La semaine de 4 jours fait (très) timidement son chemin en France et ailleurs en Europe. L’idée est de rendre l’activité plus attractive, mais pourrait aussi s'avérer être un moyen de lutter contre la pénurie de main d'œuvre et le chômage.
Hôtellerie, restauration, BTP, commerce, transport/logistique, action sociale et le service à la personne, rien de nouveau dans les secteurs dits en tension. Malgré les efforts, des difficultés à embaucher persistent dans les entreprises de ces différents domaines.
Pour le commissaire européen à l’emploi et aux droits sociaux et député européen Nicolas Schmitt, les entreprises de l'Union européenne exerçant dans ces secteurs en tension auraient tout intérêt à mettre en place la semaine de 4 jours pour attirer des candidats.
Hôtellerie, restauration, BTP, commerce, transport/logistique, action sociale et le service à la personne, rien de nouveau dans les secteurs dits en tension. Malgré les efforts, des difficultés à embaucher persistent dans les entreprises de ces différents domaines.
Pour le commissaire européen à l’emploi et aux droits sociaux et député européen Nicolas Schmitt, les entreprises de l'Union européenne exerçant dans ces secteurs en tension auraient tout intérêt à mettre en place la semaine de 4 jours pour attirer des candidats.
" C’est quelque chose qui avance progressivement (…) parce que les nouvelles générations ont une certaine vision de l’équilibre entre le travail et la vie personnelle ", a-t-il plaidé dans un entretien accordé à l’agence de presse portugaise Lusa, tout en reconnaissant qu’il "n’y a pas de position commune", en Europe sur ce point.
Si le Portugal s'apprête à déployer un projet-pilote de mise en place de la semaine de quatre jours sans perte de revenus, réunissant une quarantaine d'entreprises, en France, les chefs d'entreprises à vouloir se lancer sont encore très minoritaires.
Quelques-unes ont tout de même opté pour cette réforme des quatre jours travaillés, c’est d'ailleurs le cas d’une poignée d’entreprises locales, notamment dans le domaine de la restauration.
Si le Portugal s'apprête à déployer un projet-pilote de mise en place de la semaine de quatre jours sans perte de revenus, réunissant une quarantaine d'entreprises, en France, les chefs d'entreprises à vouloir se lancer sont encore très minoritaires.
Quelques-unes ont tout de même opté pour cette réforme des quatre jours travaillés, c’est d'ailleurs le cas d’une poignée d’entreprises locales, notamment dans le domaine de la restauration.