L’Agence Régionale de Santé et la Préfecture condamnent les actes de violence perpétrés ce jour à Koungou contre un bus de soignants du Centre Hospitalier de Mayotte, ont-elles déclaré dans un communiqué :
"Les violences physiques, verbales et intimidations perpétrées par ces individus envers les agents et soignants du CHM sont inacceptables et constituent une atteinte grave à l’engagement de ces professionnels pour la santé à Mayotte”.
L’ARS et la Préfecture ont tenu à rappeler l’importance de maintenir une offre de soins dans les meilleures conditions et ont apporté conjointement leur soutien à l’ensemble du personnel du Centre Hospitalier de Mayotte.
"Les violences physiques, verbales et intimidations perpétrées par ces individus envers les agents et soignants du CHM sont inacceptables et constituent une atteinte grave à l’engagement de ces professionnels pour la santé à Mayotte”.
L’ARS et la Préfecture ont tenu à rappeler l’importance de maintenir une offre de soins dans les meilleures conditions et ont apporté conjointement leur soutien à l’ensemble du personnel du Centre Hospitalier de Mayotte.
Plan blanc déclenché à Dzoumogné
Cet acte de violences envers les soignants n’est pas un acte isolé. Le 12 mai dernier, des individus s’étaient introduits au sein du Centre médical de référence (CMR) de Dzoumogné. Les délinquants avaient agressé des usagers et commis des actes de vandalisme. Une cellule de crise s’était immédiatement réunie au Centre Hospitalier de Mayotte.
En accord avec l’Agence Régionale de Santé, le déclenchement du plan blanc de l’établissement avait alors été décidé, impliquant la fermeture de l’établissement jusqu’à nouvel ordre.
Soignants et usagers avaient alors été transférés vers le site principal de Mamoudzou afin d’assurer leur sécurité et la continuité des soins.
Cet acte de violences envers les soignants n’est pas un acte isolé. Le 12 mai dernier, des individus s’étaient introduits au sein du Centre médical de référence (CMR) de Dzoumogné. Les délinquants avaient agressé des usagers et commis des actes de vandalisme. Une cellule de crise s’était immédiatement réunie au Centre Hospitalier de Mayotte.
En accord avec l’Agence Régionale de Santé, le déclenchement du plan blanc de l’établissement avait alors été décidé, impliquant la fermeture de l’établissement jusqu’à nouvel ordre.
Soignants et usagers avaient alors été transférés vers le site principal de Mamoudzou afin d’assurer leur sécurité et la continuité des soins.