arbres et arbustes, des angelots protecteurs accrochés aux volets, des myriades de guirlandes formant des entrelacs multicolores,
Je restais bouche bée devant tant de profusion lumineuse et crépitante qui surgissait dans la pénombre du quartier.
C'est alors que mon petit fils me dit « c'est la maison de Kévin, c'est normal, son père est électricien ! ».

Ce qui n'enleva rien à la magie du moment ...

Chritiane J, début janvier 2009.

Super réponse d'un super petit fils hi hi

Bises à toi et merci : je m'y revois... Pascale.


Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 07/01/2009 à 21:17

PASCALE *****

Voeux (répétition d'un courrier reposant sur l'onglet jeux nouveaux)


A ceux ou celles que j'aurais raté faute d'organisation car entre les SMS, les vrais courriers et les mails, hi hi, je ne sais plus bien qui j'ai joint ou pas.

Que chacun de vous trouve la part de bonheur qu'il espère. La santé d'abord parce que sans elle, impossible de profiter de ce bonheur possible.

Que vos projets se réalisent et que vous gardiez tous le désir de communiquer, par écrit ou à l'oral mais en tous cas, avec talent et envie de partage...

Je n'ai pas encore eu le temps de revenir sur le site car ces vacances m'ont largement occupée et lorsque j'étais dans le Nord, je n'ai pas pu accéder à notre page mais dès ce soir, promis, un nouveau jeu d'écriture pour les courageux.

En attendant bonne journée et gros bisous.

Pascale



Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 06/01/2009 à 07:49

PASCALE *****

22/12/2008

Gros bisous à tous et bonnes fêtes...



Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 22/12/2008 à 09:59

M-FRANCE *****

Je n’en crus pas mes yeux, quand apparurent au loin
Un traîneau et un renne pas plus gros que le poing

Poursuivre ....


Jeu de fin d'année...

Je n’en crus pas mes yeux, quand apparurent au loin
Un traîneau et un renne pas plus gros que le poing
Sergueïl s’en revenait ?
Que s’était-il passé ?
N’avait-il pas trouvé
Ses loups qu’il recherchait ?
Qu’était donc devenue la meute qu’il aimait tant
Fort traquée par son clan,
Mais que lui, jeune évène
Préférait à ses rennes.
Une louve, Voulka, et son mâle Torok
Tous deux heureux parents de petits louveteaux
Avaient mis quelque mois avant de croire en lui
La confiance était là maintenant, et tant pis
Si du clan et des siens son père l’avait banni.
Trop de rennes étaient morts, mais trop de loups aussi.
Il rêvait à la paix « canidés, cervidés ».
Il voulait oublier leur haine héréditaire
Et les imaginait, paisibles, côte à côte
Leur museau se frôlant au dessus du parterre.
Tout ça prendrait du temps,
Il n’était pas pressé, il n’avait que 16 ans.

Marie France décembre 2008





Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 20/12/2008 à 22:43

CHRISTIANE J.*****



Dieselle, la petite chatte de la famille, arpente la cuisine avec nonchalance, soudain elle bondit prestement sur la table de la cuisine, saisit un morceau de viande et s'enfuit par la fenêtre.

L'ingrate ! Nous qui la choyons si tendrement !

Le soir venu, elle réapparaît, va se rafraîchir délicatement le gosier dans sa soucoupe et, toute honte bue, s'installe sur son coussin douillet, nous ignorant totalement.

Christiane J. Décembre 2008.



Merci beaucoup et bonnes fêtes à tous...



Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 17/12/2008 à 22:05

PASCALE *****

Je n'en crus pas mes yeux quand ... (apparut au loin,
un traineau et huit rennes pas plus gros que le poing) ....

Continuer avec ou sans ce qui est entre parenthèse...


Je n'en crus pas mes yeux quand apparut au loin,
Un traineau et huit rennes pas plus gros que le poing.
J'étais bien éveillée mais n'étais sure de rien.
Et puis ce gros bonhomme, souriant et complice,
Etait-il vraiment "vrai" ou fait de pain d'épice?
Je regardais les grands qui parlaient en riant
Mais moi ne voyais là, rien de vraiment marrant.
En fait j'avais très peur, peur qu'ils tombent, nous écrasent,
Que le ciel étoilé, que les chants plein d'emphase
Soudain s'emparent de moi, de mon âme et m'emporte
Et que le lendemain, dans le froid, demi-morte,
On retrouve mon corps entouré de cadeaux,
Cadeaux post-mortem de gens soudain penauds.
Et puis ouvrant les yeux je savais qu'à mon âge,
Que le seul père Noël serait celui des sages...
Celui que je créerai, un monde à mon image
Pour que d'autres enfants rêvent à d'autres voyages...
Je cours les magasins, j'empile cadeaux et gages...
Puis ma famille servie je vais sur notre page.

Il y a tant à faire, tant de gens à aimer,
il y a tentation de ne pas regarder.
Pour moi c'est décidé car dès demain j'irai
Déposer un cadeau aux pieds d'un oublié.

Bisous à tous

Pascale

J'irai donné un cadeau au type qui fait la manche devant la poste. Ma fille lui offre parfois une coupe de cheveux et si certains nous disent encore, amers : " bof, il en a peut-être plus que toi", moi je sais que ça peut m'arriver un jour...




Je vous souhaite de joyeuses futures fêtes...
Je vous souhaite de joyeuses futures fêtes...


Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 14/12/2008 à 23:31

M-FRANCE *****

09/12/2008

Les adverbes



Rédiger un texte (court récit ou dialogue) en utilisant un adverbe dans chaque phrase.



Pour en faire un texte drôle, il suffit de chercher

à rapprocher l’adverbe d’un autre mot de la phrase.



exemple : vous n’avez pas vu le feu rouge ?

dit vertement l’agent.


Des Adverbes…..

Sans attendre la sonnerie du réveil, vaillamment, elle sauta du lit. Après une toilette sommaire et un café rapidement avalé, elle bondit au volant de sa voiture et vivement, sans se soucier des limitations de vitesse, se rendit là où on l’attendait. Elle voulait être là pour le premier appel. Impatiemment elle surveillait sa montre ; 8h n’arriverait donc jamais ? Enfin un dring.. .troubla le silence et la fit sursauter, cet appel était pour elle, fébrilement elle se saisit du téléphone « Téléthon ,bonjour, c’est pour une promesse de don ? », souriante elle remplit posément la partie réservée sur l’enveloppe. Avant de raccrocher, elle remercia chaleureusement la généreuse donatrice. La journée démarrait bien…


Marie France décembre 2008.




Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 09/12/2008 à 13:06

Lorsque le cochon pointa son nez dans la cuisine, quelle ne fut pas sa surprise de trouver sur la table un plat fumant de pois au lard …



Tête de lard.....

Lorsque le cochon pointa son nez dans la cuisine, quelle ne fut pas sa surprise de trouver sur la table un plat fumant de pois au lard …

Bien sûr, il était entré attiré par l'odeur mais son coeur se souleva lorsqu'il comprit que le fumet était dû à des lardons de sinistre origine.
Son groin se plissa, sa queue frémit.
Ainsi ces hommes ne les nourrissaient grassement lui et ses congénères que pour mieux s'en régaler.
Pris de fureur, il s'arc-bouta sous la table et de toutes ses forces fit basculer le plat qui atterrit sur le sol avec fracas.
Sans attendre, il s'enfuit droit devant lui, dégoûté à jamais du genre humain, bien décidé à devenir un cochon sauvage pas près d'être capturé.

Christiane J. Décembre 2008.




Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 05/12/2008 à 22:28

CHRISTIANE J.*****

05/12/2008

mots pour une seule phrase...

Oser origine servir espoir rire





L'histoire de la pomme, moi j'ose en rire : à l'origine il y eut Adam et Eve qui se servirent des attributs que Dieu leur avait donnés, un point c'est tout, ou plutôt ce fut le début d'une longue histoire qui a parfois mal tourné, mais après tout rien n'est jamais perdu puisque l'espoir fait vivre.

Christiane J. Décembre 2008


Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 05/12/2008 à 22:22

CHRISTIANE J.*****

Jeu des chiffres (un dans la première phrase, deux dans la seconde, trois etc...)


Les chiffres …

1, 2 3, je m'en vais au bois …
Non je n'enchaînerai pas avec la suite, ce serait de la paresse !
Et ce n'est pas le cas puisque je viens de remplir 4 sacs avec les feuilles qui tombent de mon bouleau et qui, surtout, s'envolent par-dessus la clôture et s'éparpillent dans le jardin de mon voisin.
Il m'a d'ailleurs fait remarquer que lui il en était à son 5ème sac depuis le début de la semaine.
Voilà plus de 6 ans qu'il me bassine avec les désagréments provoqués par mon unique arbre.
J'ai tourné 7 fois ma langue dans ma bouche pour me retenir de lui dire qu'un peu d'exercice ne nuit pas.
D'ailleurs, avec le vent et la pluie la chute des feuilles s'est accélérée et d'ici 8 jours on n'en parlera plus …. jusqu'à l'année prochaine.


Christiane J. décembre 2008


Ma parole! Mais tu habites à mon ancienne adresse ou quoi hi hi : mon voisin râlait tout autant et moi je riais sous cape en lui disant : vous savez, finalement, c'est tellement agréable de marcher sur les feuilles. On se croirait en forêt ouarf ouarf ouarf...






Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 05/12/2008 à 22:18