La visite de Charles III du 26 au 28 mars, sa première à l'étranger depuis son accession au trône en septembre, devait intervenir dans un contexte de forte mobilisation sociale en France, marquée notamment par des manifestations très violentes.
Initialement, la France avait prévu d'accueillir le souverain avec les honneurs, avec un programme comprenant une cérémonie sous l'Arc de Triomphe, un discours au Sénat, un banquet à Versailles et une visite à un vignoble biologique à Bordeaux.
Le report de la visite intervient alors que les syndicats français étaient mécontents de l'arrivée du roi en pleine crise sociale. Le personnel du Mobilier national par exemple avait annoncé son refus de dérouler le tapis rouge pour l'accueil de Charles III, et d'autres syndicats prévoyaient des actions pour protester contre sa venue. Olivier Besancenot, porte-parole du NPA, avait prévenu que le roi serait accueilli avec une grève générale, tandis que Jean-Luc Mélenchon estimait que ce n'était pas le bon moment pour cette visite, bien que le roi soit le bienvenu en France.
La neuvième journée de manifestation contre la réforme des retraites a eu lieu jeudi, donnant lieu à des heurts et 457 arrestations. Les autorités françaises avaient prévu de mobiliser 4 000 policiers et gendarmes pour encadrer la visite du roi, qui était sous haute surveillance.
La visite devait se dérouler jusqu'au mardi 28 mars, jour prévu pour la nouvelle journée de manifestations à l'appel de l'intersyndicale.
Initialement, la France avait prévu d'accueillir le souverain avec les honneurs, avec un programme comprenant une cérémonie sous l'Arc de Triomphe, un discours au Sénat, un banquet à Versailles et une visite à un vignoble biologique à Bordeaux.
Le report de la visite intervient alors que les syndicats français étaient mécontents de l'arrivée du roi en pleine crise sociale. Le personnel du Mobilier national par exemple avait annoncé son refus de dérouler le tapis rouge pour l'accueil de Charles III, et d'autres syndicats prévoyaient des actions pour protester contre sa venue. Olivier Besancenot, porte-parole du NPA, avait prévenu que le roi serait accueilli avec une grève générale, tandis que Jean-Luc Mélenchon estimait que ce n'était pas le bon moment pour cette visite, bien que le roi soit le bienvenu en France.
La neuvième journée de manifestation contre la réforme des retraites a eu lieu jeudi, donnant lieu à des heurts et 457 arrestations. Les autorités françaises avaient prévu de mobiliser 4 000 policiers et gendarmes pour encadrer la visite du roi, qui était sous haute surveillance.
La visite devait se dérouler jusqu'au mardi 28 mars, jour prévu pour la nouvelle journée de manifestations à l'appel de l'intersyndicale.