Partie se ressourcer dans le cirque de Mafate, une famille en est revenue ce dimanche après-midi avec des ennuis. Et surtout sans voiture. "Notre véhicule en leasing a été désossé. Les quatre portières et le capot ont été volés", se désole Jean-Christophe, précisant avoir été prévenu par le professionnel lui louant la voiture, lui-même prévenu par une randonneuse ayant trouvé son contact dans la voiture disloquée.
De quoi agacer le Saint-Paulois qui déplore que les nouvelles règles concernant le transport des randonneurs n'aient pas été accompagnées de mesures de sécurisation. "Apparemment ça arrive tout le temps. On n'a même plus envie d'y aller", regrette celui qui a dû faire appel à son voisin pour regagner son domicile.
"Ce n'est pas la première fois que ça arrive, ça a déjà été signalé à plusieurs reprises à la mairie et à la préfecture", indique un conducteur de 4x4 opérant sur cet axe. "Il y a un mois, ce sont 13 voitures qui ont été fracturées. C'est totalement anormal".
Selon le professionnel de la route, face à la demande de sécurisation déjà formulée lors d'une réunion, les autorités auraient botté en touche en évoquant le caractère inondable du terrain. "Ça n'a rien à voir. On m'a aussi dit qu'il n'y avait pas le budget pour ça. C'est scandaleux que les pouvoirs publics ne se saisissent pas de cette question", ajoute celui qui se dit très en colère et embêté. "Il en va aussi de notre crédibilité"
De quoi agacer le Saint-Paulois qui déplore que les nouvelles règles concernant le transport des randonneurs n'aient pas été accompagnées de mesures de sécurisation. "Apparemment ça arrive tout le temps. On n'a même plus envie d'y aller", regrette celui qui a dû faire appel à son voisin pour regagner son domicile.
"Ce n'est pas la première fois que ça arrive, ça a déjà été signalé à plusieurs reprises à la mairie et à la préfecture", indique un conducteur de 4x4 opérant sur cet axe. "Il y a un mois, ce sont 13 voitures qui ont été fracturées. C'est totalement anormal".
Selon le professionnel de la route, face à la demande de sécurisation déjà formulée lors d'une réunion, les autorités auraient botté en touche en évoquant le caractère inondable du terrain. "Ça n'a rien à voir. On m'a aussi dit qu'il n'y avait pas le budget pour ça. C'est scandaleux que les pouvoirs publics ne se saisissent pas de cette question", ajoute celui qui se dit très en colère et embêté. "Il en va aussi de notre crédibilité"