La Confédération générale du travail de La Réunion renouvelle ses instances à marche forcée. Deux ans avant le terme de son mandat, le secrétaire général est débarqué de sa fonction. Jacques Bhugon avait été élu il y a deux ans quasiment jour pour jour face à Corine Ramoune, Sylviane Dijoux et Jean-Yves Payet.
La défiance vis-à-vis de Jacques Bhugon s’est installée dès l’année 2022 lorsque des membres de la commission exécutive ont commencé à demander des éclaircissements sur des décisions considérées comme litigieuses au sein de l'organisation syndicale. Nous vous le révélions dans notre article du 7 avril.
Lors d'une commission exécutive, ses membres avaient exprimé leur défiance en mettant à l’ordre du jour de la réunion syndicale du 16 mai son éviction.
Dans la foulée de cette validation par le conseil confédéral, un congrès - le 14e de la CGTR - devra désigner dans les toutes prochaines semaines son successeur.
Concrètement, les adhérents de la CGTR devront désigner en premier lieu les membres de la nouvelle commission exécutive puis viendra l’élection du secrétaire général.
La défiance vis-à-vis de Jacques Bhugon s’est installée dès l’année 2022 lorsque des membres de la commission exécutive ont commencé à demander des éclaircissements sur des décisions considérées comme litigieuses au sein de l'organisation syndicale. Nous vous le révélions dans notre article du 7 avril.
Vraie boulette comptable et possibles coups bas au sein de la CGTR
Lors d'une commission exécutive, ses membres avaient exprimé leur défiance en mettant à l’ordre du jour de la réunion syndicale du 16 mai son éviction.
Dans la foulée de cette validation par le conseil confédéral, un congrès - le 14e de la CGTR - devra désigner dans les toutes prochaines semaines son successeur.
Concrètement, les adhérents de la CGTR devront désigner en premier lieu les membres de la nouvelle commission exécutive puis viendra l’élection du secrétaire général.