Le fils d'Ali Benhdaj, Youssef. PH/El Mihwar
Selon les mêmes informations, le fils d’Ali Benhadj « a loué plusieurs bus depuis Alger, Boumerdes et Blida pour ramener les militants salafistes à Tizi-Ouzou », informe notre source. Elle a ajouté que même les deux journaux Ennahar et Echourouk ont aidé le numéro 2 de l’ex-FIS à organiser son action.
« Sur place, ce sont Ennahar et Echourouk, via une association fantoche de supporters de la JSK qui ont préparé le terrain avec la bénédiction du directeur des Affaires religieuses de la ville de Tizi-Ouzou », affirme encore notre source. « Il est de notoriété publique qu’Ennahar et Echourouk sautent sur ce genre d’occasion pour nourrir le sentiment antikabyle des Algériens », a-t-elle encore dit.
« Les gens de Tizi-Ouzou ne savaient pas qu’ils avaient affaire à des salafistes proches du FIS dissous », a encore informé notre source qui n’exclut toutefois pas, « l’adhésion de quelques salafistes de la région à cette action ».
La même source a souligné que l’enquête que mènent les services de sécurité a pour but d’identifier les initiateurs de cette action à laquelle les imams de la ville n’ont pas pris part, et que le directeur des Affaires religieuses a fait abstraction des directives de son ministre de tutelle en se joignant à une action des salafistes proches de l’ex-FIS.
aai
SIWEL 10 1643 AOÜT 13
« Sur place, ce sont Ennahar et Echourouk, via une association fantoche de supporters de la JSK qui ont préparé le terrain avec la bénédiction du directeur des Affaires religieuses de la ville de Tizi-Ouzou », affirme encore notre source. « Il est de notoriété publique qu’Ennahar et Echourouk sautent sur ce genre d’occasion pour nourrir le sentiment antikabyle des Algériens », a-t-elle encore dit.
« Les gens de Tizi-Ouzou ne savaient pas qu’ils avaient affaire à des salafistes proches du FIS dissous », a encore informé notre source qui n’exclut toutefois pas, « l’adhésion de quelques salafistes de la région à cette action ».
La même source a souligné que l’enquête que mènent les services de sécurité a pour but d’identifier les initiateurs de cette action à laquelle les imams de la ville n’ont pas pris part, et que le directeur des Affaires religieuses a fait abstraction des directives de son ministre de tutelle en se joignant à une action des salafistes proches de l’ex-FIS.
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Poursuivi depuis 2 jours, Massinissa Aylimas vient d'être arrêté par les autorités coloniales (mis à jour)