Exposition du 04 septembre au 02 octobre 2020
Entrée libre - PORT DU MASQUE OBLIGATOIRE
Heures d'ouverture de l'Espace Gibert : mardi, jeudi, vendredi et samedi de 14h à 18h et le mercredi de 9h à 12h et de 14h à 18h
Vernissage le vendredi 04 septembre à 18h30
Rêve, dessinateur et peintre "Secret de l’èrba", photographies de Georges Souche en hommage à œuvre de l'écrivain occitan Max Rouquette
Rêve
"Peintre et dessinateur autodidacte depuis plus de 20 ans, je travaille essentiellement sur des êtres chimériques.
Mes œuvres se révèlent dans une association libre permettant à l’instant présent de s’exprimer, dans un assemblage de dessins entremêlés, sans nécessité de liens les uns aux autres, comme l’imaginaire se laisse souvent aller, comme l’infinité de possibilités qui peuplent et forment nos rêves.
Mon travail se situe entre une impulsivité libératoire de la couleur et l’insouciance des dessins fantasmagoriques.
Pour la peinture j’utilise divers médiums comme l’aquarelle, l’acrylique, diverses encres de couleurs, et plusieurs outils comme les pinceaux, rouleaux, spatules…
Quant au dessin, il s’effectue exclusivement à l’encre de Chine, sans préparation au crayon, où je laisse mon inspiration vagabonder au grès des formes déjà présentes. Le thème principal du dessin se choisit le plus souvent de lui-même, en fonction des effets de couleurs et de texture.Mes dessins sont issus d’une vision uchronique où le point de départ serait la potentielle fin de l’humanité.
Mon travail est une interrogation sur le devenir de l’humanité dans un subtil mélange de recherche d’ailleurs et de retour aux sources. Parfois, je dessine des vies foisonnantes inventées, une échappatoire vers d’autres univers, une fuite du réel. Comme si l’herbe était plus verte ailleurs, une façon comme une autre de ne pas regarder la vérité dans les yeux. D’autres fois, j’invoque la sagesse des anciens pour exhiber aux hommes du présent les conséquences néfastes de leurs actes sur leur propre devenir. Un enseignement venu du fond des âges et des différents peuples de notre humanité, pour mettre en évidence que les clés sont connues et sont en chacun de nous, et que notre probable fin n’est pas inéluctable.
L’acte présent n’est que transition nécessaire à la transformation d’un unique passé en multiples avenirs potentiels."
https://www.reve-art.fr/
Mes œuvres se révèlent dans une association libre permettant à l’instant présent de s’exprimer, dans un assemblage de dessins entremêlés, sans nécessité de liens les uns aux autres, comme l’imaginaire se laisse souvent aller, comme l’infinité de possibilités qui peuplent et forment nos rêves.
Mon travail se situe entre une impulsivité libératoire de la couleur et l’insouciance des dessins fantasmagoriques.
Pour la peinture j’utilise divers médiums comme l’aquarelle, l’acrylique, diverses encres de couleurs, et plusieurs outils comme les pinceaux, rouleaux, spatules…
Quant au dessin, il s’effectue exclusivement à l’encre de Chine, sans préparation au crayon, où je laisse mon inspiration vagabonder au grès des formes déjà présentes. Le thème principal du dessin se choisit le plus souvent de lui-même, en fonction des effets de couleurs et de texture.Mes dessins sont issus d’une vision uchronique où le point de départ serait la potentielle fin de l’humanité.
Mon travail est une interrogation sur le devenir de l’humanité dans un subtil mélange de recherche d’ailleurs et de retour aux sources. Parfois, je dessine des vies foisonnantes inventées, une échappatoire vers d’autres univers, une fuite du réel. Comme si l’herbe était plus verte ailleurs, une façon comme une autre de ne pas regarder la vérité dans les yeux. D’autres fois, j’invoque la sagesse des anciens pour exhiber aux hommes du présent les conséquences néfastes de leurs actes sur leur propre devenir. Un enseignement venu du fond des âges et des différents peuples de notre humanité, pour mettre en évidence que les clés sont connues et sont en chacun de nous, et que notre probable fin n’est pas inéluctable.
L’acte présent n’est que transition nécessaire à la transformation d’un unique passé en multiples avenirs potentiels."
https://www.reve-art.fr/
Georges Souche
Secret de l’èrba/Secret de l’herbe est une exposition photographique qui emprunte son titre à l’un des textes fondateurs de l’œuvre de Max Rouquette, Georges Souche rend hommage à l’écrivain avec qui il publia plusieurs ouvrages entre 1995 et 2003. ... Garrigue secrète, graminées jaillissant de l’ombre, jardins abandonnés et sources mystérieuses… le photographe nous entraine au cœur des territoires intimes du pays de l’enfance.
« On sait, depuis la parution de leur premier livre en commun en 1996, l’accord profond entre la vision du photographe et celle du poète. En présentant des extraits de l’œuvre (en occitan avec traduction française) en alternance avec les images, cette exposition nous le démontre une nouvelle fois. Les photographies de Secret de l’èrba, sans chercher à illustrer le texte, retrouvent pourtant sa puissance d’évocation, sa capacité à recréer les émotions fugitives de l’enfance et leur pouvoir d’enchantement. Elles captent dans les herbes, les buissons, les sous-bois, les reflets des eaux, cette “lumière qui jaillit de l’obscur” que Max Rouquette décelait dans les poèmes du seigneur d’Aumelas, le troubadour Raimbaud d’Orange. Cette lumière venue du dedans des choses, les transfigure en leur donnant une dimension d’étrangeté, d’intériorité, parfois même de fantastique. Et nous fait, sans le révéler, complices du “secret de l’herbe”. » (Jean-Guilhem Rouquette)"
http://www.georges-souche.com/
« On sait, depuis la parution de leur premier livre en commun en 1996, l’accord profond entre la vision du photographe et celle du poète. En présentant des extraits de l’œuvre (en occitan avec traduction française) en alternance avec les images, cette exposition nous le démontre une nouvelle fois. Les photographies de Secret de l’èrba, sans chercher à illustrer le texte, retrouvent pourtant sa puissance d’évocation, sa capacité à recréer les émotions fugitives de l’enfance et leur pouvoir d’enchantement. Elles captent dans les herbes, les buissons, les sous-bois, les reflets des eaux, cette “lumière qui jaillit de l’obscur” que Max Rouquette décelait dans les poèmes du seigneur d’Aumelas, le troubadour Raimbaud d’Orange. Cette lumière venue du dedans des choses, les transfigure en leur donnant une dimension d’étrangeté, d’intériorité, parfois même de fantastique. Et nous fait, sans le révéler, complices du “secret de l’herbe”. » (Jean-Guilhem Rouquette)"
http://www.georges-souche.com/
Le mot d'Alban
Alan Rouch emblématique représentant de l’IEO (institut des études occitanes), nous propose annuellement une allégorie occitane et c’est en partenaire et ami que nous acceptons ce moment identitaire.
Pour ce mois occitan, une exposition et une conférence et pour lier ces deux évènements un poète Max Rouquette, écrivain français de langue occitane décédé en 2005 à l’âge de 96 ans, poète de l’herbe, de la garrigue du cosmos et de la nuit.
Pour l’exposition nous recevons le photographe Georges Souche, 25 ans de photographie et un travail en commun de plus de 10 ans avec Max Rouquette. L’exposition sous le nom de ‘’secret de l’herbe’’ est un hommage au poète et sa présentation alterne entre écrits et photos.
Une exposition où la nature est sublimée dans sa pureté et sa simplicité au travers de l’objectif de Georges. Une exposition de contrastes et de douceur, de moments contemplatifs en pauses ou en mouvements où l’on sent parfois le vent caresser les herbes et nous murmurer des secrets. C’est très grand moment de communion et d’union, un moment qui parle à l’âme et une très belle réussite artistique.
Autodidacte peintre depuis une vingtaine d’années ‘’Rêve’’ son nom d’artiste vient de l’Isle sur Tarn. Il expose en galeries et salons dans l’Occitanie.
Son art que l’on catégorise ’’d’Art Singulier’’ est un travail à base d’aquarelle et encre de couleur rehaussé à l’encre de chine. Une dichotomie créative composée d’une phase de peinture dominée par l’émergence de l’énergie intérieure. La peinture éclabousse la toile, un chaos, intuitif, ressenti, spontané. Et d’une phase dessin sereine, apaisante, construite.
L’union de ces deux tendances nous offre un travail d’une grande finesse aux portes des émotions universelles. Un regard en miroir qui questionne et interroge sur ces propres émotions. N’est-ce pas là le cœur du travail d’un artiste ?
Très belle exposition bravo et merci.
Pour ce mois occitan, une exposition et une conférence et pour lier ces deux évènements un poète Max Rouquette, écrivain français de langue occitane décédé en 2005 à l’âge de 96 ans, poète de l’herbe, de la garrigue du cosmos et de la nuit.
Pour l’exposition nous recevons le photographe Georges Souche, 25 ans de photographie et un travail en commun de plus de 10 ans avec Max Rouquette. L’exposition sous le nom de ‘’secret de l’herbe’’ est un hommage au poète et sa présentation alterne entre écrits et photos.
Une exposition où la nature est sublimée dans sa pureté et sa simplicité au travers de l’objectif de Georges. Une exposition de contrastes et de douceur, de moments contemplatifs en pauses ou en mouvements où l’on sent parfois le vent caresser les herbes et nous murmurer des secrets. C’est très grand moment de communion et d’union, un moment qui parle à l’âme et une très belle réussite artistique.
Autodidacte peintre depuis une vingtaine d’années ‘’Rêve’’ son nom d’artiste vient de l’Isle sur Tarn. Il expose en galeries et salons dans l’Occitanie.
Son art que l’on catégorise ’’d’Art Singulier’’ est un travail à base d’aquarelle et encre de couleur rehaussé à l’encre de chine. Une dichotomie créative composée d’une phase de peinture dominée par l’émergence de l’énergie intérieure. La peinture éclabousse la toile, un chaos, intuitif, ressenti, spontané. Et d’une phase dessin sereine, apaisante, construite.
L’union de ces deux tendances nous offre un travail d’une grande finesse aux portes des émotions universelles. Un regard en miroir qui questionne et interroge sur ces propres émotions. N’est-ce pas là le cœur du travail d’un artiste ?
Très belle exposition bravo et merci.