Un ex-frère de la communauté Béatitudes vient de faire ses aveux pour acte de pédophilie sur des dizaines de mineurs entre 1985 à 2000. L’ancien frère Pierre Etienne alors âgé de 57ans a reconnu ses agressions sexuelles et attouchements sur mineurs de 5 à 14 ans. Un fait qui bouleverse sans aucun doute la communauté religieuse des Béatitudes dans l’abbaye de Bonnecombe mais aussi celle de Castres.
Etant un des fondateurs de l’association, à son arrivée, le passé de cet ancien frère était totalement inconnu des ses confrères jusqu’en 2003 où une jeune fille porta plainte et l’accuse de l’avoir embrassé. Entendu à la barre devant le juge d’instruction d’Avranche comme étant témoin, l’affaire n’a plus de suite après l’auto proclamation d’incompétence du magistrat. De retour à Aveyron, le frère lui-même se veut être pris en charge en informant volontairement les responsables qui ne tardèrent pas à prendre des décisions. Le plus juste est fait, Pierre Etienne fut relevé de ses fonctions et de la communauté. Sur le plan psychologique, il fut suivi de près, et l’on ne peut le laisser seul surtout avec des enfants.
Accompagné et soigné depuis des années, actuellement il reconnaît la gravité de ses actes antérieurs et les séquelles engendrées sur la « petite génération » dont le chiffre atteint maintenant le nombre de 50 enfants. Mais sa prise de conscience n’est pas assez forte pour l’amener à se rendre devant la justice néanmoins, il n’est pas contre l’idée qu’une personne le fasse à sa place. Sous contrôle judiciaire après avoir été entendu par les gendarmes et le juge d’instruction de Rodez, Pierre Etienne encours une peine de 10 ans d’emprisonnement, un soulagement pour les victimes.
Etant un des fondateurs de l’association, à son arrivée, le passé de cet ancien frère était totalement inconnu des ses confrères jusqu’en 2003 où une jeune fille porta plainte et l’accuse de l’avoir embrassé. Entendu à la barre devant le juge d’instruction d’Avranche comme étant témoin, l’affaire n’a plus de suite après l’auto proclamation d’incompétence du magistrat. De retour à Aveyron, le frère lui-même se veut être pris en charge en informant volontairement les responsables qui ne tardèrent pas à prendre des décisions. Le plus juste est fait, Pierre Etienne fut relevé de ses fonctions et de la communauté. Sur le plan psychologique, il fut suivi de près, et l’on ne peut le laisser seul surtout avec des enfants.
Accompagné et soigné depuis des années, actuellement il reconnaît la gravité de ses actes antérieurs et les séquelles engendrées sur la « petite génération » dont le chiffre atteint maintenant le nombre de 50 enfants. Mais sa prise de conscience n’est pas assez forte pour l’amener à se rendre devant la justice néanmoins, il n’est pas contre l’idée qu’une personne le fasse à sa place. Sous contrôle judiciaire après avoir été entendu par les gendarmes et le juge d’instruction de Rodez, Pierre Etienne encours une peine de 10 ans d’emprisonnement, un soulagement pour les victimes.
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