EDITO Alors que l'opération Wuambushu était prévue de longue date, d'un coup d'un seul la presse métropolitaine se réveille et découvre qu'il y a un département précurseur en matière de troubles sociaux, politiques et sécuritaires. Ce 21 avril, nombre de rédactions françaises s’aperçoivent qu'un département français connaît des problèmes très importants face à une immigration incontrôlée. Problème dénoncé depuis longtemps en métropole. Ainsi, les rédactions se réveillent et daignent prêter attention à une action d'ampleur menée par le gouvernement. Mayotte a vu débarquer nombre de « journalistes » connaissant tout sur tout et s'autorisant à parler de tout et de rien sur un département oublié.
Dès lors, plateaux télé, papiers en presse écrite, itw en radio n'ont plus d'yeux et d'oreilles que pour un département français dénué de tout intérêt à leurs yeux jusque-là.
Du coup, des lascars sont envoyés en urgence car, selon les rédactions, Mayotte serait l'équivalent de Beyrouth ! (confer Régine Delfaut qui nous a présenté sur C-news un blindé digne de Mad Max, qui lui serait indispensable face aux exactions sur place. Alors qu'en même temps surgissait derrière elle un homme en short, T-shirt et savates deux doigts visiblement en toute quiétude !
Heureusement Mayotte a des élus qui savent rétablir des vérités. Ainsi, les nombreuses interventions de la député Estelle Youssoufa sur différents plateaux TV ont contribué à une vision beaucoup plus réaliste du terrain. Ce qui n'est pas le cas de Mayotte la 1ère où les « journalistes » sont des plus heureux de pouvoir se glorifier de passer sur les antennes nationales, n'hésitant pas à forcer l'image d'une situation qui n'est somme toute pas extraordinaire par rapport à un quotidien vécu depuis quelques années.
Il aura fallu qu'un ministre en recherche de communication prenne fait et cause contre l'immigration clandestine, cheval de bataille de Marine Le Pen qui a fait le plus gros score aux élections présidentielles à Mayotte, pour faire montre d'une pseudo détermination afin de bouter hors les murs l'envahisseur comorien.
En tout état de cause, il ressort que cette polémique, qui pourrait être très rapidement réglée par le Quai d'Orsay ne saurait être. Chacun se gargarisant quotidiennement d'avoir pu assister, qui à un barrage, qui à interpellations, qui à discussions, n'offrent aucun intérêt quant à l'évolution et la sortie de crise provoquée. Pareil déploiement de force face
à quelques vilains pour se retrouver bloqué par une organisation communiste des droits de l'homme utilisant le pouvoir juridique reste d'un ridicule à hurler.
Dès lors, plateaux télé, papiers en presse écrite, itw en radio n'ont plus d'yeux et d'oreilles que pour un département français dénué de tout intérêt à leurs yeux jusque-là.
Du coup, des lascars sont envoyés en urgence car, selon les rédactions, Mayotte serait l'équivalent de Beyrouth ! (confer Régine Delfaut qui nous a présenté sur C-news un blindé digne de Mad Max, qui lui serait indispensable face aux exactions sur place. Alors qu'en même temps surgissait derrière elle un homme en short, T-shirt et savates deux doigts visiblement en toute quiétude !
Heureusement Mayotte a des élus qui savent rétablir des vérités. Ainsi, les nombreuses interventions de la député Estelle Youssoufa sur différents plateaux TV ont contribué à une vision beaucoup plus réaliste du terrain. Ce qui n'est pas le cas de Mayotte la 1ère où les « journalistes » sont des plus heureux de pouvoir se glorifier de passer sur les antennes nationales, n'hésitant pas à forcer l'image d'une situation qui n'est somme toute pas extraordinaire par rapport à un quotidien vécu depuis quelques années.
Il aura fallu qu'un ministre en recherche de communication prenne fait et cause contre l'immigration clandestine, cheval de bataille de Marine Le Pen qui a fait le plus gros score aux élections présidentielles à Mayotte, pour faire montre d'une pseudo détermination afin de bouter hors les murs l'envahisseur comorien.
En tout état de cause, il ressort que cette polémique, qui pourrait être très rapidement réglée par le Quai d'Orsay ne saurait être. Chacun se gargarisant quotidiennement d'avoir pu assister, qui à un barrage, qui à interpellations, qui à discussions, n'offrent aucun intérêt quant à l'évolution et la sortie de crise provoquée. Pareil déploiement de force face
à quelques vilains pour se retrouver bloqué par une organisation communiste des droits de l'homme utilisant le pouvoir juridique reste d'un ridicule à hurler.