Ennahar fait de la diffamation du MAK son sujet de prédilection

04/08/2015 20:44

ALGÉRIE (SIWEL) - Le pseudo journal "Ennahar", porte parole des services de sécurité algériens, s’attaque de nouveau au MAK. Dans un article publié dans son édition d’aujourd’hui, en page 3, il indique que la police algérienne a ouvert une enquête sur les fonds du MAK.

Quand on est attaqué par "Ennahar", un torchon raciste et anti-kabyle qui déshonore le noble métier du journalisme, on ne peut que gagner en crédibilité.


Ennahar a même donné des indices pour aider les enquêteurs algériens en annonçant que les fonds proviennent du Maroc en passant par la France pour atterrir en Kabylie. Ce circuit selon toujours ce « journal » vise à brouiller les pistes.
L’auteur de l’article dicté par le DRS, affirme que les investigations se concentrent sur la région de Michelet (Ain El Hamam) connue comme l’un des fiefs du MAK.

L’article insiste sur le fait que cette enquête intervient au moment où le MAK a accéléré le rythme sur le terrain et que son activité dépasse le cadre de la Kabylie pour toucher les départements du sud algérien notamment Ghardaia pour soutenir « le criminel Kameleddine Fekhar » .

Cette nouvelle attaque d’Ennahar s’ajoute à la campagne de diffamation qui vise le mouvement souverainiste kabyle. Mais elle nous renseigne en même temps sur le fait que les décideurs au niveau de l’Etat algérien ne savent plus où donner de la tête devant la déferlante qui s’appelle : le MAK.

La main étrangère constitue une constante chez tous les régimes totalitaires qui sont à vrai dire les seuls à être guidés et soutenus par des puissances étrangères contre les aspirations légitimes des peuples qu’ils oppriment à l’instar de l’Algérie qui colonise et terrorise la Kabylie et le Mzab.

Le MAK qui ne dispose de rien d’autre que la volonté et la détermination de ses militants, l’adhésion du peuple kabyle à son projet est financé par les dignes citoyennes et citoyens kabyles qui ont confiance en la justesse et la noblesse de son combat libérateur.

Quand on est attaqué par "Ennahar" qui déshonore le noble métier du journalisme, on ne peut que gagner en crédibilité.




A lire aussi :