Au cœur de la ville sans âme, j’ai parlé avec le cœur pendant plus d’une heure avec une âme sensible et belle. Mais il pleurait. Pourtant, pas une larme, pas un soupir. Ça ne se voyait pas de l’extérieur.
Oui, il y a ceux qui se lamentent pour un rien et, à l’opposé, il y a les forts, ceux qui, en toute circonstance, gardent leur dignité. Mais derrière ses paroles, j’ai vu cette immense souffrance d’un homme qui, sans rien dire, se bat contre l’adversité d’un monde de plus en plus inhumain. Oui, l’encadreur du bas de la rue Juliette Dodu à st Denis de La Réunion, fait partie de ces humains en voie de disparition, ces humains qui nous réconcilient avec l’humanité, ces humains qui aiment les autres humains et qui, pour rien au monde, n’accepteraient de ne pas offrir le meilleur d’eux-mêmes. Son travail frise la perfection. Pourquoi ? Tout simplement car son travail c’est sa vie. Il ne le sait peut-être pas mais sa dignité d’homme se retrouve dans la qualité de son travail. Offrir du médiocre aux autres, c’est être médiocre soi-même. Prions le ciel pour qu’il ne disparaisse pas, écrasé par une société malade d’un matérialisme excessif. Mais surtout, prions le ciel pour qu’il serve d’exemple et nous aide à redresser la barre d’une humanité de moins en moins humaine et qui risque fort, si ça continue, de s’enfoncer dans la médiocrité et de disparaître.
Oui, il y a ceux qui se lamentent pour un rien et, à l’opposé, il y a les forts, ceux qui, en toute circonstance, gardent leur dignité. Mais derrière ses paroles, j’ai vu cette immense souffrance d’un homme qui, sans rien dire, se bat contre l’adversité d’un monde de plus en plus inhumain. Oui, l’encadreur du bas de la rue Juliette Dodu à st Denis de La Réunion, fait partie de ces humains en voie de disparition, ces humains qui nous réconcilient avec l’humanité, ces humains qui aiment les autres humains et qui, pour rien au monde, n’accepteraient de ne pas offrir le meilleur d’eux-mêmes. Son travail frise la perfection. Pourquoi ? Tout simplement car son travail c’est sa vie. Il ne le sait peut-être pas mais sa dignité d’homme se retrouve dans la qualité de son travail. Offrir du médiocre aux autres, c’est être médiocre soi-même. Prions le ciel pour qu’il ne disparaisse pas, écrasé par une société malade d’un matérialisme excessif. Mais surtout, prions le ciel pour qu’il serve d’exemple et nous aide à redresser la barre d’une humanité de moins en moins humaine et qui risque fort, si ça continue, de s’enfoncer dans la médiocrité et de disparaître.