Des minicentrales solaires électriques au cœur de La Réunion
Au cœur de La Réunion, les habitants de Mafate, soit près de 300 familles, expérimentent des installations solaires avec des batteries de stockage. Basée sur une technologie utilisant le lithium-ion, ces petites centrales électriques solaires stockent l’électricité dans des batteries dont l’autonomie peut couvrir jusqu’à 15 jours de besoins, si on maîtrise sa demande en énergie.
100% d’énergies propres d’ici 2030 est réalisable
Cette expérimentation d’autonomie énergétique via des minicentrales photovoltaïques pour les Mafatais nécessite une enveloppe budgétaire de 20 millions d’euros. À termes, elle vise un objectif plus global sur le territoire : le 100% d’énergie propre d’ici 10 ans.
Le SIDELEC Réunion, en synergie avec ses partenaires souhaitent faire de La Réunion une île verte. Et l’énergie solaire est une clé du développement.
L’ensemble des acteurs doivent être associés
Pour arriver à un tel objectif, c’est un mix énergétique vertueux que nous visons, sans compromettre l’équilibre de l’offre et de la demande. Il s’agit donc de créer les conditions de la mise en place de capacités de stockage optimales. Pour ce faire, la demande en énergie doit être maîtrisée dans l’ensemble des secteurs sur l’île.
Vers des moyens de productions décentralisés
Exécuter la trajectoire vers l’autonomie énergétique voulue par la loi TECV (Transition Écologique pour une Croissance Verte) implique un travail de fond sur l’efficacité énergétique du territoire. L’optimisation des ENR (Énergies Renouvelables) exigera des compromis juridiques et sociaux. Cela demandera une adaptation rapide des équipements de régulation du réseau électrique pour intégrer
les nouveaux moyens de productions décentralisées.
Une feuille de route commune
Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte pour atteindre l’autonomie énergétique. À l’heure actuel, le modèle de développement économique est basé sur des énergies fossiles qui se raréfient mais dont l’exploitation menacent la vie sur Terre. Le changement doit être structurel. Le travail de la Gouvernance énergie qui a comme feuille de la route la PPE (Programmation Pluriannuelle de l’Énergie) implique une prise en compte de tout le tissu socio-économique ainsi que de l’ensemble des ressources d’ENR disponible.
Au cœur de La Réunion, les habitants de Mafate, soit près de 300 familles, expérimentent des installations solaires avec des batteries de stockage. Basée sur une technologie utilisant le lithium-ion, ces petites centrales électriques solaires stockent l’électricité dans des batteries dont l’autonomie peut couvrir jusqu’à 15 jours de besoins, si on maîtrise sa demande en énergie.
100% d’énergies propres d’ici 2030 est réalisable
Cette expérimentation d’autonomie énergétique via des minicentrales photovoltaïques pour les Mafatais nécessite une enveloppe budgétaire de 20 millions d’euros. À termes, elle vise un objectif plus global sur le territoire : le 100% d’énergie propre d’ici 10 ans.
Le SIDELEC Réunion, en synergie avec ses partenaires souhaitent faire de La Réunion une île verte. Et l’énergie solaire est une clé du développement.
L’ensemble des acteurs doivent être associés
Pour arriver à un tel objectif, c’est un mix énergétique vertueux que nous visons, sans compromettre l’équilibre de l’offre et de la demande. Il s’agit donc de créer les conditions de la mise en place de capacités de stockage optimales. Pour ce faire, la demande en énergie doit être maîtrisée dans l’ensemble des secteurs sur l’île.
Vers des moyens de productions décentralisés
Exécuter la trajectoire vers l’autonomie énergétique voulue par la loi TECV (Transition Écologique pour une Croissance Verte) implique un travail de fond sur l’efficacité énergétique du territoire. L’optimisation des ENR (Énergies Renouvelables) exigera des compromis juridiques et sociaux. Cela demandera une adaptation rapide des équipements de régulation du réseau électrique pour intégrer
les nouveaux moyens de productions décentralisées.
Une feuille de route commune
Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte pour atteindre l’autonomie énergétique. À l’heure actuel, le modèle de développement économique est basé sur des énergies fossiles qui se raréfient mais dont l’exploitation menacent la vie sur Terre. Le changement doit être structurel. Le travail de la Gouvernance énergie qui a comme feuille de la route la PPE (Programmation Pluriannuelle de l’Énergie) implique une prise en compte de tout le tissu socio-économique ainsi que de l’ensemble des ressources d’ENR disponible.