Madagascar, une dictature qui ne dit pas son nom.
Le président « TGV » de Madagascar cherche tous les moyens possibles et imaginables pour écarter de sa route les adversaires susceptibles de lui faire de l’ombrage aux prochaines présidentielles.
Il paraît, déjà, que ces élections ne pourront sans doute pas avoir lieu parce que l’État n’a pas les moyens financiers de les organiser !
Il se passe dans la Grande-Île la même chose que dans toutes les dictatures de la planète : les dirigeants s’en foutent plein les fouilles tandis que le peuple… « ben, qu’il crève ! »
On vire un ministre qui s’élève contre l’autoroute de Tamatave (construite par la Chine !) parce qu’elle va saccager une biodiversité unique au monde. Faut surtout pas contrarier les copains de Pékin !
On laisse crever de faim les populations du Sud, accablées par une sécheresse historique, quand le « TGV » aurait les moyens, à lui seul, de combler leur désespérance.
On interdit les meetings en extérieur : qui a les moyens de se payer une immense salle susceptible d’accueillir des milliers de partisans ?
Des candidats sont éjectés de la liste des présidentiables, avec des motifs qui ne sont que des prétextes.
Cela me rappelle que chez nous, dans notre douce France, patrie des libertés, nous avons si peu de présidentiables que les gens en viennent à se dire : « Les autres ont été si mauvais… pourquoi ne pas essayer la Le Pen ? »
Sauf que… C’est avec ce raisonnement que Hitler est devenu Chancelier du Reich. C’était en 1933 et on sait la suite.
Jonze : une statue d’esclave face à La Bourdonnais ?
Monsieur Jonze a émis une idée intéressante à la Télévision : Pourquoi ne pas dresser une statue d’esclave face à celle de La Bourdonnais ?
Voilà une idée qu’elle est bonne…
Je l’ai dit maintes fois, je suis contre le déboulonnage des statues, contre les changements de noms de rues. Il faut garder tout ça ; ce sont des témoins de l’histoire !
Détruire les statues de Lénine et Staline sont une hérésie : ces statues sont le moyen de dire : « Voilà ce qu’il ne faut plus faire, jamais ! »
Alors, une statue d’esclave face à celle du Commandeur, voilà une idée qu’elle est bonne !
Je suggère Edmond Albius.
Attaques sur Kiev : on fait quoi ?
Dans l’espoir de porter des coups au moral des Ukrainiens en faisant croire qu’il peut encore remporter une guerre qu’il ne gagnera jamais, le tsar Vladimir 1er vient de faire bombarder Kiev. Il doit en avoir marre de détruire des villes du Donbass déjà réduites à néant.
Et nous laissons faire…
Je suis contre la violence, contre toute forme de violence ; donc contre la guerre ; mais il est des moments où la légitime défense s’impose. Si on laisse faire Poutine, qu’on le veuille ou non, nous l’aurons, la guerre totale. Car perdu pour perdu, pour ne pas perdre la face, ce fumier n’hésitera pas à porter ses missiles sur Paris, Londres, Berlin ou Madrid.
« Sitarane, célèbre bandit et sorcier » : une ignorance sans limites !!!!!
C’était sur RFO voici peu. Une initiative pourtant intéressante pour initier les jeunes d’un collège de l’Est à notre histoire. Et voilà-t-y pas qu’un intervenant a ressorti la sinistre fable du sorcier Sitarane.
Au risque de me répéter, je rappellerai que Sitarane était un assassin, soit, mais sorcier jamais ! Le sorcier était Pierre Élie Calendrier, un vrai de vrai, qui avait tant tisané Sitarane qu’il en avait fait son exécuteur des basses oeuvres.
« Lanmitié solide »
Très belle transposition des « Copains d’abord » en créole antillais par ce farceur de Sam Alpha. Excellent. Mais ce matin, je me demande si l’amitié ne se barre pas en couilles parfois.
Quand je rencontre un ami dans la rue, je lui accorde tout mon temps, vraiment tout.
Quand nos routes se croisent, PYV et moi, PYV, vieux collègue du Quotidien, au Marché forain des Camélias, nous parlons de n’importe quoi un temps infini, oubliant presque ce que nous étions venus faire.
Voici quinze jours, je rencontrais J.-P V, collègue et ami de l’ex-Télé 7. Il était pressé, j’attendais le bus, mais nous avons posé nos glorieux proses sur les grosses roches à l’entrée du marché et avons bavardé de façon incontinente, ne me demandez pas combien de temps. Il a eu le temps de narrer par le menu une recette de poisson macéré qu’il avait mise au frais, ce satané gourmand.
Car c’est ça, « lanmitié solide ». Du temps, de la disponibilité pour l’autre.
Quand je rencontre Pierre G., très grand ex-présentateur du JT, au petit marché, nous restons un paquet de temps à refaire le monde et évoquer la déliquescence de l’audiovisuel.
Or, ce matin, j’en fus pour mes frais, dans le même coin des Camélias. Avisant un ancien pote, journaliste TV spécialisé dans les encombrements de la circulation. Heureux comme un môme, je l’interpellai. Il était à peine à dix mètres.
« Excuse-moi, je suis pressé » et il s’est barré en sens inverse.
Je suis resté comme un con sur mon bout de trottoir.
Quand un ami vous chie dans les manches, les enfants, ben ça fout le bourdon.
Le président « TGV » de Madagascar cherche tous les moyens possibles et imaginables pour écarter de sa route les adversaires susceptibles de lui faire de l’ombrage aux prochaines présidentielles.
Il paraît, déjà, que ces élections ne pourront sans doute pas avoir lieu parce que l’État n’a pas les moyens financiers de les organiser !
Il se passe dans la Grande-Île la même chose que dans toutes les dictatures de la planète : les dirigeants s’en foutent plein les fouilles tandis que le peuple… « ben, qu’il crève ! »
On vire un ministre qui s’élève contre l’autoroute de Tamatave (construite par la Chine !) parce qu’elle va saccager une biodiversité unique au monde. Faut surtout pas contrarier les copains de Pékin !
On laisse crever de faim les populations du Sud, accablées par une sécheresse historique, quand le « TGV » aurait les moyens, à lui seul, de combler leur désespérance.
On interdit les meetings en extérieur : qui a les moyens de se payer une immense salle susceptible d’accueillir des milliers de partisans ?
Des candidats sont éjectés de la liste des présidentiables, avec des motifs qui ne sont que des prétextes.
Cela me rappelle que chez nous, dans notre douce France, patrie des libertés, nous avons si peu de présidentiables que les gens en viennent à se dire : « Les autres ont été si mauvais… pourquoi ne pas essayer la Le Pen ? »
Sauf que… C’est avec ce raisonnement que Hitler est devenu Chancelier du Reich. C’était en 1933 et on sait la suite.
Jonze : une statue d’esclave face à La Bourdonnais ?
Monsieur Jonze a émis une idée intéressante à la Télévision : Pourquoi ne pas dresser une statue d’esclave face à celle de La Bourdonnais ?
Voilà une idée qu’elle est bonne…
Je l’ai dit maintes fois, je suis contre le déboulonnage des statues, contre les changements de noms de rues. Il faut garder tout ça ; ce sont des témoins de l’histoire !
Détruire les statues de Lénine et Staline sont une hérésie : ces statues sont le moyen de dire : « Voilà ce qu’il ne faut plus faire, jamais ! »
Alors, une statue d’esclave face à celle du Commandeur, voilà une idée qu’elle est bonne !
Je suggère Edmond Albius.
Attaques sur Kiev : on fait quoi ?
Dans l’espoir de porter des coups au moral des Ukrainiens en faisant croire qu’il peut encore remporter une guerre qu’il ne gagnera jamais, le tsar Vladimir 1er vient de faire bombarder Kiev. Il doit en avoir marre de détruire des villes du Donbass déjà réduites à néant.
Et nous laissons faire…
Je suis contre la violence, contre toute forme de violence ; donc contre la guerre ; mais il est des moments où la légitime défense s’impose. Si on laisse faire Poutine, qu’on le veuille ou non, nous l’aurons, la guerre totale. Car perdu pour perdu, pour ne pas perdre la face, ce fumier n’hésitera pas à porter ses missiles sur Paris, Londres, Berlin ou Madrid.
« Sitarane, célèbre bandit et sorcier » : une ignorance sans limites !!!!!
C’était sur RFO voici peu. Une initiative pourtant intéressante pour initier les jeunes d’un collège de l’Est à notre histoire. Et voilà-t-y pas qu’un intervenant a ressorti la sinistre fable du sorcier Sitarane.
Au risque de me répéter, je rappellerai que Sitarane était un assassin, soit, mais sorcier jamais ! Le sorcier était Pierre Élie Calendrier, un vrai de vrai, qui avait tant tisané Sitarane qu’il en avait fait son exécuteur des basses oeuvres.
« Lanmitié solide »
Très belle transposition des « Copains d’abord » en créole antillais par ce farceur de Sam Alpha. Excellent. Mais ce matin, je me demande si l’amitié ne se barre pas en couilles parfois.
Quand je rencontre un ami dans la rue, je lui accorde tout mon temps, vraiment tout.
Quand nos routes se croisent, PYV et moi, PYV, vieux collègue du Quotidien, au Marché forain des Camélias, nous parlons de n’importe quoi un temps infini, oubliant presque ce que nous étions venus faire.
Voici quinze jours, je rencontrais J.-P V, collègue et ami de l’ex-Télé 7. Il était pressé, j’attendais le bus, mais nous avons posé nos glorieux proses sur les grosses roches à l’entrée du marché et avons bavardé de façon incontinente, ne me demandez pas combien de temps. Il a eu le temps de narrer par le menu une recette de poisson macéré qu’il avait mise au frais, ce satané gourmand.
Car c’est ça, « lanmitié solide ». Du temps, de la disponibilité pour l’autre.
Quand je rencontre Pierre G., très grand ex-présentateur du JT, au petit marché, nous restons un paquet de temps à refaire le monde et évoquer la déliquescence de l’audiovisuel.
Or, ce matin, j’en fus pour mes frais, dans le même coin des Camélias. Avisant un ancien pote, journaliste TV spécialisé dans les encombrements de la circulation. Heureux comme un môme, je l’interpellai. Il était à peine à dix mètres.
« Excuse-moi, je suis pressé » et il s’est barré en sens inverse.
Je suis resté comme un con sur mon bout de trottoir.
Quand un ami vous chie dans les manches, les enfants, ben ça fout le bourdon.