Le cyclone Freddy a frappé Madagascar mardi, affectant plus de 16 600 personnes et endommageant environ 4 500 maisons, selon le Bureau national de gestion des risques (BNGRC). Pour minimiser les risques, des milliers de personnes ont été hébergées préventivement dans des abris d'urgence. L'étendue complète des dégâts est toujours en cours d'évaluation. Néanmoins, cinq personnes ont perdu la vie.
Freddy a finalement touché Madagascar dans la région de Mananjary, une ville côtière de 25 000 habitants qui avait déjà été largement détruite l'an dernier par le cyclone Batsirai, faisant plus de 120 morts. Des habitants ramassaient des planches éparpillées dans les rues et beaucoup d'habitations ont perdu leur toit. Les écoles et les transports publics sont restés fermés dans plusieurs provinces.
Les habitants avaient lesté les toits avec des sacs de sable avant l'arrivée de la tempête, comme ils le font avant chaque nouvel épisode de ce type. Cependant, les vents ont parfois été plus forts. Les récoltes ont également été violemment secouées, ce qui fait craindre une pénurie de riz et de fruits dans l'un des pays les plus pauvres du monde.
Selon les représentants d'ONG sur place, les dégâts causés par le cyclone ne sont pas aussi importants que ceux du cyclone Batsirai. Les derniers bulletins de Météo-France indiquent que les conditions météorologiques continuent de s'améliorer progressivement sur Madagascar.
Lors de son passage à Madagascar, la vitesse moyenne du vent est tombée à 55 km/h. Cependant, Météo France prévient que le cyclone pourrait regagner en vigueur lorsqu'il traversera les eaux chaudes du canal du Mozambique en direction du continent africain.
Les régions situées entre le centre et le sud du Mozambique, à plus de 500 km au nord de la capitale Maputo, devraient être touchées vendredi, et le Zimbabwe pourrait également être affecté. Le gouvernement mozambicain a décrété l'alerte rouge et mis en alerte les services de secours, car le cyclone est considéré comme un "supercyclone" par les prévisionnistes.
Freddy a finalement touché Madagascar dans la région de Mananjary, une ville côtière de 25 000 habitants qui avait déjà été largement détruite l'an dernier par le cyclone Batsirai, faisant plus de 120 morts. Des habitants ramassaient des planches éparpillées dans les rues et beaucoup d'habitations ont perdu leur toit. Les écoles et les transports publics sont restés fermés dans plusieurs provinces.
Les habitants avaient lesté les toits avec des sacs de sable avant l'arrivée de la tempête, comme ils le font avant chaque nouvel épisode de ce type. Cependant, les vents ont parfois été plus forts. Les récoltes ont également été violemment secouées, ce qui fait craindre une pénurie de riz et de fruits dans l'un des pays les plus pauvres du monde.
Selon les représentants d'ONG sur place, les dégâts causés par le cyclone ne sont pas aussi importants que ceux du cyclone Batsirai. Les derniers bulletins de Météo-France indiquent que les conditions météorologiques continuent de s'améliorer progressivement sur Madagascar.
Lors de son passage à Madagascar, la vitesse moyenne du vent est tombée à 55 km/h. Cependant, Météo France prévient que le cyclone pourrait regagner en vigueur lorsqu'il traversera les eaux chaudes du canal du Mozambique en direction du continent africain.
Les régions situées entre le centre et le sud du Mozambique, à plus de 500 km au nord de la capitale Maputo, devraient être touchées vendredi, et le Zimbabwe pourrait également être affecté. Le gouvernement mozambicain a décrété l'alerte rouge et mis en alerte les services de secours, car le cyclone est considéré comme un "supercyclone" par les prévisionnistes.