Un an après sa victoire aux élections présidentielles, Nicolas Sarkozy ne compte pas changer sa politique. La baisse de sa popularité n’empêche pas ne l’empêchera pas de continuer ses reformes, au contraire il défend son bilan. Plusieurs mea-culpa pendant son discours, « bien sûr j’ai fais des erreurs ». Des erreurs de sa part, Nicolas Sarkozy les reconnaît ; il défend ses idées notamment sur la question de la suppression d’emploi dans l’éducation nationale.
Sur le plan national, l’on ne pourra pas attendre donc un changement quelconque dans la politique présidentielle. Plusieurs point a été évoqués, pour la retraite, l’immigration : ancien ministre des affaires étrangères, l’immigration et la régularisation des sans papiers suivront la loi, une fiche de paye ne pourra nullement la faciliter ; la Turquie n’entrera pas dans l’Union Européenne parce qu’elle ne s’y trouve pas géographiquement. La relation franco-chinoise reste encore à savoir, après les émeutes de Paris lors du passage de la flamme olympique et la nomination du Dalaï Lama comme citoyen d’honneur, Nicolas Sarkozy ne s’est pas proclamé sur l’idée d’un boycott des jeux olympiques.
Nicolas Sarkozy n’a pas seulement défendu son bilan, il s’attaque aussi aux espérances des Français d’ici 5 ans et non 1 ans après son élection. On maintien le cap, il n’y aura pas d’autres d’alternatives contre les reformes, c’est ce qu’on peut tirer de cette conférence de presse, une conclusion qui n’annonce rien de bon pour la CGT. Alors Nicolas Sarkozy a-t-il convaincu ou non le peuple français, il reste plus maintenant qu’à attendre les prochains sondages.
Sur le plan national, l’on ne pourra pas attendre donc un changement quelconque dans la politique présidentielle. Plusieurs point a été évoqués, pour la retraite, l’immigration : ancien ministre des affaires étrangères, l’immigration et la régularisation des sans papiers suivront la loi, une fiche de paye ne pourra nullement la faciliter ; la Turquie n’entrera pas dans l’Union Européenne parce qu’elle ne s’y trouve pas géographiquement. La relation franco-chinoise reste encore à savoir, après les émeutes de Paris lors du passage de la flamme olympique et la nomination du Dalaï Lama comme citoyen d’honneur, Nicolas Sarkozy ne s’est pas proclamé sur l’idée d’un boycott des jeux olympiques.
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