C’est en Martinique devant un parterre d’élus locaux que le ministre de l’Economie a affiché son intention de "réviser profondément l’octroi de mer". Bruno le Maire répondait ainsi aux attentes des acteurs économiques locaux qui faisaient part de leurs inquiétudes pour pérenniser leur activité.
Avant d’en arriver à cette perspective de travail, Bruno le Maire a balayé l’idée d’une suppression de la vieille taxe.
"Il n’y aura pas de suppression de l’octroi de mer car les effets négatifs l’emporteraient fortement sur les effets positifs mais nous sommes décidés à réviser profondément l’octroi de mer", a-t-il affirmé tout en confirmant la prise de position du président de la République sur cette question serpent de mer.
En octobre 2019 lors de son déplacement à l’île de La Réunion, le chef de l’Etat avait déjà insisté sur la nécessité de préserver cette ressource financière des collectivités locales. "On peut sans doute le moderniser, mais si on le baisse et on le supprime, on devra aussi supprimer les services qu'il y a en face", avait indiqué Emmanuel Macron tout en renvoyant les élus locaux à leur choix.
Selon Bruno le maire qui achève un déplacement dans les Antilles en cette fin mai, le fait de réviser en profondeur cette taxe "permettra de faire baisser le coût de la vie en Martinique tout en préservant les ressources financières des collectivités locales. Cela va supposer un vrai travail de détail. Nous sommes prêts à le faire ensemble pour avoir le meilleur résultat possible", a-t-il évoqué.
"Cet outil fiscal doit être réformé", a de son côté plaidé le président de la Collectivité territoriale de Martinique Serge Letchimy. "Il ne doit pas être une contrainte pour nos investisseurs. Il nous faut trouver une solution qui se substitue aux financements des collectivités territoriales. Je suis favorable à ce que l’octroi de mer devienne un élément de financement d’investissement", rapporte le journal France-Antilles.
Avant d’en arriver à cette perspective de travail, Bruno le Maire a balayé l’idée d’une suppression de la vieille taxe.
"Il n’y aura pas de suppression de l’octroi de mer car les effets négatifs l’emporteraient fortement sur les effets positifs mais nous sommes décidés à réviser profondément l’octroi de mer", a-t-il affirmé tout en confirmant la prise de position du président de la République sur cette question serpent de mer.
Décembre 2018 : Le Conseil Constitutionnel a tranché: L'octroi de mer est conforme à la Constitution
En octobre 2019 lors de son déplacement à l’île de La Réunion, le chef de l’Etat avait déjà insisté sur la nécessité de préserver cette ressource financière des collectivités locales. "On peut sans doute le moderniser, mais si on le baisse et on le supprime, on devra aussi supprimer les services qu'il y a en face", avait indiqué Emmanuel Macron tout en renvoyant les élus locaux à leur choix.
Selon Bruno le maire qui achève un déplacement dans les Antilles en cette fin mai, le fait de réviser en profondeur cette taxe "permettra de faire baisser le coût de la vie en Martinique tout en préservant les ressources financières des collectivités locales. Cela va supposer un vrai travail de détail. Nous sommes prêts à le faire ensemble pour avoir le meilleur résultat possible", a-t-il évoqué.
"Cet outil fiscal doit être réformé", a de son côté plaidé le président de la Collectivité territoriale de Martinique Serge Letchimy. "Il ne doit pas être une contrainte pour nos investisseurs. Il nous faut trouver une solution qui se substitue aux financements des collectivités territoriales. Je suis favorable à ce que l’octroi de mer devienne un élément de financement d’investissement", rapporte le journal France-Antilles.