La rencontre entre les différents présidents avait eu lieu samedi matin à l'espace régional du Raizet aux Abymes, en présence du local de l'étape Ary Chalus, Guy Losbar (président du conseil départemental de Guadeloupe), Serge Letchimy (président du conseil exécutif de Martinique) ainsi que de Ben Issa Ousseni (président du conseil départemental de Mayotte), nous apprend France-Antilles pour demander que l'État prenne ses responsabilités en changeant réellement sa politique outre-mer. Les représentants de La Région Réunion n'ont pas participé à la rencontre.
Suite à cette réunion, Ary Chalus a indiqué qu'il comptait mettre en place un calendrier avec ses homologues des autres territoires ultramarins "avant la fin du mois d'août" afin dit-il "pouvoir mettre en place les 72 mesures du CIOM".
Outre le suivi des mesures du CIOM, ils ont par ailleurs demandé à participer aux débats autour de la révision constitutionnelle annoncée en Nouvelle-Calédonie, réforme qui modifierait les statuts de leurs territoires, écrit pour sa part le journal Le Monde.
Sur ce point, les élus martiniquais ont déjà validé "l'approfondissement de divers scénarios de révisions constitutionnelles", poursuit le média tandis que leurs homologues guadeloupéens ont pris la décision "d'engager sous six mois une réflexion sur la refonte des institutions locales", en plus de demander au gouvernement que la Guadeloupe soit inscrite dans le projet de réforme constitutionnelle.
Suite à cette réunion, Ary Chalus a indiqué qu'il comptait mettre en place un calendrier avec ses homologues des autres territoires ultramarins "avant la fin du mois d'août" afin dit-il "pouvoir mettre en place les 72 mesures du CIOM".
Les 70 mesures du gouvernement pour les Outre-Mer
Outre le suivi des mesures du CIOM, ils ont par ailleurs demandé à participer aux débats autour de la révision constitutionnelle annoncée en Nouvelle-Calédonie, réforme qui modifierait les statuts de leurs territoires, écrit pour sa part le journal Le Monde.
Sur ce point, les élus martiniquais ont déjà validé "l'approfondissement de divers scénarios de révisions constitutionnelles", poursuit le média tandis que leurs homologues guadeloupéens ont pris la décision "d'engager sous six mois une réflexion sur la refonte des institutions locales", en plus de demander au gouvernement que la Guadeloupe soit inscrite dans le projet de réforme constitutionnelle.