"L’action sociale est en mouvement permanent, c’est ce qui fait sa force et sa modernité. Et elle est absolument essentielle à la vie de la commune et, surtout, à l’action politique", a tout d'abord lancé Patrice Selly, saluant au passage le travail effectué par le directeur et le personnel du CCAS. Un CCAS qui a retrouvé des couleurs cette année, grâce notamment à la hausse continuelle des subventions versées par la municipalité depuis 2020 lui permettant désormais d'être "au cœur de multiples enjeux économiques, sociaux et sociétaux", ajoute le maire.
"Vieillissement de la population, nouvelles formes de précarité, évolutions des modes et des conditions de vie, nouvelles mobilités géographiques, mutations économiques… Toutes ces évolutions ont un impact sur notre territoire bénédictin qu’il s’agit d’anticiper afin de répondre aux besoins d’équipements et de services sociaux de proximité qu’elles engendrent", ajoute Patrice Selly.
"Vieillissement de la population, nouvelles formes de précarité, évolutions des modes et des conditions de vie, nouvelles mobilités géographiques, mutations économiques… Toutes ces évolutions ont un impact sur notre territoire bénédictin qu’il s’agit d’anticiper afin de répondre aux besoins d’équipements et de services sociaux de proximité qu’elles engendrent", ajoute Patrice Selly.
Ne pas stigmatiser le bénéficiaire
Ainsi, dans le cadre de l'aide facultative, les services de la mairie travaillent actuellement à la mise en place d’une carte prépayée et pré-alimentée, rechargeable à distance et ne nécessitant pas de manipulation d’argent. Une carte qui permettrait aux personnes en situation de précarité de bénéficier sur critères de ressources d’une aide sociale pour l’achat de produits alimentaires. Une aide qui serait immédiate dans le cadre des secours d’urgence et qui à la différence des chèques d’accompagnement alimentaires, ne stigmatise pas le bénéficiaire qui pourra par ailleurs avoir la possibilité de limiter les enseignes, les réseaux ainsi que la zone géographique.
Le CCAS travaille également à la mise en place de bons santé-solidaire pour permettre aux personnes âgées et aux isolées d’accéder à diverses activités de bien-être, de santé et de prévention. La distribution de 500 bons santé-solidaire est d'ores et déjà programmée pour un montant total de 20.000 euros. "Je pense aussi à la lutte contre la pauvreté et aux mesures que nous avons prises pour lutter contre les inégalités de destin et pour favoriser la sortie de la pauvreté par l’insertion et le retour au travail, en particulier pour nos jeunes", ajoute Patrice Selly.
Ainsi, dans le cadre de l'aide facultative, les services de la mairie travaillent actuellement à la mise en place d’une carte prépayée et pré-alimentée, rechargeable à distance et ne nécessitant pas de manipulation d’argent. Une carte qui permettrait aux personnes en situation de précarité de bénéficier sur critères de ressources d’une aide sociale pour l’achat de produits alimentaires. Une aide qui serait immédiate dans le cadre des secours d’urgence et qui à la différence des chèques d’accompagnement alimentaires, ne stigmatise pas le bénéficiaire qui pourra par ailleurs avoir la possibilité de limiter les enseignes, les réseaux ainsi que la zone géographique.
Le CCAS travaille également à la mise en place de bons santé-solidaire pour permettre aux personnes âgées et aux isolées d’accéder à diverses activités de bien-être, de santé et de prévention. La distribution de 500 bons santé-solidaire est d'ores et déjà programmée pour un montant total de 20.000 euros. "Je pense aussi à la lutte contre la pauvreté et aux mesures que nous avons prises pour lutter contre les inégalités de destin et pour favoriser la sortie de la pauvreté par l’insertion et le retour au travail, en particulier pour nos jeunes", ajoute Patrice Selly.