Pour le Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR), il s’agit sans doute de l’une des “pires tragédies maritimes de ces dernières années”. Dans la nuit de mardi à mercredi, un bateau de pêche, vraisemblablement parti de Libye, a chaviré.
Suite à une panne de moteur, le navire a fait naufrage dans les eaux grecques à une cinquantaine de kilomètres de la ville de Pylos. D’après la centaine de survivants déjà retrouvés par les garde-côtes, plus de 700 personnes s'entassaient sur le navire à destination des côtes italiennes.
Un bateau pourtant repéré par Frontex
La polémique monte autour de ce naufrage en Grèce. Alors que le pays est déjà accusé de refouler violemment les migrants à sa frontière avec la Turquie, les premières informations montrent que le navire a été repéré plus tôt dans la journée par un avion de l’agence Frontex, en charge de la surveillance des frontières européennes. Pourtant, il a été laissé libre de continuer sa route, les autorités grecques affirmant que le bateau de pêche a “refusé toute aide”.
Ce drame vient encore alourdir le bilan de cette première partie de l’année en Méditerranée. Plus de 1000 corps ont été repêchés, alors que les départs depuis les côtes libyennes et tunisiennes s'accélèrent.
Suite à une panne de moteur, le navire a fait naufrage dans les eaux grecques à une cinquantaine de kilomètres de la ville de Pylos. D’après la centaine de survivants déjà retrouvés par les garde-côtes, plus de 700 personnes s'entassaient sur le navire à destination des côtes italiennes.
Un bateau pourtant repéré par Frontex
La polémique monte autour de ce naufrage en Grèce. Alors que le pays est déjà accusé de refouler violemment les migrants à sa frontière avec la Turquie, les premières informations montrent que le navire a été repéré plus tôt dans la journée par un avion de l’agence Frontex, en charge de la surveillance des frontières européennes. Pourtant, il a été laissé libre de continuer sa route, les autorités grecques affirmant que le bateau de pêche a “refusé toute aide”.
Ce drame vient encore alourdir le bilan de cette première partie de l’année en Méditerranée. Plus de 1000 corps ont été repêchés, alors que les départs depuis les côtes libyennes et tunisiennes s'accélèrent.