Vernissage le 04 juillet à 18h30
William Moulin / Georgette Vergnes / Isabelle Pueyo / Lore Claeys / Art'Abic
Heures d'ouverture de l'Espace Gibert : mardi, mercredi, vendredi et samedi de 9h à 14h, jeudi de 9h à 14h et de 16h à 19h.
William Moulin - Aquarelles
Diplômé national des Beaux-Arts, directeur durant 40ans de l’école d’arts plastiques du Grand Narbonne, William Moulin est aussi un peintre du pays qui peaufine son art en posant son chevalet dans les coins les plus pittoresques (ou secrets !) de notre bas-Languedoc, entre étangs et garrigues.
Pour ce mois de juillet, il proposera chez nous une trentaine d’aquarelles, structurées et touchantes, colorées et harmonieuses mais surtout délicieusement poétiques.
Le dessin efficace est primordial pour l’artiste, il ne nuit en rien à la valse des couleurs qu’une palette, complice d’un pinceau virevoltant, installe sur le papier à lavis.
Le plaisir de s’adonner à sa passion pour l’aquarelle se devine dans chacune des œuvres de William Moulin : essayez de partager un peu de ce bonheur en venant contempler ce polychrome mais enchanteur étalage.
Pour ce mois de juillet, il proposera chez nous une trentaine d’aquarelles, structurées et touchantes, colorées et harmonieuses mais surtout délicieusement poétiques.
Le dessin efficace est primordial pour l’artiste, il ne nuit en rien à la valse des couleurs qu’une palette, complice d’un pinceau virevoltant, installe sur le papier à lavis.
Le plaisir de s’adonner à sa passion pour l’aquarelle se devine dans chacune des œuvres de William Moulin : essayez de partager un peu de ce bonheur en venant contempler ce polychrome mais enchanteur étalage.
Georgette Vergnes - Sculptures
Artiste autodidacte, Georgette Vergnes vit et travaille à Leucate.
Elle découvre le modelage après 30 ans en tant qu’artisan doreur. Cette rencontre avec la terre devient vite sa passion.
Elle modèle avec simplicité ses créations, y dépose ses émotions afin d’y trouver une présence.
Ses terres cuites, de grès ou de divers argiles sont empruntes d’une recherche de mouvement et de quiétude, à chaque fois renouvelée dans le processus créatif.
Elle découvre le modelage après 30 ans en tant qu’artisan doreur. Cette rencontre avec la terre devient vite sa passion.
Elle modèle avec simplicité ses créations, y dépose ses émotions afin d’y trouver une présence.
Ses terres cuites, de grès ou de divers argiles sont empruntes d’une recherche de mouvement et de quiétude, à chaque fois renouvelée dans le processus créatif.
Lore Claeys - Dessins
"C’est à travers les petits détails que j’aime m’amuser à rendre le monde plus drôle et amusant. Je tire mon inspiration de la nature, des gens, des bâtiments qui m’entourent, réalité fondue dans l’imaginaire, imagniation mélée au concret, douceur, fraîcheur et rêverie, une pincée d’humour, un brin de gentillesse. Je prends mon temps, dans une ville ou s’entremêlent les passants pigmentés, chimères apprivoisées dans les couches d’aquarelles sur une feuille de papier. Vous ais-je déjà dit que j’ai grandi dans une ville de Belgique ?
Guidée par l’envie de créer, j’ai obtenu un diplôme à l’Académie Royale des Beaux-Arts d’Anvers en 2013. Mon intérêt pour la matière, du livre comme objet à la fibre du papier, m’a amené à suivre une formation de relieuse et de restauratrice de papier. Dans mon parcours je me suis également plongée dans la photographie.
Dessiner est pour moi une façon de dire, sans mots, plusieurs choses à la fois ou de laisser la place à un silence contemplatif. De faire rêver, repenser avec la nostalgie de l’enfance ou simplement glousser."
Lore Claeys
Isabelle Pueyo - Photos
« À propos de moi
Je suis Isabelle Pueyo, née en 1971, passionnée par les arts de la photographie. Artiste auteur photographe depuis janvier 2024, mon aventure photographique a véritablement commencé en 2016 avec l'achat de mon premier appareil photo.
Mes débuts
En 2022, grâce au festival Temps d'Expo de Pézenas, j'ai eu l'opportunité d'exposer mes photos pour la première fois. Depuis, j'explore un univers poétique et onirique à travers mes œuvres. Pour moi, la photographie est plus qu'une simple capture de la réalité ; c'est une expression artistique qui reflète la vision du photographe.
Mon parcours
J'ai développé mes compétences en photographiant des concerts, des spectacles et des événements, et j'ai également travaillé en photojournalisme pour La Gazette du Chameau, un magazine local biterrois.
En parallèle, j'ai suivi une formation de photographie de studio avec Nath Sakura à Lavérune, ce qui m'a permis de perfectionner ma technique et d'élargir mon champ de compétences. J'ai également obtenu une équivalence d'un Bac Pro Photo, consolidant ainsi mes connaissances et ma pratique. »
Pour en savoir plus :
https://www.isabellepueyo.com/
Je suis Isabelle Pueyo, née en 1971, passionnée par les arts de la photographie. Artiste auteur photographe depuis janvier 2024, mon aventure photographique a véritablement commencé en 2016 avec l'achat de mon premier appareil photo.
Mes débuts
En 2022, grâce au festival Temps d'Expo de Pézenas, j'ai eu l'opportunité d'exposer mes photos pour la première fois. Depuis, j'explore un univers poétique et onirique à travers mes œuvres. Pour moi, la photographie est plus qu'une simple capture de la réalité ; c'est une expression artistique qui reflète la vision du photographe.
Mon parcours
J'ai développé mes compétences en photographiant des concerts, des spectacles et des événements, et j'ai également travaillé en photojournalisme pour La Gazette du Chameau, un magazine local biterrois.
En parallèle, j'ai suivi une formation de photographie de studio avec Nath Sakura à Lavérune, ce qui m'a permis de perfectionner ma technique et d'élargir mon champ de compétences. J'ai également obtenu une équivalence d'un Bac Pro Photo, consolidant ainsi mes connaissances et ma pratique. »
Pour en savoir plus :
https://www.isabellepueyo.com/
Art'Abic - Dessins
"Après avoir fait mes armes en photographie et en arts plastiques, j’ai décidé de me lancer dans... le social ! A priori le lien entre les deux vocations ne saute pas aux yeux (c’est vrai) , mais mon expérience professionnelle inspire beaucoup le choix de mes créations artistiques et à l’inverse ma passion pour l’art est un plus dans la création des relations éducatives que j’entretiens avec les bénéficiaires que j’accompagne.
Même si le cursus à un peu changé, j’ai toujours été accompagnée d’un stylo à bille. Le bon vieux stylo qu’on pense immortel un peu comme un certain « Duncan Macleod né il y a 400 ans dans les hautes terres d’Ecosse... » ( j’en profite d’ailleurs pour vous confirmer que contrairement à Highlander, les stylos à bille meurent un jour).
En primaire, on avait de vielles tables en bois (peut-être même plus vieilles que la directrice de l’époque qui nous terrorisait) sur lesquelles il y avait des dessins, des mots d’amour, des anti sèches…une sorte d’expo intergénérationnelle de rêveurs à laquelle je me suis fait un plaisir de participer.
Ce que j’aime dans le stylo c’est qu’il est accessible à tous. Contrairement au matériel de peinture à l’huile par exemple qui vous oblige à vider votre livret A. Là au moins, pour moins de 50 centimes on a un stylo et donc un moyen d’expression (parfois même une arme) qui permet de faire passer tout un tas de messages et d’émotions.
Mis à part les gribouillis sur les bouts de feuilles volantes pendant des appels téléphoniques ou dans les marges de cahiers pendant des réunions d’équipes, j’avais un peu mis le dessin de côté. Et puis 2020, le COVID, une grossesse et je déconfine mes stylos.
J’ai commencé par reproduire des personnages de Tim Burton (que j’adore) et une copine me met au défi de lui dessiner un portrait de David BOWIE (que j’aime aussi beaucoup).
Dessiner ce visage m’a beaucoup plu et j’ai commencé a dessiner les portraits d’artistes (musicaux) que j’aimais au stylo bleu uniquement (Jimi Hendrix, Mick Jagger, Ray Charles, Ma grand-mère…).
Traduire le regard est un vrai challenge car comme dirait Cicéron (un homme de loi et grand Orateur Romain) qui est né le même jour que moi à quelques années près : « si le visage est le miroir de l’âme, les yeux en sont les interprètes ».
J’ai commencé avec un format discret A4, puis A3 …, là je dessine sur du format 50 cm X 65 cm et je me suis surprise à plusieurs reprises à regarder les format 100 cm x 70 cm… (affaire à suivre…) .
J’ai ensuite inclus la couleur dans mes dessins et je me suis lancée dans la reproduction d’un dessin que j’aime beaucoup de l’artiste Ariel OLIVETTI en format 50 x 65 cm…. j’y ai passé plus de 3 mois…
Et puis l’idée de militer à travers mes dessins contre « l’absurde » que je prenais pleine face tous les jours dans le cadre de mon travail a commencé à me travailler (lutter contre les stéréotypes de genres, le racisme, les violences intrafamiliales, etc…) .
En bref les idées ne manquent pas il faudrait juste rajouter quelques heures aux journées pour pouvoir tout faire !
En espérant que ces quelques dessins vous plairont.
N’hésitez pas à visiter ma page instagram : « dessinsbic » d’Art’Abic
Art’Abic
Même si le cursus à un peu changé, j’ai toujours été accompagnée d’un stylo à bille. Le bon vieux stylo qu’on pense immortel un peu comme un certain « Duncan Macleod né il y a 400 ans dans les hautes terres d’Ecosse... » ( j’en profite d’ailleurs pour vous confirmer que contrairement à Highlander, les stylos à bille meurent un jour).
En primaire, on avait de vielles tables en bois (peut-être même plus vieilles que la directrice de l’époque qui nous terrorisait) sur lesquelles il y avait des dessins, des mots d’amour, des anti sèches…une sorte d’expo intergénérationnelle de rêveurs à laquelle je me suis fait un plaisir de participer.
Ce que j’aime dans le stylo c’est qu’il est accessible à tous. Contrairement au matériel de peinture à l’huile par exemple qui vous oblige à vider votre livret A. Là au moins, pour moins de 50 centimes on a un stylo et donc un moyen d’expression (parfois même une arme) qui permet de faire passer tout un tas de messages et d’émotions.
Mis à part les gribouillis sur les bouts de feuilles volantes pendant des appels téléphoniques ou dans les marges de cahiers pendant des réunions d’équipes, j’avais un peu mis le dessin de côté. Et puis 2020, le COVID, une grossesse et je déconfine mes stylos.
J’ai commencé par reproduire des personnages de Tim Burton (que j’adore) et une copine me met au défi de lui dessiner un portrait de David BOWIE (que j’aime aussi beaucoup).
Dessiner ce visage m’a beaucoup plu et j’ai commencé a dessiner les portraits d’artistes (musicaux) que j’aimais au stylo bleu uniquement (Jimi Hendrix, Mick Jagger, Ray Charles, Ma grand-mère…).
Traduire le regard est un vrai challenge car comme dirait Cicéron (un homme de loi et grand Orateur Romain) qui est né le même jour que moi à quelques années près : « si le visage est le miroir de l’âme, les yeux en sont les interprètes ».
J’ai commencé avec un format discret A4, puis A3 …, là je dessine sur du format 50 cm X 65 cm et je me suis surprise à plusieurs reprises à regarder les format 100 cm x 70 cm… (affaire à suivre…) .
J’ai ensuite inclus la couleur dans mes dessins et je me suis lancée dans la reproduction d’un dessin que j’aime beaucoup de l’artiste Ariel OLIVETTI en format 50 x 65 cm…. j’y ai passé plus de 3 mois…
Et puis l’idée de militer à travers mes dessins contre « l’absurde » que je prenais pleine face tous les jours dans le cadre de mon travail a commencé à me travailler (lutter contre les stéréotypes de genres, le racisme, les violences intrafamiliales, etc…) .
En bref les idées ne manquent pas il faudrait juste rajouter quelques heures aux journées pour pouvoir tout faire !
En espérant que ces quelques dessins vous plairont.
N’hésitez pas à visiter ma page instagram : « dessinsbic » d’Art’Abic
Art’Abic