Wuambushu doit continuer coûte que coûte. Le Collectif Résistance Réunion/Mayotte en Action réitère depuis La Réunion son soutien total à l’opération imaginée par le ministère de l’Intérieur.
"Cette opération, et contrairement à ce qu’on a voulu nous faire croire ici, ce n’est pas une opération contre les Comoriens ou les Anjouanais ou contre les étrangers vivant à Mayotte, c’est vraiment une opération de lutte contre l’insécurité qui n’est plus à démontrer sur Mayotte. Il se passe des choses atroces, des décapitations, des choses qui devraient faire bouger les lignes mais qui ne le font pas tant que ça. Vous avez vu ici à La Réunion le nombre de fois qu’on s’est mobilisé pour lancer des SOS... on n’a pas eu de soutiens d’élus ou d’humanitaires ou autres...", affirme Amina Djoumoi, présidente du collectif. A ses côtés, les membres du collectif Ré/Ma brandissent les photos de personnes ayant subi des blessures. Des images qui illustrent selon elles le niveau de gravité dans lequel l'île aux parfums est plongée depuis des années.
La Réunion en écho de la mobilisation à Chirongui
"Cette opération on l’a demandée, on l’a attendue. Et on est là surtout pour dire aux autorités qu’il faut qu’elles aillent jusqu’au bout. C’est vrai qu’il y a le côté humanitaire qui n’est pas à oublier mais on a affaire à des bandes bien organisées et bien orchestrées qui sont déterminées à nuire", décrit-elle.
Le collectif qu'elle préside, qui est basé à La Réunion, se joint ainsi à ses "camarades" des collectifs situés dans le 101ème département. Il s'agit de Femmes Leaders, du Collectif des citoyens de Mayotte, du Collectif des citoyens de Mayotte ou encore du Comité de Défense des Intérêts de Mayotte.
Ce jeudi, à la même heure que ce point presse à Saint-Denis de La Réunion devait se tenir dans la ville de Chirongui un grand congrès en soutien à cette opération initié par tous ces collectifs.
"Cette opération, et contrairement à ce qu’on a voulu nous faire croire ici, ce n’est pas une opération contre les Comoriens ou les Anjouanais ou contre les étrangers vivant à Mayotte, c’est vraiment une opération de lutte contre l’insécurité qui n’est plus à démontrer sur Mayotte. Il se passe des choses atroces, des décapitations, des choses qui devraient faire bouger les lignes mais qui ne le font pas tant que ça. Vous avez vu ici à La Réunion le nombre de fois qu’on s’est mobilisé pour lancer des SOS... on n’a pas eu de soutiens d’élus ou d’humanitaires ou autres...", affirme Amina Djoumoi, présidente du collectif. A ses côtés, les membres du collectif Ré/Ma brandissent les photos de personnes ayant subi des blessures. Des images qui illustrent selon elles le niveau de gravité dans lequel l'île aux parfums est plongée depuis des années.
La Réunion en écho de la mobilisation à Chirongui
"Cette opération on l’a demandée, on l’a attendue. Et on est là surtout pour dire aux autorités qu’il faut qu’elles aillent jusqu’au bout. C’est vrai qu’il y a le côté humanitaire qui n’est pas à oublier mais on a affaire à des bandes bien organisées et bien orchestrées qui sont déterminées à nuire", décrit-elle.
Le collectif qu'elle préside, qui est basé à La Réunion, se joint ainsi à ses "camarades" des collectifs situés dans le 101ème département. Il s'agit de Femmes Leaders, du Collectif des citoyens de Mayotte, du Collectif des citoyens de Mayotte ou encore du Comité de Défense des Intérêts de Mayotte.
Ce jeudi, à la même heure que ce point presse à Saint-Denis de La Réunion devait se tenir dans la ville de Chirongui un grand congrès en soutien à cette opération initié par tous ces collectifs.