Les « repentis » de Bouteflika : impunité et passe-droits à la gare de Tizi-Ouzou

04/03/2013 16:28

Tizi-Ouzou (SIWEL) — Les terroristes islamistes qui ont bénéficié de l’amnistie de l’Etat algérien après avoir tué, violé et ruiné ce pays, ont été blanchis et grassement rémunérés : casiers judicaires vierges, compensations financières, fonds de commerces en plus des « privilèges passe-droits » dont celui de pratiquer librement le « transport collectif » au niveau de l’ancienne gare routière de Tizi-Ouzou, précisément là où les honnêtes citoyens peinent à obtenir des autorisations d’exploiter des lignes de transports-voyageurs. L’Etat algérien livre les voyageurs kabyles au terrorisme « doux » des islamistes, ces derniers dictent leur loi tout achevant d’épuiser ce qui reste de travail potentiel en Kabylie en prenant la place des citoyens de Kabylie qui peinent à faire respecter leurs droits par un Etat qui privilégie, sans aucun complexe, les terroristes islamistes rebaptisés du nom de « repentis ».


Un Etat qui commandite et amnistie des terroristes islamistes est lui-même un Etat terroriste. A la faveur de passe-droits qui leurs sont réservés, les djihadistes « repentis » sont massivement redéployés par l’Etat algérien en Kabylie. Illustration : le drapeau des salafistes (PH/DR)
Contrairement aux honnêtes citoyens kabyles qui croulent sous toute sortes de tracasseries administratives, autorisations, permis de conduire « transport collectif », les terroristes « repentis » de Bouteflika obtiennent, sans aucune difficulté, les autorisations nécessaires par de la direction des transports de Tizi-Ouzou, notamment sur l’axe routier reliant Draâ Ben Khedda à Tizi Wezzu. Tandis que les droits des citoyens sont quotidiennement bafoués, le statut de terroriste « repentis » ouvre droit à tous les passe-droits en Algérie et plus particulièrement en Kabylie, région privilégié du redéploiement islamiste de l’Etat algérien.

Ainsi, l’ancienne gare routière de Tizi Ouzou abritant les lignes de transports Draâ Ben Khedda, Makouda et Tigzirt ,est devenue la propriété privée des terroristes islamistes amnistié par Bouteflika ; hélas cautionnée par une partie de la classe politique kabyle, qui reste, malgré elle, marquée du sceau « kabyle » en dépit de toute l’allégeance faite à l’algérianisme négationniste, fossoyeur de l’identité amazighe de la Kabylie.

Ces terroristes « repentis » ont obtenus ces « privilège passe-droits » après avoir passé plusieurs années dans les maquis islamistes à liquider tous ceux qui opposaient un refus catégorique à l’arabo-islamisation subversive de l’Algérie qui fait d’elle aujourd’hui le premier pays exportateur de terroristes islamistes, deuxième produit national brut après le Gaz et le Pétrole.

Les terroristes « repentis » de ce qui est cyniquement nommé « la concorde civile », disposent, non seulement de toutes les autorisations, sans aucune tracasserie administrative ni aucun parcours du combattant, lot habituel des honnêtes citoyens, mais ils disposent également d’une totale impunité quant aux pressions et aux intimidation exercés sur les voyageurs et les citoyens qui ont la malchance d’être obligé de passer par l’ancienne gare routière de Tizi-Ouzou pour se déplacer.

Ces facilités administratives sont généreusement octroyées à ces terroristes au titre de « repentis », après terrorisé et assassiné toute voix discordante. Ce sont ces « repentis » sur ordre de leurs « géniteurs » qui ont assassinés la majeure partie de l’élite kabyle et algérienne. Ces « repentis », qui ne regrettent pas d’avoir tué le « Taghout » Tahar Djaout, sont aujourd’hui libres, blanchis, assurés d’aucune poursuite par les familles des victimes. Ils de plus récompensés financièrement, ont des fonds de commerces et obtiennent tous les passe-droits leur permettant d’exerce le l’activité qu’ils souhaitent sans aucune restriction.

zp,
SIWEL 041628 MARS 13



A lire aussi :