Dans le cadre de leur niche parlementaire, les sénatrices et sénateurs du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain (SER) ont défendu avec succès une proposition de loi au Sénat. Cette initiative vise à garantir la pérennité des établissements de spectacles cinématographiques dans les Outre-mer et à maintenir l'accès au cinéma pour les habitants de ces territoires.
Dans les territoires ultramarins, l'offre culturelle repose souvent sur des acteurs fragiles qui luttent au quotidien pour promouvoir la culture. Dans ce contexte, la préservation de l'accès à la culture, en particulier au cinéma, revêt une importance primordiale. Le cinéma demeure un loisir relativement abordable dans des territoires où le coût de la vie pénalise fortement le pouvoir d'achat des citoyens.
Cependant, depuis plus d'un an, les salles de cinéma ultramarines doivent faire face à une offensive commerciale concertée de la part des principaux distributeurs. Ces grandes multinationales ont entrepris d'augmenter brutalement les taux de location que les cinémas doivent leur reverser. Alors que ces taux étaient historiquement fixés à 35 % dans ces territoires, ils pourraient atteindre 50 % prochainement. Cette hausse serait un coup dur pour les exploitants de salles, déjà durement touchés par les conséquences de la crise du covid. Elle conduirait inévitablement à la fermeture de plusieurs établissements, privant ainsi des territoires entiers de cinémas et affaiblissant davantage l'offre culturelle ultramarine.
Face à cette situation, la proposition de loi défendue par le groupe SER propose de plafonner les taux de location en outre-mer à leur niveau historique de 35 %. Cette mesure vise à préserver les salles de cinéma et à garantir leur développement tout en maintenant des prix de billets abordables pour le public. L'adoption unanime de cette proposition de loi par le Sénat est une bouffée d'oxygène pour les exploitants de salles et les acteurs culturels ultramarins.
Dans les territoires ultramarins, l'offre culturelle repose souvent sur des acteurs fragiles qui luttent au quotidien pour promouvoir la culture. Dans ce contexte, la préservation de l'accès à la culture, en particulier au cinéma, revêt une importance primordiale. Le cinéma demeure un loisir relativement abordable dans des territoires où le coût de la vie pénalise fortement le pouvoir d'achat des citoyens.
Cependant, depuis plus d'un an, les salles de cinéma ultramarines doivent faire face à une offensive commerciale concertée de la part des principaux distributeurs. Ces grandes multinationales ont entrepris d'augmenter brutalement les taux de location que les cinémas doivent leur reverser. Alors que ces taux étaient historiquement fixés à 35 % dans ces territoires, ils pourraient atteindre 50 % prochainement. Cette hausse serait un coup dur pour les exploitants de salles, déjà durement touchés par les conséquences de la crise du covid. Elle conduirait inévitablement à la fermeture de plusieurs établissements, privant ainsi des territoires entiers de cinémas et affaiblissant davantage l'offre culturelle ultramarine.
Face à cette situation, la proposition de loi défendue par le groupe SER propose de plafonner les taux de location en outre-mer à leur niveau historique de 35 %. Cette mesure vise à préserver les salles de cinéma et à garantir leur développement tout en maintenant des prix de billets abordables pour le public. L'adoption unanime de cette proposition de loi par le Sénat est une bouffée d'oxygène pour les exploitants de salles et les acteurs culturels ultramarins.