Les inscriptions aux concours de l’enseignement devaient être clôturées ce vendredi 18 novembre. Mais faute d’un nombre suffisant de candidats, le ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse a décidé de laisser un peu de temps supplémentaire à de potentiels candidats. Les intéressés ont jusqu’au 2 décembre prochain pour effectuer leurs démarches.
La prolongation de l’ouverture des inscriptions concerne le recrutement des enseignants du premier degré et du second degré, des personnels d’éducation, des psychologues de l’éducation, des personnels d’encadrement, des personnels de la jeunesse et des sports, des personnels administratifs, sociaux, de santé et des bibliothèques mais aussi les inscriptions aux examens professionnels d’avancement de grade de la filière administrative et de la filière des bibliothèques.
La prolongation de l’ouverture des inscriptions concerne le recrutement des enseignants du premier degré et du second degré, des personnels d’éducation, des psychologues de l’éducation, des personnels d’encadrement, des personnels de la jeunesse et des sports, des personnels administratifs, sociaux, de santé et des bibliothèques mais aussi les inscriptions aux examens professionnels d’avancement de grade de la filière administrative et de la filière des bibliothèques.
Manque de candidats
Selon la presse hexagonale, à ce stade, le niveau d’inscrits serait inférieur à celui de l’année dernière à la même date, déjà historiquement bas.
Ce manque d’engouement aux concours 2023 fait écho à la crise de recrutement qui semble durable dans l'enseignement. L’an dernier, ce sont 4.000 postes qui n’avaient pas trouvé preneur, avec des déficits plus présents dans certaines matières telles que les mathématiques, la physique-chimie ou encore les lettres modernes.
Selon la presse hexagonale, à ce stade, le niveau d’inscrits serait inférieur à celui de l’année dernière à la même date, déjà historiquement bas.
Ce manque d’engouement aux concours 2023 fait écho à la crise de recrutement qui semble durable dans l'enseignement. L’an dernier, ce sont 4.000 postes qui n’avaient pas trouvé preneur, avec des déficits plus présents dans certaines matières telles que les mathématiques, la physique-chimie ou encore les lettres modernes.
Crise d’attractivité du métier
Le baromètre du bien-être au travail des personnels de l’Éducation nationale exerçant en établissement scolaire donne une idée de la baisse d'attractivité des métiers de l’enseignement.
Publiés en octobre dernier, les résultats de ce baromètre réalisé par le ministère de l’Education et de la Jeunesse dresse un état des lieux peu glorieux.
Basé sur les réponses de 62.000 personnels de l’Éducation nationale exerçant en école et en établissement scolaire, le baromètre indique que 6 personnels sur 10 se disent satisfaits de leur travail, un chiffre inférieur à la moyenne des Français en emploi. Seuls 2,5/10 ont déclaré avoir le sentiment d’exercer un métier valorisé dans la société. En revanche, 7,1/10 des personnes interrogées ont indiqué aimer travailler dans leur école ou leur établissement.
Le baromètre du bien-être au travail des personnels de l’Éducation nationale exerçant en établissement scolaire donne une idée de la baisse d'attractivité des métiers de l’enseignement.
Publiés en octobre dernier, les résultats de ce baromètre réalisé par le ministère de l’Education et de la Jeunesse dresse un état des lieux peu glorieux.
Basé sur les réponses de 62.000 personnels de l’Éducation nationale exerçant en école et en établissement scolaire, le baromètre indique que 6 personnels sur 10 se disent satisfaits de leur travail, un chiffre inférieur à la moyenne des Français en emploi. Seuls 2,5/10 ont déclaré avoir le sentiment d’exercer un métier valorisé dans la société. En revanche, 7,1/10 des personnes interrogées ont indiqué aimer travailler dans leur école ou leur établissement.