L'enquête concernant la disparition de l'A 330 Rio-Paris a pris une nouvelle tournure depuis près d'une semaine. Après que la Marine française ait localisé les boîtes noires du vol AF 447, de nouvelles hypothèses ont été communiquées par le BEA ce lundi après-midi concernant la zone de recherches.
C'est la distance comprise entre la zone explorée actuellement au large du Brésil et la dernière position connue de l'appareil, soit une vingtaine de milles nautiques au Sud-Sud-Ouest, qui permet d'évoquer la thèse d'un demi-tour de la part de l'équipage. Un des nombreux messages ACARS (Aircraft communications adressing and reporting system) émis par l'Airbus vers 2h10 du matin garantissant avec exactitude la dernière position connue du vol.
C'est la distance comprise entre la zone explorée actuellement au large du Brésil et la dernière position connue de l'appareil, soit une vingtaine de milles nautiques au Sud-Sud-Ouest, qui permet d'évoquer la thèse d'un demi-tour de la part de l'équipage. Un des nombreux messages ACARS (Aircraft communications adressing and reporting system) émis par l'Airbus vers 2h10 du matin garantissant avec exactitude la dernière position connue du vol.
Un virage de 135 degrés ?
Selon le directeur du BEA, Jean-Paul Troadec, l'appareil aurait effectué un important virage de 135 degrés afin d'échapper à d'éventuelles turbulences. La thèse d'une perte de contrôle n'étant pas écartée pour autant. Mais pour le moment, les recherches des deux boîtes noires n'ont encore rien donné malgré la localisation réalisée grâce à un logiciel fourni par Thalès, la semaine dernière.
Quant aux boîtes noires, elles seraient distantes de 1,5 à 4 milles nautiques et restent difficiles à retrouver dans un relief des plus accidentés. Mais les drones-submersibles utilisés par la Marine nationale poursuivent tour-à-tour leur travail de recherches qui, depuis près d'une semaine ont pris une nouvelle dimension et relancé les espoirs de plusieurs dizaines de familles.
Selon le directeur du BEA, Jean-Paul Troadec, l'appareil aurait effectué un important virage de 135 degrés afin d'échapper à d'éventuelles turbulences. La thèse d'une perte de contrôle n'étant pas écartée pour autant. Mais pour le moment, les recherches des deux boîtes noires n'ont encore rien donné malgré la localisation réalisée grâce à un logiciel fourni par Thalès, la semaine dernière.
Quant aux boîtes noires, elles seraient distantes de 1,5 à 4 milles nautiques et restent difficiles à retrouver dans un relief des plus accidentés. Mais les drones-submersibles utilisés par la Marine nationale poursuivent tour-à-tour leur travail de recherches qui, depuis près d'une semaine ont pris une nouvelle dimension et relancé les espoirs de plusieurs dizaines de familles.
