Les natifs de l’île accordent une grande importance à la langue créole qui reste bien implantée sur le territoire.
Ce sont 90 % des natifs de l’île qui considèrent que la langue créole est importante pour l’identité du département et la quasi-totalité d’entre eux qui affirment la comprendre et la parler facilement. Cette connaissance de la langue créole se perd un peu plus chez les jeunes de 18-24 ans, qui avouent pour 10% d’entre eux ne pas totalement la maîtriser, contre 3% chez les plus âgés.
Les natifs de l’île veulent plus de place pour le créole réunionnais
Les natifs de l’île sont plus nombreux qu’il y a 10 ans à estimer que le créole réunionnais devrait être enseigné à l’école. Presque la moitié d’entre eux y sont favorables (49 % en 2020, contre 40% en 2010). Les natifs sont aussi de moins en moins nombreux à penser que le créole devrait se limiter à la sphère privée (35 % en 2020 contre 47% en 2010).
La pratique du créole et le souhait qu’il soit enseigné à l’école sont donc de plus en plus affirmés à La Réunion, bien que l’écart avec les autres DROM reste important. La grande majorité des natifs des Antilles-Guyane (de 84 % à 89 %) pensent que le créole devrait être enseigné à l’école et 20 % qu’il devrait se limiter à la sphère privée.
Ce sont 90 % des natifs de l’île qui considèrent que la langue créole est importante pour l’identité du département et la quasi-totalité d’entre eux qui affirment la comprendre et la parler facilement. Cette connaissance de la langue créole se perd un peu plus chez les jeunes de 18-24 ans, qui avouent pour 10% d’entre eux ne pas totalement la maîtriser, contre 3% chez les plus âgés.
Les natifs de l’île veulent plus de place pour le créole réunionnais
Les natifs de l’île sont plus nombreux qu’il y a 10 ans à estimer que le créole réunionnais devrait être enseigné à l’école. Presque la moitié d’entre eux y sont favorables (49 % en 2020, contre 40% en 2010). Les natifs sont aussi de moins en moins nombreux à penser que le créole devrait se limiter à la sphère privée (35 % en 2020 contre 47% en 2010).
La pratique du créole et le souhait qu’il soit enseigné à l’école sont donc de plus en plus affirmés à La Réunion, bien que l’écart avec les autres DROM reste important. La grande majorité des natifs des Antilles-Guyane (de 84 % à 89 %) pensent que le créole devrait être enseigné à l’école et 20 % qu’il devrait se limiter à la sphère privée.
Les Métropolitains bien moins croyants que les natifs
Concernant les religions, leur pratique reste très ancrée sur le territoire, bien moins qu’il y a dix ans. En 2020, les habitants de 15 ans ou plus déclarent à 81 % avoir une religion (contre 86 % en 2010).
À La Réunion comme ailleurs en Outre-mer, les natifs du département et les immigrants nés à l’étranger sont le plus fréquemment croyants (respectivement 86 % et 90 %).
Les résidents venus d’ailleurs en France sont moins nombreux à déclarer avoir une religion (55 %).
Des religions qui coexistent
Les trois religions les plus citées sont les religions chrétienne (86 % des croyants), hindouiste (12 %) et musulmane (7 % des croyants). Ce sont 11 % des croyants qui déclarent avoir plusieurs religions. Dans le même temps, 45 % de ceux qui déclarent avoir une religion y accordent beaucoup d’importance, une part en baisse de 6 points par rapport à 2010.
Concernant les religions, leur pratique reste très ancrée sur le territoire, bien moins qu’il y a dix ans. En 2020, les habitants de 15 ans ou plus déclarent à 81 % avoir une religion (contre 86 % en 2010).
À La Réunion comme ailleurs en Outre-mer, les natifs du département et les immigrants nés à l’étranger sont le plus fréquemment croyants (respectivement 86 % et 90 %).
Les résidents venus d’ailleurs en France sont moins nombreux à déclarer avoir une religion (55 %).
Des religions qui coexistent
Les trois religions les plus citées sont les religions chrétienne (86 % des croyants), hindouiste (12 %) et musulmane (7 % des croyants). Ce sont 11 % des croyants qui déclarent avoir plusieurs religions. Dans le même temps, 45 % de ceux qui déclarent avoir une religion y accordent beaucoup d’importance, une part en baisse de 6 points par rapport à 2010.