Ridwane Issa est l'un des candidats les plus en vue sur la cinquième circonscription. Le seul sondage réalisé et publié par Réunion La 1ère le place en troisième position des intentions de vote. Le membre de Banian veut se différencier de ses concurrents et se positionne comme l'élu 100% local face à Jean-Hugues Ratenon et Laurent Virapoullé qui ont obtenu des soutiens nationaux.
Il dénonce une entente entre ces candidats : "Il y a un point commun entre celui qui porte le drapeau d'Emmanuel Macron et [celui qui porte celui] de Jean-Luc Mélenchon, ces candidats de Paris défendent des intérêts qui ne sont pas ceux de La Réunion."
Il dénonce une entente entre ces candidats : "Il y a un point commun entre celui qui porte le drapeau d'Emmanuel Macron et [celui qui porte celui] de Jean-Luc Mélenchon, ces candidats de Paris défendent des intérêts qui ne sont pas ceux de La Réunion."
"Pêche aux voix et à la légine"
Ridwane Issa a lui aussi réagi à la polémique autour de Laurent Virapoullé. Les adversaires du candidat de la majorité présidentielle affirment qu'il serait illégal pour lui d'être député alors qu'il est président de l'armement Pêche Avenir. Ce dernier réfute totalement cela.
Mais le candidat de Banian évoque tout de même un conflit d'intérêts : "On a un capitaine d'industrie dont les quotas dépendent d'Emmanuel Macron. On sait déjà que l'intérêt de la population passera après celui de la légine..."
Autre sujet qui fâche pour le candidat bénédictin, celui de l'insécurité et notamment des reproches faits par certains responsables politiques locaux sur une possible stigmatisation des communautés mahoraise et comorienne. Ridwane Issa l'assure, "ceux qui le font (NDLR : ces reproches) montrent qu'ils sont à côté de la plaque". "Ce que nous stigmatisons, ce sont ceux qui font du mal à leur communauté. Des bandes de jeunes rivales s'affrontent sur notre territoire. De quel côté se situe M. Ratenon, lui qui vient sur le théâtre des violences mais qu'on ne voit ni avant ni après ?", s'interroge le premier adjoint de Patrice Selly à Saint-Benoit.
Ce dernier a profité de cet ultime point presse d'avant élection pour dénoncer les incohérences dans les campagnes de ses adversaires. "Malgré les enjeux autour du pouvoir d'achat et de la lutte contre l'insécurité, on a vu deux candidats mélanger les élections", assure Patrice Selly, "avec un candidat qui a voulu faire de cette campagne une pré-campagne municipale à Saint-André et l'autre qui a voulu régler des comptes avec la majorité municipale à Saint-Benoit".
Ridwane Issa a lui aussi réagi à la polémique autour de Laurent Virapoullé. Les adversaires du candidat de la majorité présidentielle affirment qu'il serait illégal pour lui d'être député alors qu'il est président de l'armement Pêche Avenir. Ce dernier réfute totalement cela.
Mais le candidat de Banian évoque tout de même un conflit d'intérêts : "On a un capitaine d'industrie dont les quotas dépendent d'Emmanuel Macron. On sait déjà que l'intérêt de la population passera après celui de la légine..."
Autre sujet qui fâche pour le candidat bénédictin, celui de l'insécurité et notamment des reproches faits par certains responsables politiques locaux sur une possible stigmatisation des communautés mahoraise et comorienne. Ridwane Issa l'assure, "ceux qui le font (NDLR : ces reproches) montrent qu'ils sont à côté de la plaque". "Ce que nous stigmatisons, ce sont ceux qui font du mal à leur communauté. Des bandes de jeunes rivales s'affrontent sur notre territoire. De quel côté se situe M. Ratenon, lui qui vient sur le théâtre des violences mais qu'on ne voit ni avant ni après ?", s'interroge le premier adjoint de Patrice Selly à Saint-Benoit.
Ce dernier a profité de cet ultime point presse d'avant élection pour dénoncer les incohérences dans les campagnes de ses adversaires. "Malgré les enjeux autour du pouvoir d'achat et de la lutte contre l'insécurité, on a vu deux candidats mélanger les élections", assure Patrice Selly, "avec un candidat qui a voulu faire de cette campagne une pré-campagne municipale à Saint-André et l'autre qui a voulu régler des comptes avec la majorité municipale à Saint-Benoit".