Vendredi dernier à 18h, son service diffuse en interne une fiche de poste pour le recrutement d’un conseiller "égalité femmes-hommes et handicap" qui sera placé sous l’autorité directe du Président de l’Université.
Et on peut lire que la mission de ce conseiller sera dédiée à "la lutte CONTRE l’égalité femmes-hommes et le handicap", mention qui ne sera toujours pas rectifiée dans la diffusion qui suivra un peu plus tard, à 19h, pour annuler et remplacer la précédente.
À croire que le DRH est bouleversé par sa mise en cause, au point de ne pas se relire ou de ne plus contrôler ses diffusions. Et probablement aussi l’actuel DGS par intérim, ex-directeur des affaires juridiques, confus d’être lui aussi visé par les rapports des inspecteurs.
Avec des cadres qui ne maîtrisent pas la langue française, comment peuvent-ils maîtriser le droit ? Et surtout, comment laisser passer une telle erreur au moment même où un rapport rédigé par trois inspecteurs du ministère de l'Enseignement supérieur, à la demande expresse de la ministre, pointe du doigt de nombreux cas de harcèlement, pour beaucoup sur des femmes?
Plus révélateur encore des pratiques en cours au sein de l'université où le président ne se maintient au pouvoir qu'au travers de la distribution de passe-droits et d'avantages à une "cour" d'affidés serviles, cette fiche de poste (catégorie A, niveau doctorat) serait établie selon nos informations pour recruter l’actuelle vice-présidente "égalité femmes-hommes", frappée par la limite d'âge et devant très prochainement partir à la retraite de sa carrière d’enseignante du second degré. A défaut d’avoir été promue maître de conférences en droit, comme l’avait un temps envisagé par Frederic Miranville.
Il s'agit donc d'une fausse offre d'emploi qui n'est là que pour donner l'illusion que les formes légales sont respectées. Avant meme sa publication, la bénéficiaire serait déjà connue. De la sorte, le président double son poste de vice-présidente, car ne peuvent rester vice-présidents que les cadres en exercice. Arrivés à la retraite, ils sont censés s’occuper d’autre chose, quitter la scène universitaire.
Vous remarquerez que le poste publié prévoit l’emploi d’un(e) contractuel(le)…au cas où. Ainsi, la personne choisie pourrait percevoir en même temps sa retraite et un salaire. Il y a des détails qui signent le crime.
Reste ce lapsus lourd de sens, vu l’actualité. Œuvrer CONTRE l’égalité femme-homme et être conseillé pour cela, il n’y a qu’à l’université qu’on voit ça !
Et on peut lire que la mission de ce conseiller sera dédiée à "la lutte CONTRE l’égalité femmes-hommes et le handicap", mention qui ne sera toujours pas rectifiée dans la diffusion qui suivra un peu plus tard, à 19h, pour annuler et remplacer la précédente.
À croire que le DRH est bouleversé par sa mise en cause, au point de ne pas se relire ou de ne plus contrôler ses diffusions. Et probablement aussi l’actuel DGS par intérim, ex-directeur des affaires juridiques, confus d’être lui aussi visé par les rapports des inspecteurs.
Avec des cadres qui ne maîtrisent pas la langue française, comment peuvent-ils maîtriser le droit ? Et surtout, comment laisser passer une telle erreur au moment même où un rapport rédigé par trois inspecteurs du ministère de l'Enseignement supérieur, à la demande expresse de la ministre, pointe du doigt de nombreux cas de harcèlement, pour beaucoup sur des femmes?
Plus révélateur encore des pratiques en cours au sein de l'université où le président ne se maintient au pouvoir qu'au travers de la distribution de passe-droits et d'avantages à une "cour" d'affidés serviles, cette fiche de poste (catégorie A, niveau doctorat) serait établie selon nos informations pour recruter l’actuelle vice-présidente "égalité femmes-hommes", frappée par la limite d'âge et devant très prochainement partir à la retraite de sa carrière d’enseignante du second degré. A défaut d’avoir été promue maître de conférences en droit, comme l’avait un temps envisagé par Frederic Miranville.
Il s'agit donc d'une fausse offre d'emploi qui n'est là que pour donner l'illusion que les formes légales sont respectées. Avant meme sa publication, la bénéficiaire serait déjà connue. De la sorte, le président double son poste de vice-présidente, car ne peuvent rester vice-présidents que les cadres en exercice. Arrivés à la retraite, ils sont censés s’occuper d’autre chose, quitter la scène universitaire.
Vous remarquerez que le poste publié prévoit l’emploi d’un(e) contractuel(le)…au cas où. Ainsi, la personne choisie pourrait percevoir en même temps sa retraite et un salaire. Il y a des détails qui signent le crime.
Reste ce lapsus lourd de sens, vu l’actualité. Œuvrer CONTRE l’égalité femme-homme et être conseillé pour cela, il n’y a qu’à l’université qu’on voit ça !