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Kabylie: le ministère de l’éducation algérienne impose la pratique obligatoire de la prière à l’école primaire

09/10/2013 - 15:33

MIRABEAU (SIWEL) —Les enseignants de l’éducation nationale algérienne obligent les enfants du cycle primaire à s’acquitter de la prière islamique sur l’estrade de la classe. Un parent d’élève est allé se plaindre au directeur de l’école primaire du bourrage de crane de son enfant. Le directeur lui a demandé de s’adresser directement au ministre de l’éducation nationale algérienne qui a inclus ces cours de prière obligatoires au programme pédagogique de l’école élémentaire…pendant ce temps, les enfants des ministres sont scolarisés dans les écoles françaises et internationales de la capitale


Le Ministère de l'éducation algérienne fait le lit du terrorisme islamiste (PH/DR)
Le Ministère de l'éducation algérienne fait le lit du terrorisme islamiste (PH/DR)
Le journal kabyle, Tamurt.info a fait état de la plainte d’un parent d’élève dans la localité de Mirabeau après que son fils de 8 ans ait été « initié » à la pratique de la prière sur l’estrade de sa classe. L’enfant a également été instruit des principes fondateurs du radicalisme arabo-islamiste à savoir que « la langue Arabe est sacré et c’est un pêché de rester avec une fille ! », raconte le père de l’enfant qui dit craindre pour son enfant un endoctrinement institutionnel. Si la plupart des enseignants en Kabylie se contentent du volet théorique de l’apprentissage de ces prières, rendus obligatoires par une directive ministérielle, d’autres, par excès de zèle, et à la recherche d’une éventuelle promotion, exigent des enfants la pratique effective.

En Kabylie, plusieurs parents d’élèves dénoncent régulièrement le zèle des enseignants de « l’éducation islamique », obligatoire dès la première année primaire jusqu’au baccalauréat, autant dire que le temps est largement donné à l’idéologie arabo-islamiste de s’incruster dans les cerveaux des enfants pour en faire de parfaits salafistes et au besoin des terroristes convaincus de la justesse de leur odieux crimes qui auraient, en vertu de l’enseignement dispensé sur 3 cycles d’études (primaire, moyen et secondaire), la bénédiction de Dieu lui-même. C’est en quelque sorte une carte blanche divine que le ministère algérien de l’enseignement accorde au crime.

Cet « enseignement » criminel, dispensé sur ordre du ministère de l’éducation algérienne est obligatoire pour les enfants du peuple mais pas pour les enfants des ministres algériens ( tous sans exceptions, jusqu’aux divers ministres de la religion qui se sont succédés à la tête des affaires religieuses algériennes) qui ont tous fait leur études dans la fameuse école française de « DESCARTES » ou à l’école internationale d’Hydra, toutes deux normalement destinée aux enfants des coopérants étrangers mais dont les effectifs sont majoritairement constitués des enfants de la nomenclature algérienne, enfants des ministres comme des généraux.

Ensuite, ces enfants de la nomenclature algérienne, ayants décroché le Baccalauréat, sont envoyés aux frais du contribuable algérien poursuivre leurs études en France, en Angleterre et aux Etats-Unis pendant que les enfants du peuple sont livrés, pieds et poings liés, au radicalisme islamique qui fera d’eux de parfaits terroristes qui accompliront les yeux fermé le sale boulot pour le compte du régime algérien qui se maintient ainsi à la tête de la faramineuse rente des hydrocarbures algériens. C’est ainsi que durant la décennie noire, plus de 200 000 victimes ont fait les frais de cette politique d’arabo-islamisation. Une politique appliquée en Algérie avec la bénédiction des démocraties occidentales qui accordent une « respectabilité » aux régimes islamistes d’Afrique du Nord afin de maintenir elles aussi leurs privilèges financiers sur les marchés des hydrocarbures. Seulement, à ce jeux irresponsable et pour tout dire criminel, vis-à-vis des peuples ainsi sacrifié, c’est aussi l’Europe qui finira par être engloutie par l’arabo-islamisme et pour s’en convaincre, il suffit de faire un petit tour d’horizon dans les banlieues de Paris ou de Londres, d’autant plus que maintenant, elles bénéficient directement des financements des pétrodollars du Qatar, sponsor N°1 du salafisme dans le monde entier, et non moins ami « généreux » des démocraties occidentales.

Finalement, il faut croire qu’il y a bien une justice quelque part et à trop jouer avec le feu, on finit bien par se brûler…l’Afrique du Nord est certes volontairement sacrifiée mais le salafisme s’installe confortablement en Europe et ce n'est que justice rendue...

avec Tamurt.info
zp,
SIWEL 091533 OCT 13




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