Le blog de Pierre PASCALLON

LE BLOG de Pierre PASCALLON
QUELLES OPPORTUNITES ET QUELS RISQUES POUR CLERMONT-FERRAND AVEC LA FUSION LYON ET RHONE-ALPES ?

Pierre Pascallon



Professeur agrégé de Faculté


ancien Parlementaire


vous convie


a l’occasion de la parution de son dernier ouvrage 1


à une rencontre débat autour de l’interrogation :


« Quelles opportunités et quels risques pour Clermont-Ferrand

avec la fusion avec Lyon et Rhône Alpes ? »


Avec :

 

Claude BOST : responsable CFDT défense nationale
 

Maurice BOURRIGAUD : Président du Directoire de la Caisse d’Epargne d’Auvergne et du Limousin
 

Marc DAUZAT : Directeur de projet. Aubert&Duval
 

Dominique LACROIX : Ancien chef du service d’études du SGAR
 

Gérard LENOIR : Vice-Président du CESER (Conseil Economique, social et environnemental régional) Auvergne
 

Laurent RIEUTORD : Professeur des Universités, Directeur de l’Institut d’Auvergne du Développement des Territoires (IADT)
 

Véronique SAUZEDDE : Directrice de la FNSEA Auvergne et Massif Central

 

 


Pierre PASCALLON

V- l' A.P.D.A.

01/11/2015 - 14:36

V- l' A.P.D.A.

L’EVENEMENT

 

la sortie



le 2 Novembre 2015


de


l’ouvrage de

PIERRE PASCALLON !



"QUEL AVENIR POUR

CLERMONT-FERRAND ET L'AUVERGNE

A L'HEURE DE LA FUSION

AUVERGNE - RHONE ALPES" ?


 

* En vente dans les librairies et points de presse

* Ou en commande directe à l’éditeur : prix 10€ + frais d’envoi 3€

Editions ACVAM - 8 rue de la Poste - 63116 Beauregard l’Evêque



 

L’EVENEMENT ! LE NOUVEAU LIVRE DE PIERRE PASCALLON !

Pierre PASCALLON

V- l' A.P.D.A.

19/05/2015 - 12:04

V- l' A.P.D.A.

Article n°134
TABLE RONDE DE LANCEMENT DE L'OUVRAGE SUR
« L'AVENIR DE LA DISSUASION NUCLEAIRE FRANCAISE FACE AUX DEFIS ET AUX
CHANGEMENTS GEOSTRATEGIQUES D'AUJOURD'HUI ET DE DEMAIN »

Présidée et animée par Jérôme PELLISTRANDI

ESPACE L'HARMATTAN 
21BIS RUE DES ECOLES 75005 PARIS

LE SAMEDI 30 MAI 2015 A 15 HEURES
 
15H00 : Accueil des participants par Pierre PASCALLON, Président du Club Participation et Progrès.

15H15 : Des auteurs pour convaincre :

Monsieur Michel ROCARD, Ancien Premier Ministre.
et le Général Claude LE BORGNE, Patrice BOUVERET, Jean-Marie COLLIN, le Général Etienne
COPEL, Philippe COTHIER, l'Amiral François DUPONT, François GERE, 
 Georges LE GUELTE, Jean Pierre TIFFOU, Edouard VALENSI, Alexandre VAUTRAVERS.
…................................................................................................................................................

16H30 : Dialogue avec les auteurs :

17H30 : Vente et signature de l'ouvrage par les auteurs :
Pot de l'Amitié.

18H00 : Fin de la rencontre-débat.

Pierre PASCALLON

V- l' A.P.D.A.

18/04/2015 - 11:42

V- l' A.P.D.A.

GENERAL Denis MERCIER
GENERAL Denis MERCIER
CLUB PARTICIPATION ET PROGRES : Le Président Pierre PASCALLON, les membres du Bureau et du Conseil d’administration du Club Participation et Progrès seraient très heureux et très honorés de votre présence à la conférence
« Du Général d’Armée Aérienne Denis MERCIER, Chef d’État-major de l’Armée de l’Air, sur le thème :
«Les drones: plus qu’une révolution, un changement de paradigme pour les opérations.».
En partenariat avec  « la Revue Défense Nationale » Le lundi 4 Mai 2015 à 18h30 à l’Ecole militaire - 1 Place Joffre 75007 Paris
 CLUB PARTICIPATION ET PROGRES : BULLETIN D’INSCRIPTION « Conférence du Général Denis MERCIER » ! Ecole Militaire Française
: À renvoyer, dûment complété à M. Eric POURCEL Secrétaire Général ericpourcel4@gmail.com au plus tard pour le jeudi 30 Avril 2015 - impérativement par mail :
NOM :
PRÉNOM :
Adresse :
Fonction:
N° de tel/fax/adresse électronique de contact :
□ Participera à la Conférence du 4 Mai
□ Ne participera pas à la Conférence du 4 Mai L’inscription est obligatoire pour avoir accès à l’Ecole Militaire (1, Place Joffre – 75007 Paris)

CLUB PARTICIPATION AND PROGRESS: President Pierre PASCALLON, Club Participation and Progress’s Board, would be very pleased and honored by your presence at the conference

"From Denis MERCIER, French Air Forces General, Staff’s Chief of the “FRENCH AIR FORCE”, on the theme:
"Drones: more than a revolution, a paradigm shift for operations”!
In partnership with "National Defense Review" The Monday, May 4, 2015 at 18:30 at the French Military Academy - 1 Place Joffre 75007 Paris

CLUB PARTICIPATION AND PROGRESS "REGISTRATION FORM” General Denis MERCIER’s Conference! Please return duly completed this document to Mr. Eric POURCEL, Secretary General, ericpourcel4@gmail.com no later than Thursday, April 30, 2015 - by imperative Mail
NAME:
FIRST NAME:
Address:
Function:
No. tel / fax / e-mail contact:
□ Will participate in the Conference on May 4
□ Will not participate in the Conference on May 4 Registration is required to access the French Military Academy (1, Place Joffre - 75007 Paris)


 
 

Pierre PASCALLON

V- l' A.P.D.A.

23/03/2015 - 11:35

V- l' A.P.D.A.

Pierre PASCALLON
 

Ancien Député-Maire d’ISSOIRE
Professeur Agrégé de Faculté (honoraire)
 
 HOMMAGE à JEAN MICHARDIERE
 
            ● Pour nous, Jean MICHARDIERE, est bien avant tout « l’homme », le « chef d’orchestre » du « Plan Massif Central  et c’est à ce titre que l’on veut lui rendre hommage.
 
            - C’est en effet le Commissaire à l’Aménagement du Massif Central qu’il est depuis Juin 1974 qui va, pour beaucoup, préparer ce plan et l’avant projet de discours du Président Valéry GISCARD d’ESTAING, le 29 Septembre 1975 au cours d’une visite surprise au PUY EN VELAY devant le Conseil Régional d’Auvergne. C’est en fait – on s’en souvient – le 12 Mai 1975 que Monsieur GISCARD d’ESTAING , Président, avait demandé à M. Jacques CHIRAC – alors Premier Ministre – de préparer un « programme pluriannuel de développement du Massif Central, l’importance qui s’attache au développement équilibré des régions françaises impliquant qu’un effort particulier soit entrepris à l’égard du Massif Central ». Ce programme a été élaboré dans le plus grand secret par les services de l’Elysée, de Matignon et de la DATAR, Jean MICHARDIERE – on l’a dit – étant au cœur de l’élaboration. Il sera examiné sans qu’il en soit fait mention officiellement par le Conseil des Ministres du 24 Septembre 1975 avant qu’il ne soit dévoilé on l’a vu le 29 Septembre  dans la capitale de la Haute-Loire.
 
             - Jean MICHARDIERE, au centre donc de la construction du Programme Massif Central, sera bien sûr aussi au cœur de sa mise en œuvre et du suivi de cette mise en œuvre, en veillant à ce que soient bien respectés les objectifs et les moyens de ce Plan. Les objectifs du programme pluriannuel de développement du Massif Central ? Le Plan Massif  Central se veut une réponse au phénomène très inquiétant de vieillissement et de décroissance de la population des zones rurales du Massif Central tel que révélé par le dernier recensement de 1975 : « Ne plus perdre un jeune actif, un jeune ménage est une nécessité impérieuse » affirme Jean MICHARDIERE. L’objectif principal du Programme Massif Central est donc bien de mettre un « garrot » à cette évolution démographique inacceptable, de mettre un terme à  « l’agonie » du Massif Central, de faire en sorte que les jeunes puissent désormais rester avec des raisons d’espérer sur la terre où ils sont nés, en rompant définitivement l’isolement du Massif Central, en l’amenant à participer à la puissance industrielle du pays dans son ensemble, en faisant fond sur les fortes capacités dont il dispose sur le plan de l’artisanat, en développant et en valorisant les ressources de son sol et de son sous-sol. Mais ceci nous amène déjà aux moyens d’action de ce programme. Les moyens du programme pluriannuel de développement du Massif Central ? Ce programme – on le sait – comprend quelques 40 mesures groupées en 3 chapitres : 1) les grands équipements pour le désenclavement ; 2) la mise en valeur optimale des ressources pour la création d’emplois ; 3) l’amélioration des conditions de vie et des services publics du milieu rural. Le gros « morceau » du programme est le désenclavement devant à la fois améliorer les relations internes propres au Massif et faciliter la traversée de l’ensemble afin, selon l’expression de Jean MICHARDIERE, de ne plus être « pris comme dans un casse-noisette ». Dans ce cadre, l’ambition est de construire un grand carrefour autoroutier, une « croix autoroutière » à Clermont-Ferrand.
 
            ● On ne soulignera jamais assez les mérites de ce « Plan Massif Central » qui est – on vient de le souligner – la « grande œuvre » de Jean MICHARDIERE, sans aucun doute le sommet de son parcours professionnel éblouissant.
 
            - Il est sûr -, pour reprendre là encore les termes de l’ancien Directeur de Cabinet de Michel COINTAT (Ministre de l’Agriculture en 1971) -, que « c’est la première fois dans l’histoire de l’aménagement du territoire qu’on prend ainsi une région – une région  aussi vaste – à bras le corps ». Le programme pluriannuel de développement du Massif Central a en effet une extension géographique considérable à l’image, grossièrement approchée, de l’extension géologique du Massif : cinq régions de programme sont concernées par le Plan. Notons surtout pour nous ici, à CLERMONT-FERRAND, que deux y sont intégralement incluses : l’Auvergne et le Limousin. Le programme touche 17 départements : dix en leur entier et sept autres pour partie ; il intéresse près de 3 millions d’habitants.
 
            Ce programme va commencer ainsi à inscrire dans nos opinions publiques ce vaste espace « creux » du Centre de la France en nous rapprochant de la « vraie » région. Il amènera à vivre ensemble nos contrées, en particulier l’Auvergne et le Limousin, en mettant en place pour la « gouvernance » de cet espace des institutions qui vont peu à peu lui donner réalité. La « gouvernance » du Massif Central ?  On a bien en effet désormais, sur le territoire Massif Central – autour et animé par le Commissariat à l’Aménagement du Massif Central[[1]]url:#_ftn1 - une « gouvernance » du Massif avec :
 
                        - le Préfet coordonnateur du Massif (c’est le Préfet du Puy-de-Dôme), le Comité du Massif, …
                        - des instances de programmation du Massif : comité de suivi, comité de programmation, groupes thématiques,  …
                        - de nombreux réseaux structurés, socio-professionnels ou socio-économiques de type associatif ou para-publics : UCCIMAC, ADIMAC, IPAMAC, … MACEO, …
 
            De la « gouvernance », et aussi des moyens, des mesures, des actions, … Il faudrait à ce dernier niveau pour le prouver détailler les moyens, très substantiels, dégagés  et engagés en matière de « revitalisation rurale » … dans le cadre du programme pluriannuel initial – sur 3 ans devenus 5 ans -, jusqu’aux prolongements pour la période récente, avec les programmes 2000-2006, 2007-2014 et l’actuel  programme Massif Central pour la période 2014-2020. C’est bien sûr le volet autoroutier – même s’il y a eu des retards – qui est sans aucun doute l’illustration la plus significative de ce Plan, avec un désenclavement autoroutier devenu réalité dans les années 2010.
 
            - Osera - t’on dire que notre parcours professionnel et politique des années 1970 aux années 2000 a eu pour beaucoup comme repère et appui ce programme Massif Central de Jean MICHARDIERE ;
 
                        - Le parcours professionnel ? Professeur Agrégé à la Faculté des Sciences Economiques de Clermont-Fd depuis 1970, nous avons eu comme universitaire – dans la filiation de François PERROUX -, un volet « régional » important avec pour toile de fonds le Plan Massif Central initial et ses développements ultérieurs. Ainsi en est-il allé de nos travaux – dans le cadre du Centre de recherches en économie régionale que nous avons crée à cette époque – sur les seuils de dépeuplement, sur le désenclavement, l’élevage, l’artisanat, … et ce que nous avons appelé de façon plus large, le « modèle de développement rural modernisé » … Ajoutons que nous avons beaucoup travaillé alors avec nos amis universitaires de Limoges, en allant dans des jurys de thèse dans la capitale du Limousin, en accueillant nos collègues de Limoges pour des colloques à Clermont-Ferrand, …
                        Il en est allé de même pour notre action d’élu, dans le cadre de nos mandats locaux (Maire, …) et nationaux (Député). On a ainsi bataillé avec succès notamment – dans l’esprit du Programme Massif Central qui entend renverser l’évolution qui vide le monde rural de sa substance – pour obtenir la création de la « prime à la jument allaitante » ; nous avons beaucoup travaillé, dans la perspective du Plan Massif Central, pour l’amélioration des dessertes de nos contrées auvergnates vers le Limousin et aussi l’amélioration des relations entre Clermont-Fd et les sous-métropoles régionales : MONLUCON, AURILLAC, …Nous avons souhaité également que l’on donne plus de place au rail, le train étant l’avenir de nos régions difficiles. On s’autorise à rappeler en ce sens que l’on a dès les années 1986 – 1988 – en suscitant le plus souvent l’amusement à l’époque – réclamé un TGV Trans-Massif Central et, par la suite, un « 2 Plan massif Central » centré sur le ferroviaire à grande vitesse, dans le même esprit que le 1 Plan Massif  Central centré, on l’a vu, sur l’autoroutier.
 
            ● Force est pourtant de reconnaître que l’on va assister à partir des années 1995 – 2000 à un certain désintérêt vis-à-vis de cette grande ambition « Plan Massif Central » qui s’étiole ainsi dans l’indifférence générale.
 
                        - il est vrai que le Commissariat ne va cesser de perdre de sa substance et de ses moyens (plus d’agence à Limoges, …)
                        - les relations et les échanges de tout ordre entre les deux régions essentielles du Massif Central : l’Auvergne et le Limousin, dépérissent ; les deux capitales : Clermont-Fd  et Limoges « vivent » chacune leur « vie », en animant avant tout leur pôle d’attraction respectif ;
                        - il n’y a plus beaucoup d’élus à croire à cette grande affaire Massif Central tant du côté du Limousin que du côté de l’Auvergne lorsque ces édiles ne sont pas étrangères sinon hostiles à cette démarche ;
 
                        - les opinions publiques ne sont plus « branchées » sur cette perspective Massif Central qui n’a plus aucun écho pour eux et l’émergence d’une conscience régionale « Massif Central » est bien retombée : qui sait encore qu’il existe à Clermont-Fd un « Commissariat à l’aménagement, au développement et à la protection du Massif Central » ? Qui connaît les programmes Massif Central, les derniers en particulier ? Qui serait capable de parler du « groupement d’intérêt public Massif Central » ; …
 
                        - Pourquoi tout cela s’est ainsi anémié avec les deux capitales du Massif Central Clermont-Fd et Limoges qui ne se regardent plus ou presque, Clermont-Fd se tournant de plus en plus en effet aujourd’hui vers Lyon et Rhône Alpes[[2]]url:#_ftn2 tandis que Limoges se rapproche désormais de plus en plus de l’Ouest et de l’Atlantique ? Les raisons de cet affaiblissement de « l’horizon Massif Central » étaient déjà pour certaines en pointillé dans les développements précédents. Reprenons les plus en clair encore. D’abord, peut être – contrairement à ce que l’on a sans doute laissé à penser -, le « Plan Massif Central » - son « appareil », ses « réseaux socio-professionnels », … n’ont pas eu une force et une capacité suffisantes pour supplanter, s’imposer aux structures pré-existantes. Le Massif  Central, notait en ce sens Christian JAMOT, « n’est pas ou est peu un espace d’action et peine à devenir un espace de réflexion et de propositions » … ; on en est « resté à des regroupements d’institutions diverses sans grand pouvoir et transversales par rapport aux actuels pouvoirs régionaux ». Ensuite et surtout on a laissé peu à peu en déshérence la grande et véritable politique d’aménagement du territoire que portait le Plan Massif Central. Il est vrai – et c’est l’essentiel – que la politique volontariste d’aménagement du territoire qui a fait chez nous l’objet à partir des années 1954 d’amples et nombreuses mesures législatives va être engloutie dans la grande vague du capitalisme financier mondialisé des années 1985 – 2005 régi par la logique infernale du prix le plus bas, mieux par la « dictature » du prix le plus bas, la recherche toujours plus accentuée de la compétitivité et de la rentabilité, …
 
            ● Qu’il paraît loin ainsi en 2015 le temps gaulliste du Plan et de l’Aménagement du territoire – cette « géographie volontaire » dont aimait à parler Jérôme MONOD -, avec ces dates qui nous trottent dans la tête : 3 Janvier 1946 : création par le Général DE GAULLE du « Commissariat Général du Plan » ;  8 Mai 1961 : déclaration du Général DE GAULLE sur « l’ardente obligation » du Plan ;  14 Février 1963 : création par le Général DE GAULLE de « la délégation à l’aménagement du territoire et à l’action régionale » (DATAR)[[3]]url:#_ftn3 .
            Qu’il paraît bien loin en 2015 le temps du Plan Massif Central de Jean MICHARDIERE qui mettait ses capacités et sa volonté dans les années 1974-1975 à préparer une saison nouvelle pour nos contrées, une saison vraiment plus souriante avec un aménagement puissant du territoire répondant aux exigences d’une « nouvelle croissance », plus juste, plus humaine et plus équilibrée.
 
                        C’est pourtant grâce à ces souvenirs qui éclaboussent nos consciences et nos âmes que nous espérons trouver la force pour aujourd’hui et pour demain – à l’heure de la réforme territoriale régionale – continuer à travailler au renforcement de notre agglomération clermontoise élargie au Val d’Allier : une grande métropole « Clermont-Val d’Allier » - soucieuse de devenir à plein – c’est sa vocation – à l’horizon 2025 – 2030 la capitale européenne de l’espace central français, le « Massif Central » formidable terre d’avenir -
 
           
 
 
[[1]]url:#_ftnref1 Exactement : « Commissariat à l’Aménagement, au développement et à la protection du Massif Central ».
[[2]]url:#_ftnref2 tout ceci étant facilité par le désenclavement autoroutier vers la capitale des Gaules aujourd’hui terminé
[[3]]url:#_ftnref3 on se permet de renvoyer à P.PASCALLON : la planification de l’économie française. Préface de P.MASSE. Masson 1974
Article n°132

Pierre PASCALLON

V- l' A.P.D.A.

23/11/2014 - 07:39

IV- Réflexions et activités récentes

CLUB PARTICIPATION ET PROGRES
 
PRESIDENT : PIERRE PASCALLON
 
COLLOQUE
 
« 2014 : NOTRE MONDE EST-IL AU BORD DU GOUFFRE ? »
 
En collaboration avec :
 
La Revue Défense Nationale
Et en partenariat avec
Jacques MYARD, Député, Président du C.N.R.
 
Lundi 08 Décembre 2014
 
A 08H30
 
Palais-Bourbon
 
126 Rue de l’Université
 
PARIS – 07
 
MATINEE : 9H00 – 13H00 – Présidence et Animation
Philippe MOREAU DEFARGES – Ancien diplomate, chercheur à l’I.F.R.I.
 
I ERE PARTIE : LA MONTEE ACCUSEE DES TENSIONS
 
            I-1 : Présentation générale
           
« La montée des tensions et le panorama actuel des tensions et conflits dans le monde
Par Pascal BONIFACE, Directeur de l’I.R.I.S.
 
I-2 : Eclairages particuliers
 
« L’Arc de crise en Afrique : un concept artificiel » ?
Par Sonia LE GOURIELLEC, Docteur en science politique, chargée d’étude Afrique à l’I.R.S.E.M.
 
« Les foyers de tensions et de conflits en euro-méditerranée aujourd’hui
Par Charles SAINT-PRO, Directeur de l’observatoire de géopolitique
 
« La Chine, au centre de différents frontaliers terrestres et hydrauliques »
Par le Général de brigade (2S) Alain LOMBALLE, Membre de l’Académie des sciences d’outre-mer, membre d’Asie21
 
            . Au total est-ce aujourd’hui le chaos total ?
            « Chaos mondial, psychose, et menaces réelles »
            Par Xavier RAUFFER, Criminologue
 
 
II EME PARTIE : LES DIFFICULTES PERSISTANTES DES REGULATIONS
 
            II-I : Les difficultés persistantes des régulations par les grandes puissances
 
« Le désordre mondial, la question la question des émergences et le problème de l’Occident »
Par le Général de division (2S) Eric De LA MAISONNEUVE, Président de la Société de stratégie
 
« L’absence de l’Europe dans le jeu international d’aujourd’hui »
Par Christian SAINT6ETIENNE, Professeur titulaire de la chaine d’économie au Conservatoire National des Arts et Métiers
 
« La stratégie de XI JINPING : de la sécurité nationale aux ambitions mondiales »
Par Michel JAN, écrivain, sinologue
 
II-2 : Les difficultés persistantes des régulations par les organisations internationales
 
« Les difficultés de la gouvernance de la gouvernance politique mondiale »
Par Nils ANDERSSON, Ancien Editeur Journaliste-essayiste, Auteur de nombreux ouvrages et articles sur les questions du système international
 
« Les difficultés de la gouvernance économique et financière mondiale »
Par Dominique PLIHON, Professeur Emérite de l’Université de Paris Nord
 
APRES MIDI – 14H00 – 18H00 – Présidence et Animation
Amiral (2S) Alain COLDEFY, Vice-Président de l’Académie de Marine, Directeur de Recherche à l’I.R.I.S.
 
III EME PARTIE : LES PERSPECTIVES PREOCCUPANTES DE CONFLAGRATIONS
 
            III-1 : Quelles guerres demain ?
 
« Les conflictualités de demain : les ruptures prévisibles d’un monde de violence »
Par Jean Hervé LORENZONI, Président du Cercle des Economistes
 
« Les guerres des vingt-cinq dernières années laissent-elles deviner celles de demain ? »
Par Thierry GARCIN, Maître de conférences à H.E.C., producteur de radio
 
« Embrassements de demain et surprises stratégiques »
Par le Général (2S) Vincent DELPORTES, Professeur de stratégie à Sciences-Po et H.E.C.
 
« Des conflits asymétriques et hybrides »
Par François GERE, Président de l’Institut français d’analyse stratégique, Directeur de recherche à Paris 3, Sorbonne nouvelle
 
            III-2 : Une guerre mondiale demain ?
 
« La nouvelle guerre froide peut-elle, au-delà, déboucher sur un conflit majeur ? »
Par le Général (2S) Jean Paul PERRUCHE, Président d’Euro-défense France, Ancien Directeur général de l’E.M.U.E.
 
«  L’Etat islamique et la tentation de la guerre mondiale sans fin »
Par Olivier HANNE, Agrégé et Docteur en Histoire, chercheur à l’Université d’Aix-Marseille et aux écoles de Saint-Cyr Coëtquidan
 
« Américains contre Chinois »
Par le Général (2S) Henri PARIS, Président de Démocraties. Auteur de « l’Oncle SAM et le Mandarin », Editions Nurvis
 
«  Une guerre mondiale ou une mondialisation de la guerre ? »
Par Olivier KAMPS, Docteur en Sciences Politique, Directeur de la Vigie, chercheur associé à l’I.R.I.S.
 
« La bombe, pour quoi faire ? »
Par le Général (2S) Claude LE BORGNE, stratégiste
 
 
COUPON REPONSE
 
Monsieur :                                                                  Madame :
 
Prénom :
 
Nom :
 
Organisme :
 
Fonction :
 
Adresse postale :
 
 
Adresse Mail :
 
O participera
 
O ne participera pas
 
Au Colloque du 08 Décembre 2014
 
« 2014 : notre monde est-il au bord du gouffre ? »
 
126 Rue de l’Université – 75355 Paris 07 à 08H30
 
Coupon à retourner au plus tard pour le 05 Décembre 2014 à pierre.pascallon0054@orange.fr
 
NB :
  • l’inscription est obligatoire pour accéder à l’Assemblée nationale
  • Il est aussi nécessaire que vous vous munissiez d’une pièce d’identité ce jour-la
 
- Métro : stations Assemblée Nationale/Invalides
- RER : station Invalides
- Parking public a proximité : parking des Invalides
- Bus : Lignes 24 63 73 83 84 93 94
 

Pierre PASCALLON

IV- Réflexions et activités récentes

30/10/2014 - 08:42

V- l' A.P.D.A.

Quel avenir pour l’agglomération clermontoise
A l’horizon 2025 – 2030 ?

le samedi 8 novembre 2014
à 17 heures



INVITATION Les rencontres-débats du Café-Lecture LES AUGUSTES Quel avenir pour l’agglomération clermontoise A l’horizon 2025 – 2030 ? avec Pierre PASCALLON Professeur Agrégé de Faculté (honoraire) Ancien Parlementaire le samedi 8 novembre 2014 à 17 heures Café Les Augustes - 5 rue Sous les Augustins 63000 CLERMONT FERRAND - 04 73 370 794

Pierre PASCALLON

V- l' A.P.D.A.

27/10/2014 - 13:40

V- l' A.P.D.A.

CONFERENCE


LES RENDEZ-VOUS DE L’I.A.D.T. L’INSTITUT D’AUVERGNE DU DEVELOPPEMENT DU TERRITOIRE MERCREDI 21 OCTOBRE A 17H30 CONFERENCE « QUELLES PERSPECTIVES POUR CLERMONT-FERRAND ET L’AUVERGNE A L’HEURE DE LA REFORME TERRITORIALE REGIONALE » Par PIERRE PASCALLON Professeur Agrégé de la Faculté (Honoraire) et Ancien Parlementaire « La réforme territoriale va venir en deuxième lecture au Parlement à l’Automne. On ne se hasarde pas de trop en indiquant que les Parlementaires confirmeront le choix fait en première lecture d’une fusion de notre Région Auvergne avec la Région Rhône-Alpes. Il faut donc se demander si ce choix était pour nous le seul choix possible ; si ce choix est complètement justifié ; bref si c’est pour nous « le bon » choix ? On s’attardera à montrer que ce choix est pour Clermont-Ferrand et l’Auvergne un choix à priori prometteur, mais aussi un choix risqué. On cherchera à préciser les efforts que nous aurons à faire pour que demain Clermont-Ferrand et l’Auvergne tirent au mieux leur épingle du jeu dans cette fusion avec la Région Rhône-Alpes. » CONTACTS ET INSCRIPTIONS IADT : Institut d’Auvergne du Développement du Territoire 51 Bd François Miterrand 63000 CLERMONT-FERRAND Tél : 04 73 41 13 20 Mèl : contact@udamail.fr

Pierre PASCALLON

V- l' A.P.D.A.

02/05/2014 - 13:16

V- l' A.P.D.A.

PIERRE PASCALLON
17 RUE PREVOTE
63000 CLERMONT FERRAND
06 45 26 20 71
Mail : pierre.pascallon0054@orange.fr

Clermont Ferrand, le 02 Mai 1014.


Madame, Monsieur,


Je serais très heureux et très honoré de votre présence

le jeudi 15 mai 2014 à 18h30    

entrée libre                                                                            
A la Chapelle des Cordeliers (place Sugny)  Clermont-Ferrand

pour la conférence-débat que j’anime sur :

« L’avenir industriel de la capitale régionale »

selon les modalités que voici :

I.-    Présentation sommaire des principales propositions de notre ouvrage sur ce thème   (1)

II.-  Table ronde sur ces propositions avec :

- Olivier BIANCHI, Maire de Clermont, et Président de Clermont-Communauté.
- Daniel CHERON, Directeur Général de LIMAGRAIN.
- Franck CHIGNIER-RIBOULON, Professeur Départemental Géographique, Faculté des Lettes et des Sciences Humaines.
- Philippe DULBECCO, Président Université d'Auvergne. Clermont 1.
- Jean-Yves GOUTTEBEL, Président du Conseil Général du Puy de Dôme.
- jean-Marc MONTEIL, Président du Conseil de développement du Grand Clermont.
- René SOUCHON, Président du Conseil Régional d'Auvergne.


III. – Débat avec la salle

Votre présence me paraît et, au vrai, indispensable, compte-tenu de vos responsabilités et de l’apport que je sais que vous pourriez ainsi faire à notre réflexion.

Avec mes remerciements pour votre très bienveillante attention à cette invitation.
Très sincèrement et respectueusement,                                                                                                  
                                          Pierre PASCALLON

Signature à la fin de la rencontre sur le stand « Librairie Nos Racines d’Auvergne » de l’ouvrage : Pierre PASCALLON «Quelles perspectives industrielles demain pour l’agglomération clermontoise ?» Editions ACVAM 2014  (10€)   

Pierre PASCALLON

V- l' A.P.D.A.

22/03/2014 - 11:31

V- l' A.P.D.A.

DE L'EAU VRAIMENT DE L'EAU A CLERMONT FERRAND

Par Pierre PASCALLON

Les notes de l'A.P.D.A. (Association pour la Promotion et le développement de l'Auvergne)
14 rue Prévote
63000 CLERMONT FERRAND
tél :06 45 262 071

NUMERO 2 : MARS 2014


"CLERMONT FERRAND CAPITALE DE L'AUVERGNE" ET "L'AUVERGNE CHATEAU D'EAU DE LA FRANCE"

On s'attend à rappeler ce thème, si souvent repris, à ce que l'eau soit omniprésente dans notre dans notre Capitale Régionale.

Ce n'est pourtant pas le cas, en tout cas à première vue. Pas de fleuve en effet à CLERMONT FERRAND, comme à LYON, BORDEAUX par exemple. Et c'est une véritable lacune, tant on voit, sur les deux exemples cités à l'instant, combien un fleuve donne de vie, combien l'aménagement des berges d'un fleuve, c'est patent à LYON comme à BORDEAUX, a véritablement le don de "bonifier" , "transformer"la ville.
Et on voit difficilement comment il pourrait être remédié à ce manque qui semble à lui seul condamner CLERMONT FERRAND à ne pas être une grande ville, à n'être jamis demain jamais une grande ville, s'il faut en croire , et il faut le croire ?, la notation d'Henry MONNIER : "C'est une remarque bien digne d'attention que les grand fleuves passent généralement au pied des grandes villes".

J'avais, lorsque j'étais Maire d'ISSOIRES, présenté un grand projet de déviation de l'ALLIER pour l'amener au centre ville, place de la République. Mail il est vrai que j'avais présenté ce projet un 1er Avril !!

A défaut de grand fleuve les Clermontois doivent se contenter de rivières, et de petites rivières, qu'on ne voit plus pour l'essentiel, qu'il s'agisse de la Tiretaine, de l'Artière et du Bédat le "tiercé" des rivières péri-urbaines, de l'agglomération Clermontoise qui font partie de son décors et de son patrimoine.

On peut se réjouir ici de l'intérêt renouvelé ces dernières années pour ces trois principales rivières de l'agglomération Clermontoise, avec un objectif commun : remettre à l'air libre autant que faire se peut ces cours d'eau et les valoriser.

On est particulièrement avancé on le sait sur cette perspective, et on restera à lui, sur le petit cours d'eau sans doute, le plus emblématique de la capitale régionale, tant son histoire est étroitement liée en particulier à celle de MICHELIN : on veut parler, on l'aura compris, de la TIRETAINE, qui dévale depuis sa source officielle à la Font de l'Arbre, la Faille de Limagne (à Royat) pour rejoindre Clermont et se scinder en fait en deux à Chamalières, au "Partidou" de St Victor. Une Tiretaine "Sud" qui contourne Clermont par Rabanesse et va rejoindre l'Artière près d'Aubière, et une Tiretaine "Nord" qui fonce vers Clermont. Du côté de la Tiretaine "Sud", on le sait, on réfléchit aujourd'hui, à retrouver le quartier de la place de Regensburg des années 60, avec des pavillons tranquilles, des allées, des jardins, et la Tiretaine à l'air libre, avec un square, des bancs et des bassins en guise d'étang... Du côté de la Tiretaine Nord, si le cours d'eau est désormais particulièrement mis en valeur au niveau de l'usine des Carmes, on réfléchit, au niveau de l'usine de Cataroux et des pistes, à la remise à l'air libre du cours d'eau et de la valoriser dans un projet d'ensemble. Il y a du "boulot", on le voit, mais tout cela est indispensable et passionnant.

CLERMONT FERRAND est "Dieu Merci", beaucoup plus gâtée en matière de fontaine : la ville a en effet plus de 50 fontaines que l'on peut admirer avec la "route des fontaines", visite guidée par "l"Office du Tourisme durant l'été permettant d'admirer les plus célèbres : La Fontaine d'Amboise en particulier désormais sur la place de la Poterne.

On peut, on doit néanmoins, envisager encore quelques fontaines supplémentaires, notamment et surtout avenue de la Républiques sur l'esplanade, à gauche, après le Centre Diocésain dans la direction de Montferrand, en s'inspirant des fontaines de la Cité des Sciences et de l'Industrie "fontaine turbulentes à godets" ou (et) "La Géode à l'entrée de la Cité.

Il nous faut surtout des jets d'eau supplémentaires. A dire vrai, deux grands jets d'eau supplémentaires sur le modèle du jet d'eau de Genève : l'un place des salins, place du 1er Mai.

Alors oui, avec tous ces efforts "autour de l'eau", ils sont indispensables, et on aura vraiment bien travaillé à rendre Clermont-Ferrand demain plus belle et plus attractive.



Pierre PASCALLON

V- l' A.P.D.A.

 
 
Pierre PASCALLON
 
 Pour une « tour – phare »
 
à
 
Michelin – « Les Carmes » - Clermont-Fd
 
Les Notices de l’APDA
 
(Association pour la Promotion
et le Développement de l’Auvergne)
 
17 rue Prevote
63000 Clermont-Fd
 
Tél. 06 45 26 20 71
 
Mail : pierre.pascallon0054@orange.fr
 
 
 
N° 2 – Novembre 2013
 
 
 
         L’heure des grandes villes est venue ; l’heure des métropoles est venue, tant nous sommes à devoir avoir un poids significatif pour exister dans la rude compétition internationale qui est la loi de notre époque et le basculement des puissances qui risque de nous emporter.
 
         Des grandes villes, des métropoles qui dans cette perspective – pour marquer à plein leur existence et leur capacité – se sont engagées dans une course à la hauteur, avec des tours et des supertours, toujours plus hautes, qui en viennent à tutoyer les nuages. On ne peut pas en effet ne pas être frappés par tous ces projets et toutes ces réalisations à l’assaut du ciel.
 
 Cela est vrai chez nous, sur le sol du vieux continent, en France en particulier. On pense près de Clermont-Fd à la puissante agglomération lyonnaise qui voit grand en projetant de construire pas moins de 6 tours d’ici à 2020. On songe – c’est désormais une réalité – au « paquebot de verre », à l’immeuble tour du groupe CMA-CGM, 3éme armateur mondial à Marseille. On pourrait bien sûr multiplier les exemples en regardant les projets du côté de notre capitale, PARIS. De l’autre côté de l’Atlantique, citons en particulier le « One World Trade Center » à NEW-YORK. Mais il faudrait mentionner aussi et plus encore – et on a là-bas, au loin, avec l’appétit de géant des Maîtres des « nouveaux mondes » -  les édifices les plus pharaooniques qui ne cessent de battre des records de hauteur, à BAKOU, DUBAI, SHANGAI, SINGAPOUR …
 
          La ville de Clermont-Fd et demain – on a trop tardé – la métropole Clermont Val d’Allier ont la chance d’avoir – et c’est notre fierté – MICHELIN  qui est le leader mondial du pneumatique.
 
         On sait combien la « grande Maison » se montre entreprenante dans la capitale de l’Auvergne. Elle est en effet en train de faire de LADOUX le plus grand centre de recherche privé d’Europe ; elle investit dans le même esprit fortement aux CARMES qui abrite non seulement le siège social du groupe, mais aussi les directions opérationnelles mondiales.
 
         Aussi bien, dans le prolongement des réflexions précédentes, nous souhaitons – pour que MICHELIN contribue à rendre notre agglomération encore plus attractive -, que BIBENDUM nous donne aux CARMES, au centre de la ville – et il y a la place pour développer ce projet -, une « tour – phare » - à hauteur des flèches de la cathédrale – du type par exemple de la tour du Futuroscope.
 
         Cette « tour-phare » permettra encore davantage d’afficher à plein les capacités et le talent de « notre » firme alors que pointe la « désoccidentalisation » du monde du XXI siècle. Cette « tour-phare » serait dans le même temps un symbole très fort de l’esprit d’audace qui doit être désormais le nouvel horizon de la capitale de la Région d’Auvergne.


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Pierre PASCALLON

V- l' A.P.D.A.

05/01/2014 - 12:50

IV- Réflexions et activités récentes

 Pierre PASCALLON
 
 
La fusion des deux universités de Clermont :
 
Hommage à Patrick AKERMAN

 
 
 
Les notices de l’APDA
N° 3
Décembre 2013

 
« Le disparu, si l’on vénère sa mémoire, est plus présent et plus puissant que le vivant »
 
Antoine de St EXUPERY
 
            ● La bonne nouvelle est là : les deux universités clermontoises vont fusionner en 2017 après quelque 40 années ou presque de séparation (1976).
 
            On ne peut que se réjouir en effet de cette avancée – parce que c’en est une -, et saluer et remercier toutes celles et tous ceux qui ont contribué à la rendre possible. Dans cette perspective nul doute qu’il ne faille d’abord et surtout marquer l’étape décisive du PRES (pôle de recherche et d’enseignement supérieur) mis en place en 2008 autour de 5 établissements : Clermont Université, Université Blaise Pascal, ENITAC, ENSCCF et IFMA. En effet, les deux universités concurrentes devenaient dès cette époque des sœurs presque siamoises grâce à la création de ce pôle baptisé de façon sans doute prémonitoire « Clermont Universités », d’autant que les cinq établissements s’engageaient fin 2012 vers un établissement unique en 2017, ce qui rendait quasiment irréversible la fusion des deux universités. Entretemps, en 2007, les deux nouveaux Présidente et Président des deux universités, Nadine LAVIGNOTTE et Philippe DULBECCO, affichaient leur volonté commune d’un rapprochement. Enfin, plus récemment la loi sur les universités – entrée en application en Juillet 2013 – incitait fortement à la création d’entités capables de se faire une place aussi bien sur le plan national que sur le plan international. Nul doute que ce texte a sans doute accéléré la perspective de fusion des deux universités rappelée plus haut.
 
            ● Mais, à se retourner un instant vers le passé, quelle erreur et quel gâchis ont donc été la scission de l’Université en 1976. Les petits intérêts particuliers de petits Universitaires à la flamboyante médiocrité ont à cette époque réussi – avec l’appui des Pouvoirs Publics – à obtenir cette partition qui s’est faite, on s’en souvient, dans la douleur, amenant un enseignement et une recherche balkanisés. Il ne fallait pas pourtant être grand clerc pour voir que la coupure en deux universités de taille moyenne d’une université déjà limitée ne pouvait pas, ne pourrait pas renforcer l’attractivité et le rayonnement de Clermont-Fd, une capitale régionale … limitée.
 
            Nous avons lutté de toutes nos forces à l’époque – Patrick AKERMAN comme Président et moi-même comme Vice-Président de l’Université d’alors – pour tenter d’empêcher cette mauvaise partition.  Nous comprenions mieux peut être que d’autres – parce que nous étions là où nous étions, dans les filières où nous étions : CUST, Faculté Sciences Economiques – que cette scission allait nous faire perdre beaucoup de temps, beaucoup d’énergie alors que la grande mondialisation qui s’annonçait exigerait dimension, poids, taille critique, renforcement et non pas émiettement.
 
            On s’est battu ; on s’est battu en vain. Que d’années pour réparer les dégâts.
 
            A l’heure où tant ici et là bombent le torse et se rehaussent sur leurs ergots, il ne nous aurait pas été indifférent que les actuels responsables – dans les Universités, dans les médias - … rendent hommage à Patrick AKERMAN dont c’est la victoire posthume : ● Patrick AKERMAN homme de cœur et de conviction, homme de talent et de passion, qui voyait loin, sur le XXI siècle.
 
            Voila qui est fait avec ces lignes.
 
 
 
                                                                                                          Pierre PASCALLON
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Pierre PASCALLON

IV- Réflexions et activités récentes

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