Pour la CGPME, l’accord dans sa forme actuelle pourrait mettre en difficulté les entreprises locales. Ainsi, le président refuse toujours de signer la hausse de 200 euros pour les bas salaires. Le protocole d’accord a par ailleurs été signé par les autres organisations patronales.
La crainte est de repartir en grève si aucune solution n’est trouvée. La CGPME propose de s’inspirer de l’accord trouvé en Martinique : une hausse des bas salaires oui, mais en allouant une prime aux travailleurs.
Mais au delà de ces désaccords, la CGPME accuse le LKP de séquestrer des employés pour faire pression. Affirmation qui ne plait évidemment pas à Elie Domota, ce dernier se réservant d’ailleurs le droit de porte plainte pour diffamation.
Pendant ce temps, la journée de mobilisation du 19 mars se prépare. Olivier Besancenot, le porte-parole du Nouveau parti anticapitaliste a notamment affirmé dans la presse que les organisations syndicales et politiques pourraient s’inspirer de la Guadeloupe. "Il faudrait faire des collectifs contre la profitation partout en France" a-t-il souligné.
La crainte est de repartir en grève si aucune solution n’est trouvée. La CGPME propose de s’inspirer de l’accord trouvé en Martinique : une hausse des bas salaires oui, mais en allouant une prime aux travailleurs.
Mais au delà de ces désaccords, la CGPME accuse le LKP de séquestrer des employés pour faire pression. Affirmation qui ne plait évidemment pas à Elie Domota, ce dernier se réservant d’ailleurs le droit de porte plainte pour diffamation.
Pendant ce temps, la journée de mobilisation du 19 mars se prépare. Olivier Besancenot, le porte-parole du Nouveau parti anticapitaliste a notamment affirmé dans la presse que les organisations syndicales et politiques pourraient s’inspirer de la Guadeloupe. "Il faudrait faire des collectifs contre la profitation partout en France" a-t-il souligné.