L'inauguration de ce centre de jour prendra place en face du lycée Mahatma Gandhi, dans un logement Semac en cours d'aménagement. Selon les chiffres du CCAS, la ville de Saint-André compte 186 demandeurs de domiciliation dont 20% environ sont recensés comme étant sans domicile fixe.
Si un centre d'accueil existe déjà à Saint-Benoit, ce dernier ne se charge que de la distribution du petit-déjeuner au public, contrairement au futur centre de jour de Saint-André, explique Linda Virapin, adjointe de quartier à Combustion et vice-présidente du CCAS de Saint-André.
En effet, s'il offrira également le petit-déjeuner aux sans-abris, le futur centre d'accueil de jour de la Porte des Salazes permettra à ces derniers de se doucher, de se laver et de repasser leurs vêtements sur place, "mais aussi de disposer de casiers individuels", poursuit l'élue. "Avec l'ouverture de cet accueil de jour, nos services pourront mettre en place un accueil individualisé avec chacune de ces personnes tout en respectant leur anonymat. Par ailleurs, cela permettra également de retisser du lien avec ces personnes, marginalisées pour certaines d'entre elles", ajoute Linda Virapin, "car elles participeront à la vie de l'accueil de jour".
Si un centre d'accueil existe déjà à Saint-Benoit, ce dernier ne se charge que de la distribution du petit-déjeuner au public, contrairement au futur centre de jour de Saint-André, explique Linda Virapin, adjointe de quartier à Combustion et vice-présidente du CCAS de Saint-André.
En effet, s'il offrira également le petit-déjeuner aux sans-abris, le futur centre d'accueil de jour de la Porte des Salazes permettra à ces derniers de se doucher, de se laver et de repasser leurs vêtements sur place, "mais aussi de disposer de casiers individuels", poursuit l'élue. "Avec l'ouverture de cet accueil de jour, nos services pourront mettre en place un accueil individualisé avec chacune de ces personnes tout en respectant leur anonymat. Par ailleurs, cela permettra également de retisser du lien avec ces personnes, marginalisées pour certaines d'entre elles", ajoute Linda Virapin, "car elles participeront à la vie de l'accueil de jour".
"Une nécessité"
La mise en place était une "nécessité" pour la municipalité en place, "au vu du nombre croissant de personnes qui se retrouvent à la rue, notamment chez les jeunes", regrette Linda Virapin. "Ces personnes ne deviennent pas sans-domicile fixe comme ça. Il y a eu à un moment de leur vie une rupture, que ce soit des addictions, une rupture de logement ou professionnelle. L'ouverture de ce centre leur permettra de retrouver un minimum de dignité".
Ce centre d'accueil de jour devrait à terme disposer d'une permanence d'accès aux soins de santé et d'un espace pour la distribution de colis alimentaires.
Outre l'ouverture de ce centre d'accueil de jour, la maire de Saint-André va bientôt ouvrir un troisième centre social dans le cœur de ville, tout en planchant sur l'ouverture d'un quatrième dans le secteur de Cambuston.
La mise en place était une "nécessité" pour la municipalité en place, "au vu du nombre croissant de personnes qui se retrouvent à la rue, notamment chez les jeunes", regrette Linda Virapin. "Ces personnes ne deviennent pas sans-domicile fixe comme ça. Il y a eu à un moment de leur vie une rupture, que ce soit des addictions, une rupture de logement ou professionnelle. L'ouverture de ce centre leur permettra de retrouver un minimum de dignité".
Ce centre d'accueil de jour devrait à terme disposer d'une permanence d'accès aux soins de santé et d'un espace pour la distribution de colis alimentaires.
Outre l'ouverture de ce centre d'accueil de jour, la maire de Saint-André va bientôt ouvrir un troisième centre social dans le cœur de ville, tout en planchant sur l'ouverture d'un quatrième dans le secteur de Cambuston.