Il mesure entre 40 et 90 mètres de diamètre selon les estimations, soit plus que le météore de Tcheliabinsk dont l’onde de choc libérée par sa désintégration dans l’atmosphère en 2013 avait ravagé une partie de la forêt du sud de l’Oural.
« 2023 DZ2 », le doux nom de ce géocroiseur, n’a été découvert que tardivement, à la fin du mois de février dernier, par une équipe d’astronomes de l’Observatoire du Roque de los Muchachos situé dans Les Canaries.
Il passera à environ 168.000 km de la Terre, soit la moitié de la distance qui nous sépare de la Lune, dans la soirée de ce samedi vers 20h51 (heure de Paris), selon les calculs du centre d’études des objets proches de la Terre (Cneos) de la Nasa.
Il proviendrait de la ceinture d’astéroïdes située entre Mars et Jupiter et aurait été expulsé de son orbite après une série de collisions avec d’autres objets. Selon la NASA, le passage d’un astéroïde de cette taille à proximité de la Terre ne surviendrait que tous les dix ans.
« 2023 DZ2 », le doux nom de ce géocroiseur, n’a été découvert que tardivement, à la fin du mois de février dernier, par une équipe d’astronomes de l’Observatoire du Roque de los Muchachos situé dans Les Canaries.
Il passera à environ 168.000 km de la Terre, soit la moitié de la distance qui nous sépare de la Lune, dans la soirée de ce samedi vers 20h51 (heure de Paris), selon les calculs du centre d’études des objets proches de la Terre (Cneos) de la Nasa.
Il proviendrait de la ceinture d’astéroïdes située entre Mars et Jupiter et aurait été expulsé de son orbite après une série de collisions avec d’autres objets. Selon la NASA, le passage d’un astéroïde de cette taille à proximité de la Terre ne surviendrait que tous les dix ans.