Un esclavagiste à la tête de l’OIT ?
L’ONU mérite-t-elle encore d’exister ? « Le machin truc chouette en verre de New York » vaut-il encore les millions de milliards de dollars qu’il coûte à la planète ?
Il n’arrive à endiguer ni les guerres ni, encore moins, la pollution. Et d’une !
Et de deux, pour parachever son indécrottable vacuité, voici qu’un prince quatari est nommé à la tête du Bureau international du Travail, lequel bureau dépend du Secrétariat général de l’ONU.
Un prince directement responsable des centaines de morts (certains disent des milliers) qu’a coûtées la construction des infrastructures démesurées de la dernière Coupe du monde de foot. Un prince dirigeant un État où la femme est placée à peine au-dessus du crapaud. Un État où la peine de mort est monnaie courante. Un pays qui ne tolère aucune contestation sous peine de yatagan. Un pays où le réchauffement de la planète est vu comme une lubie de doux rêveurs. Un pays où l’esclavage est encore aimablement accepté : les Philippins et Indonésiens qui y vont sont traités moins bien que les chameaux de course cajolés par les émirs.
Si l’ONU tolère « ça »…
A quoi sert encore notre Parlement ?
La République française, telle que définie dans notre Constitution, n’existe plus !
A la moindre occasion, le gouvernement de macrotage saute par-dessus la tête des députés et sénateurs en invoquant telle loi constitutionnelle, pour refuser d’examiner les propositions de lois déposées par l’opposition.
Alors oui ! La République française, la démocratie à la française n’existent plus !
Les élus lèche-culs ne votent plus que les lois voulues par Macro(n) et ses affidés.
A Athènes et Sparte, il y a belle lurette que le peuple eût pris les armes contre ces gouvernements de gérontes et de ploutocrates.
Agressions, terrains envahis, injures racistes ; faut-il interdire le foot ?
Il ne se passe plus une semaine sans qu’un arbitre ne soit molesté ; sans qu’un joueur soit conspué en raison de sa couleur de peau ; sans qu’un terrain ne soit envahi par un public enragé par un score contraire.
Je n’accuse pas les joueurs : ils n’y sont pour rien. Ils sont trop payés ? Oui, sans doute, mais qu’est-ce qu’ils rapportent aux Ligues ! J’aimerais bien toucher autant.
Les responsables, ce sont ces partisans idiots qui n’ont même pas un petit pois en lieu et place de cervelle. Tout au plus un grain de lentille, et encore, un grain en gestation.
Alors… faut-il interdire le foot ? Je suis pour.
J’ai connu une époque, lointaine je vous l’accorde, où les joueurs entraient sur le stade avec un coeur gros comme ça et où le public respectait les décisions arbitrales.
Aujourd’hui, certains soi-disant footeux-de-devant-la-télé seraient prêts à pendre Didier Deschamps parce que notre Dimitri n’est pas en équipe de France.
J’aime Dimitri moi aussi mais Deschamps sait ce qu’il fait, non ?
Les gloutons du bouchon : 1 kg de viande en 3’ !
Un concours de mangeur de bouchons !!!!! Les organisateurs de cette écoeurante monstruosité n’étaient pas peu fiers de s’en vanter devant micros et caméras. Le gagnant s’en pétait la sous-ventrière en « se » racontant devant les mêmes micros et caméras : il venait d’engloutir plus d’un kilo de viande en moins de trois minutes. C’est-à-dire à peu près autant de viande que ce que mange un Bengali pauvre (c’est un pléonasme) en un an… Les concours de mangeurs de saucisses, de bouffeurs de riz cantonnais, de buveurs de bière sont de la même veine : ce sont des insultes à la misère du monde.
La sixième extinction de masse approche à grands pas ; je suggère de l’accélérer : il en sortira peut-être une nouvelle conscience ?
« Les 12 candidates dévoilées » : où ça ? où ça ?
C’était aux infographies durant une émission du JT sur Antenne : « Les 12 candidates à Miss Réunion enfin dévoilées ». Oups ! Comment ai-je pu rater ça ? Où ça i lé ? Où ça ? I voit la plime ?
Sérieusement… quand on prétend informer le plus grand nombre, mieux vaut réfléchir aux mots et aux phrases qu’on dit et qu’on écrit.
Finish, Stannah, Comme j’aime… La merde à l’écran.
Je me souviens avec nostalgie de ce que l’on appelait alors « la réclame » Les concepteurs publicistes se battaient à coups de stencils pour faire mieux que les copains. Vous vous rappelez « la pub pic et mab » de Ravate ? On nous les présentait une fois, une, pas trente-six, avant les séances de ciné. Aujourd’hui, pour bien prouver que le public est pris pour un assemblage de crétins de payants, les mêmes pubs sont reprises trois fois dans des plages publicitaires de 15’ et plus.
Je suggère de ne plus acheter aucun de ces produits dont on nous bassine avec les soi-disant mérites. Moi, en tout cas, c’est parti !
Mon ami Loïs…
Il y a des instants privilégiés dans la vie d’un individu…
La semaine dernière, j’ai eu l’immense bonheur de revoir mon vieux pote de lycée et de rugby, Lois Payet, revenu de son lointain exil australien. Il a débarqué chez moi un matin, souriant, pas changé pour un iota, « tel qu’en lui-même l’éternité le change ».
Ce furent deux heures d’échanges passionnants, de bavardages à bâtons rompus, d’une foultitude d’éclats de rire.
Il y avait plus de cinquante ans que nous ne nous étions pas vus mais c’était comme si nous nous étions quittés la veille !
J’ai eu le plaisir de lui apprendre, enfin, le sobriquet dont nous l’avions alors affublé : « fourmi grand galop ».
Parce que ce mec était un authentique grand champion de course à pied (il a remporté quatre fois le relais dionysien !)
Il est rentré dans sa famille du Western Australia mais a promis de revenir l’an prochain. Je prends date…
L’ONU mérite-t-elle encore d’exister ? « Le machin truc chouette en verre de New York » vaut-il encore les millions de milliards de dollars qu’il coûte à la planète ?
Il n’arrive à endiguer ni les guerres ni, encore moins, la pollution. Et d’une !
Et de deux, pour parachever son indécrottable vacuité, voici qu’un prince quatari est nommé à la tête du Bureau international du Travail, lequel bureau dépend du Secrétariat général de l’ONU.
Un prince directement responsable des centaines de morts (certains disent des milliers) qu’a coûtées la construction des infrastructures démesurées de la dernière Coupe du monde de foot. Un prince dirigeant un État où la femme est placée à peine au-dessus du crapaud. Un État où la peine de mort est monnaie courante. Un pays qui ne tolère aucune contestation sous peine de yatagan. Un pays où le réchauffement de la planète est vu comme une lubie de doux rêveurs. Un pays où l’esclavage est encore aimablement accepté : les Philippins et Indonésiens qui y vont sont traités moins bien que les chameaux de course cajolés par les émirs.
Si l’ONU tolère « ça »…
A quoi sert encore notre Parlement ?
La République française, telle que définie dans notre Constitution, n’existe plus !
A la moindre occasion, le gouvernement de macrotage saute par-dessus la tête des députés et sénateurs en invoquant telle loi constitutionnelle, pour refuser d’examiner les propositions de lois déposées par l’opposition.
Alors oui ! La République française, la démocratie à la française n’existent plus !
Les élus lèche-culs ne votent plus que les lois voulues par Macro(n) et ses affidés.
A Athènes et Sparte, il y a belle lurette que le peuple eût pris les armes contre ces gouvernements de gérontes et de ploutocrates.
Agressions, terrains envahis, injures racistes ; faut-il interdire le foot ?
Il ne se passe plus une semaine sans qu’un arbitre ne soit molesté ; sans qu’un joueur soit conspué en raison de sa couleur de peau ; sans qu’un terrain ne soit envahi par un public enragé par un score contraire.
Je n’accuse pas les joueurs : ils n’y sont pour rien. Ils sont trop payés ? Oui, sans doute, mais qu’est-ce qu’ils rapportent aux Ligues ! J’aimerais bien toucher autant.
Les responsables, ce sont ces partisans idiots qui n’ont même pas un petit pois en lieu et place de cervelle. Tout au plus un grain de lentille, et encore, un grain en gestation.
Alors… faut-il interdire le foot ? Je suis pour.
J’ai connu une époque, lointaine je vous l’accorde, où les joueurs entraient sur le stade avec un coeur gros comme ça et où le public respectait les décisions arbitrales.
Aujourd’hui, certains soi-disant footeux-de-devant-la-télé seraient prêts à pendre Didier Deschamps parce que notre Dimitri n’est pas en équipe de France.
J’aime Dimitri moi aussi mais Deschamps sait ce qu’il fait, non ?
Les gloutons du bouchon : 1 kg de viande en 3’ !
Un concours de mangeur de bouchons !!!!! Les organisateurs de cette écoeurante monstruosité n’étaient pas peu fiers de s’en vanter devant micros et caméras. Le gagnant s’en pétait la sous-ventrière en « se » racontant devant les mêmes micros et caméras : il venait d’engloutir plus d’un kilo de viande en moins de trois minutes. C’est-à-dire à peu près autant de viande que ce que mange un Bengali pauvre (c’est un pléonasme) en un an… Les concours de mangeurs de saucisses, de bouffeurs de riz cantonnais, de buveurs de bière sont de la même veine : ce sont des insultes à la misère du monde.
La sixième extinction de masse approche à grands pas ; je suggère de l’accélérer : il en sortira peut-être une nouvelle conscience ?
« Les 12 candidates dévoilées » : où ça ? où ça ?
C’était aux infographies durant une émission du JT sur Antenne : « Les 12 candidates à Miss Réunion enfin dévoilées ». Oups ! Comment ai-je pu rater ça ? Où ça i lé ? Où ça ? I voit la plime ?
Sérieusement… quand on prétend informer le plus grand nombre, mieux vaut réfléchir aux mots et aux phrases qu’on dit et qu’on écrit.
Finish, Stannah, Comme j’aime… La merde à l’écran.
Je me souviens avec nostalgie de ce que l’on appelait alors « la réclame » Les concepteurs publicistes se battaient à coups de stencils pour faire mieux que les copains. Vous vous rappelez « la pub pic et mab » de Ravate ? On nous les présentait une fois, une, pas trente-six, avant les séances de ciné. Aujourd’hui, pour bien prouver que le public est pris pour un assemblage de crétins de payants, les mêmes pubs sont reprises trois fois dans des plages publicitaires de 15’ et plus.
Je suggère de ne plus acheter aucun de ces produits dont on nous bassine avec les soi-disant mérites. Moi, en tout cas, c’est parti !
Mon ami Loïs…
Il y a des instants privilégiés dans la vie d’un individu…
La semaine dernière, j’ai eu l’immense bonheur de revoir mon vieux pote de lycée et de rugby, Lois Payet, revenu de son lointain exil australien. Il a débarqué chez moi un matin, souriant, pas changé pour un iota, « tel qu’en lui-même l’éternité le change ».
Ce furent deux heures d’échanges passionnants, de bavardages à bâtons rompus, d’une foultitude d’éclats de rire.
Il y avait plus de cinquante ans que nous ne nous étions pas vus mais c’était comme si nous nous étions quittés la veille !
J’ai eu le plaisir de lui apprendre, enfin, le sobriquet dont nous l’avions alors affublé : « fourmi grand galop ».
Parce que ce mec était un authentique grand champion de course à pied (il a remporté quatre fois le relais dionysien !)
Il est rentré dans sa famille du Western Australia mais a promis de revenir l’an prochain. Je prends date…