Un homme âgé de 32 ans a agressé plusieurs personnes dans une aire de jeu où se trouvaient plusieurs classes d'une école voisine du Pâquier à Annecy.
Les victimes
Six personnes ont été blessées dont quatre enfants âgés de 22 mois à 3 ans, en état d'urgence absolue. Deux sont Français, tandis qu'un enfant est Néerlandais, un autre est Anglais, il s'agissait de touristes. Parmi l'un des adultes blessés a également été touché par un tir des policiers, qui tentaient de neutraliser l'attaquant.
L'agresseur
L'homme est originaire de Syrie, qu'il aurait quitté dès 2011 et le déclenchement de la guerre civile. Il serait Chrétien et aurait crié "Au nom de Jésus Christ" à plusieurs reprises avant de porter son attaque. Le suspect avait obtenu le statut de réfugié en Suède en 2013 mais avait déménagé en France car il n'avait pas obtenu la nationalité suédoise.
La Première ministre s'est rendue sur place avec Gérald Darmanin, le ministre de l'Intérieur. Aucun mobile terroriste apparent n'avait été identifié, selon la procureure de la République de Haute-Savoie, Line Bonnet-Mathis. D'après plusieurs médias nationaux, il semble que le mis-en-cause soit particulièrement agité en garde à vue.
Un rassemblement interdit
Plus tard dans la journée, plusieurs groupes d'ultradroite ont appelé à un rassemblement non loin du lieu de l'attaque. Malgré un arrêté préfectoral interdisant tout attroupement, pour limiter les risques de "troubles à l'ordre public". Une cinquantaine de personnes se sont quand même réunis, n'hésitant pas à prendre verbalement à parti des journalistes présents.
Les victimes
Six personnes ont été blessées dont quatre enfants âgés de 22 mois à 3 ans, en état d'urgence absolue. Deux sont Français, tandis qu'un enfant est Néerlandais, un autre est Anglais, il s'agissait de touristes. Parmi l'un des adultes blessés a également été touché par un tir des policiers, qui tentaient de neutraliser l'attaquant.
L'agresseur
L'homme est originaire de Syrie, qu'il aurait quitté dès 2011 et le déclenchement de la guerre civile. Il serait Chrétien et aurait crié "Au nom de Jésus Christ" à plusieurs reprises avant de porter son attaque. Le suspect avait obtenu le statut de réfugié en Suède en 2013 mais avait déménagé en France car il n'avait pas obtenu la nationalité suédoise.
La Première ministre s'est rendue sur place avec Gérald Darmanin, le ministre de l'Intérieur. Aucun mobile terroriste apparent n'avait été identifié, selon la procureure de la République de Haute-Savoie, Line Bonnet-Mathis. D'après plusieurs médias nationaux, il semble que le mis-en-cause soit particulièrement agité en garde à vue.
Un rassemblement interdit
Plus tard dans la journée, plusieurs groupes d'ultradroite ont appelé à un rassemblement non loin du lieu de l'attaque. Malgré un arrêté préfectoral interdisant tout attroupement, pour limiter les risques de "troubles à l'ordre public". Une cinquantaine de personnes se sont quand même réunis, n'hésitant pas à prendre verbalement à parti des journalistes présents.
