Après quelques minutes d’attente à la caisse, micro-coupure de courant, une seconde de noir et la lumière revient. Rien d’important évidemment. Sauf que les deux caisses ne sont pas équipées d’onduleur, que l’on appelle ici un « dispositif d’alimentation sans interruption », et ont donc redémarré. Arrivée immédiate du gérant qui constate le redémarrage des caisses et annonce aux clients l’arrêt des encaissements pendant 10 à 15 minutes, le temps que le système redémarre (on se demande s’ils ne sont pas encore sous Windows NT) ! Immédiatement une bonne vingtaine de clients se délaissent n’importe où de leurs produits et sortent du magasin. Nous sommes en Amérique du Nord et on ne va pas attendre 15’ un hypothétique redémarrage, alors qu’on peut acheter la même chose à quelques dizaines de mètres.
Pas d’encaissement pendant 15’ c’est très peu, c’est juste 0,05 % du chiffre d’affaires mensuel ; peut-être juste 1000 ou 2000 $ de chiffre d’affaires. Mais un onduleur permettant d’alimenter un serveur et plusieurs postes de caisse ne coute que 800 $, comme par exemple chez Bureau en gros
Pharmaprix fait partie de ces compagnies canadiennes qui dépensent des sommes importantes en intelligence d’affaires, en entrepôts de données, en analyse prédictive et leurs projets sont d’ailleurs très intéressants à suivre. Il est juste étonnant de constater que le chiffre d’affaires et la collecte de données dépendent finalement sur le terrain d’un simple onduleur à 800 $. L’analyse de données et le Big Data, commencent aux premières étapes de la chaine des données, au contact du client, en magasin. Nous ne devons jamais l’oublier.
Pas d’encaissement pendant 15’ c’est très peu, c’est juste 0,05 % du chiffre d’affaires mensuel ; peut-être juste 1000 ou 2000 $ de chiffre d’affaires. Mais un onduleur permettant d’alimenter un serveur et plusieurs postes de caisse ne coute que 800 $, comme par exemple chez Bureau en gros
Pharmaprix fait partie de ces compagnies canadiennes qui dépensent des sommes importantes en intelligence d’affaires, en entrepôts de données, en analyse prédictive et leurs projets sont d’ailleurs très intéressants à suivre. Il est juste étonnant de constater que le chiffre d’affaires et la collecte de données dépendent finalement sur le terrain d’un simple onduleur à 800 $. L’analyse de données et le Big Data, commencent aux premières étapes de la chaine des données, au contact du client, en magasin. Nous ne devons jamais l’oublier.













