Les victimes présumées sont nombreuses, allant de politiciens à des chefs d'entreprises en passant par des banquiers, des agents comptables, des inspecteurs des impôts et des douaniers. Le préjudice estimé s'élève à plusieurs millions d'euros.
Nazra Said Hassani, qui était employés chez Huawei avant d'en être licenciée il y a environ six mois, aurait mis en place un système de placement sur le principe de la pyramide de Ponzi. L'argent récupéré auprès des derniers arrivants servant à payer les intérêts des premiers, donnant pendant quelque temps l'apparence d'un placement sérieux et efficace, jusqu'à ce qu'une fois les sommes collectées ayant atteint un montant considérable, l'instigateur ne ramasse le pactole et ne fuie à l'étranger, le plus loin possible de ceux qui auront eu le malheur de lui faire confiance.
Selon des sources concordantes, Nazra Said Hassani, usant de son statut d'employée de l'entreprise des télécommunications Huawei, aurait proposé à des investisseurs fortunés et naïfs de prêter de l'argent à l'entreprise chinoise qui soi-disant ne pouvait ouvrir de compte en banque aux Comores, contre un intérêt de 10 à 20% par an.
Nazra Said Hassani, après avoir détourné de la sorte plusieurs millions d'euros, aurait ensuite fui vers Madagascar sous un faux nom avec son mari, cadre dans une banque locale, et leur enfant. Elle a été refoulée vers Moroni le lendemain.
L'enquête ne fait que commencer, et la mise en cause bénéficie donc encore à ce stade de la présomption d'innocence. L'enquête devrait notamment s'orienter vers la recherche d'éventuels complices. Nazra Said Hassani bénéficiait apparemment de protections haut placées y compris au sein du gouvernement comorien, ce qui fait craindre à certaines victimes qu'elles ne connaitront jamais l'entière vérité sur cette affaire.
Nazra Said Hassani, qui était employés chez Huawei avant d'en être licenciée il y a environ six mois, aurait mis en place un système de placement sur le principe de la pyramide de Ponzi. L'argent récupéré auprès des derniers arrivants servant à payer les intérêts des premiers, donnant pendant quelque temps l'apparence d'un placement sérieux et efficace, jusqu'à ce qu'une fois les sommes collectées ayant atteint un montant considérable, l'instigateur ne ramasse le pactole et ne fuie à l'étranger, le plus loin possible de ceux qui auront eu le malheur de lui faire confiance.
Selon des sources concordantes, Nazra Said Hassani, usant de son statut d'employée de l'entreprise des télécommunications Huawei, aurait proposé à des investisseurs fortunés et naïfs de prêter de l'argent à l'entreprise chinoise qui soi-disant ne pouvait ouvrir de compte en banque aux Comores, contre un intérêt de 10 à 20% par an.
Nazra Said Hassani, après avoir détourné de la sorte plusieurs millions d'euros, aurait ensuite fui vers Madagascar sous un faux nom avec son mari, cadre dans une banque locale, et leur enfant. Elle a été refoulée vers Moroni le lendemain.
L'enquête ne fait que commencer, et la mise en cause bénéficie donc encore à ce stade de la présomption d'innocence. L'enquête devrait notamment s'orienter vers la recherche d'éventuels complices. Nazra Said Hassani bénéficiait apparemment de protections haut placées y compris au sein du gouvernement comorien, ce qui fait craindre à certaines victimes qu'elles ne connaitront jamais l'entière vérité sur cette affaire.