Communiqué de la députée Nathalie Bassire :
Suite au rapport d’information sur l’autonomie énergétique des Outre-Mer présenté le 19 juillet dernier à la Délégation Outre-Mer de l’Assemblée Nationale, je salue le travail réalisé par nos collègues rapporteurs Monsieur Davy RIMANE, député de Guyane, et Monsieur Jean-Hugues RATENON, député de La Réunion, ainsi que toute l’équipe administrative.
Il s’agit là à mon sens d’un rapport exposant une approche relativement équilibrée et nuancée de la stratégie énergétique dans les territoires ultramarins, en soulignant notamment l'importance de la diversification des sources d'énergie, de la durabilité environnementale et du respect des réglementations.
Il met en avant les défis spécifiques auxquels nos Outre-Mer sont confrontés et appelle à une exploration continue des technologies énergétiques renouvelables pour assurer un avenir énergétique stable et durable.
Je note que, dans l'ensemble, les recommandations proposées visent à promouvoir une transition énergétique durable dans les territoires d’Outre-Mer, en encourageant notamment l'adoption de sources d'énergie renouvelable, en favorisant l'économie circulaire et en soutenant des politiques locales adaptées aux spécificités de chaque territoire.
A titre de contribution, j’ai formulé 3 propositions complémentaires pour La Réunion (transposables à tout ou partie des autres territoires d’Outre-Mer) :
1- Formation et emplois locaux :
Le développement de nouvelles installations énergétiques pourrait être lié à des programmes de formation locaux, pour créer des emplois durables non délocalisés dans nos Outre-Mer, et augmenter l'expertise énergétique sur place.
2- Micro-réseaux :
Les micro-réseaux, qui permettent une distribution d'énergie plus locale et décentralisée, pourraient être une solution intéressante pour nos territoires dispersés et géographiquement isolés. Cela peut en effet favoriser une plus grande résilience et autonomie énergétique de nos Outre-Mer.
3- Création d'une plateforme de partage des meilleures pratiques en Outre-Mer :
Une « plateforme ultramarine de partage des meilleures pratiques en matière d'énergie » pourrait être créée pour permettre aux territoires ultramarins de tirer des leçons les uns des autres, dans un souci de mutualisation et d’optimisation, et ainsi harmoniser leurs efforts en matière d'autonomie énergétique.
Suite au rapport d’information sur l’autonomie énergétique des Outre-Mer présenté le 19 juillet dernier à la Délégation Outre-Mer de l’Assemblée Nationale, je salue le travail réalisé par nos collègues rapporteurs Monsieur Davy RIMANE, député de Guyane, et Monsieur Jean-Hugues RATENON, député de La Réunion, ainsi que toute l’équipe administrative.
Il s’agit là à mon sens d’un rapport exposant une approche relativement équilibrée et nuancée de la stratégie énergétique dans les territoires ultramarins, en soulignant notamment l'importance de la diversification des sources d'énergie, de la durabilité environnementale et du respect des réglementations.
Il met en avant les défis spécifiques auxquels nos Outre-Mer sont confrontés et appelle à une exploration continue des technologies énergétiques renouvelables pour assurer un avenir énergétique stable et durable.
Je note que, dans l'ensemble, les recommandations proposées visent à promouvoir une transition énergétique durable dans les territoires d’Outre-Mer, en encourageant notamment l'adoption de sources d'énergie renouvelable, en favorisant l'économie circulaire et en soutenant des politiques locales adaptées aux spécificités de chaque territoire.
A titre de contribution, j’ai formulé 3 propositions complémentaires pour La Réunion (transposables à tout ou partie des autres territoires d’Outre-Mer) :
1- Formation et emplois locaux :
Le développement de nouvelles installations énergétiques pourrait être lié à des programmes de formation locaux, pour créer des emplois durables non délocalisés dans nos Outre-Mer, et augmenter l'expertise énergétique sur place.
2- Micro-réseaux :
Les micro-réseaux, qui permettent une distribution d'énergie plus locale et décentralisée, pourraient être une solution intéressante pour nos territoires dispersés et géographiquement isolés. Cela peut en effet favoriser une plus grande résilience et autonomie énergétique de nos Outre-Mer.
3- Création d'une plateforme de partage des meilleures pratiques en Outre-Mer :
Une « plateforme ultramarine de partage des meilleures pratiques en matière d'énergie » pourrait être créée pour permettre aux territoires ultramarins de tirer des leçons les uns des autres, dans un souci de mutualisation et d’optimisation, et ainsi harmoniser leurs efforts en matière d'autonomie énergétique.