L’affaire avait fait grand bruit sur les réseaux sociaux, et certains pensaient qu'il ne fallait pas prendre au sérieux les menaces. Appelant les Français à quitter le pays dans un délai d’un mois, sous peine d’attaque, le pamphlet était signé “Le Patriot”.
Pourtant, le ministère de l’Intérieur comorien s’est fendu d’un communiqué indiquant que les autorités veulent identifier le ou les auteurs. L’appel à la violence et les menaces “constituent des actes sévèrement punis sur le plan pénal”, rappellent les autorités. Ainsi, elles sont “pleinement mobilisées pour identifier les auteurs de ces tracts et leurs complices éventuels”.
Pourtant, le ministère de l’Intérieur comorien s’est fendu d’un communiqué indiquant que les autorités veulent identifier le ou les auteurs. L’appel à la violence et les menaces “constituent des actes sévèrement punis sur le plan pénal”, rappellent les autorités. Ainsi, elles sont “pleinement mobilisées pour identifier les auteurs de ces tracts et leurs complices éventuels”.