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Normandie

Dominique Gambier est vice-président du conseil régional. Sur son blog, il livre une critique de « La Normandie en Débat » un excellent ouvrage publié par les éditions OREP et soutenu par les universités de Caen, Rouen, Le Havre.

Je vous en conseille vivement la lecture, ainsi que celle du blog de mon ami et collègue. Bien entendu, mon point de vue est radicalement contraire au sien, je crois, plus que jamais, qu'il faut réunifier la Normandie, arbitrairement divisée. La division nous coûte un point de croissance et des milliers d'emplois...

Mais que le débat s'engage... Je vous en fournis les liens utiles ci-dessous.


A lire d'urgence, avant les élections régionales !
A lire d'urgence, avant les élections régionales !
La Normandie en Débat aux  éditions Orep Bayeux

Journal Politique de Dominique Gambier, cliquer ici.

LIre aussi ma dernière contribution au débat : Haro ! La Normandie souffre cliquer ici


Des photos, des vidéos de ces heures historiques



Louviers : Des images de la visite de François Hollande

La ruée de la foule
La ruée de la foule

Gentillesse, disponibilité, chaleur
Gentillesse, disponibilité, chaleur

Bienvenue à Louviers, monsieur le Président
Bienvenue à Louviers, monsieur le Président

Avec la famille de PMF
Avec la famille de PMF

Visite du musée (1)
Visite du musée (1)

Découverte de documents
Découverte de documents

L'histoire politique de Louviers mérite explication !
L'histoire politique de Louviers mérite explication !

Avec mon père, le docteur Martin et Daniel Marinier
Avec mon père, le docteur Martin et Daniel Marinier

Louviers : Des images de la visite de François Hollande

Louviers : Des images de la visite de François Hollande

Une bonne note pour la France, conclut le Figaro Magazine dans un article relatant l'attribution d'un prix international d'architecture à l'agence OPUS 5.
Une bonne note pour LOUVIERS, ajouterai-je car ce prix récompense la rénovation de l'école de musique de Louviers. Décidément, cette fin d'année est fertile en belles et bonnes nouvelles !


Une bonne note pour Louviers et une bonne claque pour les néfastes qui ont combattu ce projet sans désarmer
Une bonne note pour Louviers et une bonne claque pour les néfastes qui ont combattu ce projet sans désarmer

Après une longue période d'attente, c'est désormais officiel. J'accueillerai le président de la République dans la matinée du 5 janvier à Louviers.


La visite est annoncée sur le site officiel de la Présidence de la République
La visite est annoncée sur le site officiel de la Présidence de la République
Louviers n'a pas connu de visite d'un chef d'Etat depuis celle du général de Gaulle, juste après la Libération ; à l'exception bien entendu de la période où Pierre Mendès France était président du Conseil. C'est dire l'honneur qui est fait à notre ville.

Pour sortir du piège créé par Sarkozy lorsqu'il a - de façon brouillonne -remplacé la taxe professionnelle par la CFE, les élus se mobilisent et proposent des solutions. Voir ma conférence de presse.

Lors de cette conférence de presse, le président de la Chambre de commerce, Gilles Treuil, m'a publiquement remercié des efforts que fait la CASE pour détricoter l'embrouille.

Du côté de l'Assemblée nationale, le député de l'Eure, Jean Louis Destans intervient pour modifier le texte de loi.

Voir aussi le reportage de France 2 ; écouter la chronique de Dominique Le Seux sur France Inter...


COMMUNIQUÉ DE JEAN-LOUIS DESTANS

Contribution Foncière des Entreprises : le Gouvernement et la majorité présidentielle répondent à l'inquiétude

Face à l'inquiétude concernant l'augmentation de la contribution foncière des entreprises, le Gouvernement et la majorité parlementaire ont pris des engagements cet après-midi.

Dans la loi de finances pour 2010, le Gouvernement Fillon a décidé de supprimer la taxe professionnelle pour la remplacer par une nouvelle contribution, la contribution économique territoriale, dont le rendement est 5 fois moindre. "Cette décision a consisté à réduire de manière drastique les marges de manœuvre déjà faibles des communes et des intercommunalités" précise Jean Louis Destans. Il en résulte aujourd'hui une forte augmentation des cotisations foncières des entreprises.

"Pour répondre à l'inquiétude légitime des petites entreprises et des commerçants, un amendement sera proposé dans le cadre de la loi de finances rectificative qui permettra aux collectivités locales de revoir leurs dispositifs pour l'année 2012 " C'est donc la possibilité de procéder à un réajustement qui est ouverte et dont les collectivités concernées seront libres de se saisir", et de préciser "je voterai cet amendement" indique Jean Louis Destans. Le Gouvernement accordera également des délais supplémentaires pour s'acquitter de la taxe au titre de l'année 2012.

Présenté lors du 20h, le dimanche 18 novembre 2012

Le point de vue de Dominique SEUX dans l'édito écho de France Inter, le lundi 19 novembre 2012

Le tracé de l'autoroute de liaison entre l'A28 A13 est connu. Il correspond à nos attentes. Les élus responsables - y en a-t-il d'autres - doivent maintenant travailler à maximiser les avantages liés au projet et en minimiser les inconvénients. Et il y a du pain sur la planche, car chacun sait que si l'enfer est pavé de bonnes intentions, c'est parce que le diable se cache dans les détails et qu'un excellent projet peut donner naissance à un cauchemar.


Il est temps de retrousser ses manches et d'abord dans le cadre d'une conférence Inter-Scot qui permettra de traiter l'impact positif et négatif du projet à une échelle pertinente. A l'échelle locale, il est crucial de surveiller la bonne implantation des diffuseurs, le positionnnement des péages. Lorsque le tracé sera plus précis, il faudra exiger les aménagements permettant de minimiser les nuisances sonores et visuelles pour les quelques riverains.

Un pont relie les hommes avant de relier les rives et je conteste formellement l'idée que la construction d'un grand viaduc constitue une dégradation du paysage. Sans aller jusqu'au viaduc de Millau, qui fait l'admiration du monde entier, le Pont de Normandie et le Pont de Brotonne méritent bien le nom d'ouvrages d'art. Le Pont de Normandie, le Pont de Brotonne comme le Chateau Gaillard et naguère le Pont de Tancarville sont des éléments d'attraction touristique incontestables dans la vallée de la Seine.

Faut-il encore débattre du bien fondé du projet, alors que le débat public, organisé par la Commission ad hoc, a déjà eu lieu... Il suffit de se rendre à Rouen, dont le centre ville est engorgé en permanence, pour comprendre l'utilité de ce contournement. L'impact environnemental a été mesuré et c'est le tracé qui crée le moins de dégâts qui a été retenu. Rappelons aussi cette évidence que sont les véhicules qui polluent, bien moins que la route elle-même. Lorsque le parc automobile sera non-polluant, objectif qui commence à devenir crédible, la route n'aura plus que des avantages.

Pour la CASE, ces avantages futurs seront colossaux.

Liaison A 28/ A13, contournement est de Rouen, franchissement de la Seine au Manoir … Autant d’angles de vue différents pour un seul projet structurant, un chantier majeur qui va renforcer le poids de notre territoire.

Le hasard fait bien les choses. Le choix du tracé autoroutier par l’Etat arrive à point : dans le même trimestre que la décision de la fusion Seine-Eure/Seine-Bord.
Cette nouvelle cohérence territoriale nous permet de tirer un bénéfice maximal de la création de cette nouvelle infrastructure routière. La fusion nous permet d’agir, d’investir directement sur la rive Nord de la CASE et de mieux contrôler les projets majeurs.
Faut-il rappeler que le projet dépasse largement nos enjeux locaux ? A ce titre, il est porté et défendu par l’Etat, la Région et les départements de l’Eure et de la Seine-Maritime.
Bien sur, comme tout projet structurant, la création aura des incidences locales désagréables que nous devons limiter, mais il aura surtout, si nous le voulons, des conséquences tout à fait positives pour notre territoire.

Nous avons cette chance d’être sur un axe essentiel pour le développement économique du territoire que le passage de l’autoroute va encore renforcer.

C’est évidemment un atout essentiel pour la logistique mais bien entendu pour l’implantation ou le maintien d’entreprises.   Ainsi, le lien direct de la vallée de l’Andelle  avec les grands axes logistiques fait renaître l’espoir du coté de la vallée de l’Andelle, qui souffre depuis des années du déclin industriel. Ce n’est pas le seul atout pour notre territoire qui gagnera en cohérence interne avec la perspective de relier le centre de la Case à la rive Nord de la Seine à par le futur pont du Manoir sans passer par le goulot d’étranglement de Pont de l’Arche.

C’est notamment sur ce point qu’il conviendra d’agir afin que le lieu d’implantation du péage ne pénalise pas les liaisons au sein de notre territoire.
S’il est un combat à mener, avec la priorité au développement de l’emploi c’est de faire en sorte qu’aucun péage ne vienne entraver la circulation au sein de notre territoire.

L’impact visuel sur nos chers paysages ne m’inquiète pas. Sans parler du viaduc de Millau, le splendide pont de Normandie, le beau pont de Brotonne méritent bien leur nom d’ouvrages d’art. Reste à minimiser le bruit à proximité de quelques demeures pour que le projet soit acceptable par tous.  

Maximiser les avantages, minimiser les inconvénients, tel est, parallèlement au grand projet de liaison autoroutière, le chantier politique que nous devons mener, solidairement au sein de la Case. Nous aurons besoin de tous au service de tous. 

Lundi dernier s'est tenue la session plénière de l'assemblée régionale de Haute Normandie. Voici mon intervention orale :


Entre Cassandre et les pets de vache, mon optimisme est radical
Dans la course à l’électeur, Cassandre a toujours battu Pangloss. Sur le marché électoral, l’indignation – verte ou bleue - n’est-elle pas plus facile à vendre que la proposition rose ? Parce que leur seul Dieu est l’homme, leur seule religion est l’humanisme, les radicaux de gauche préfèrent affirmer que contredire.
Notre credo est de dire oui à la beauté du monde et de croire que l’homme peut tout et que la raison est capable de résoudre les problèmes que l’humanité se pose à elle-même. Et j’ai noté que l’incapacité à proposer était proportionnelle à la propension à pleurnicher et à faire du pessimisme une rente électorale.
Pourtant, de bonnes nouvelles pourraient éclairer cette matinée : l’avancée de l’acte 3 de la décentralisation, le lever de rideau, tant attendu, sur le tracé définitif de la liaison autoroutière A28 / A 13 et du contournement Est de Rouen.
La Région sortira renforcée de l’Acte 3 de la décentralisation. Toutes les informations recueillies auprès des ministères, les déclarations ministérielles devant les congrès d’élus vont dans le même sens. Les Régions verront leur rôle de chef de file économique confirmée, piloteront ou copiloteront les fonds structurels européens, la Banque publique d’investissement.
Autre bonne nouvelle, régionale celle là : le tracé de la liaison A13 / A 28 est fixé. Le verrou de Rouen va sauter et l’agglomération rouennaise pourra mieux respirer. La dynamique économique régionale va bénéficier de l’accélération et de l’intensification des échanges européens et nationaux sur le méridien de Louviers.


De tout temps, la civilisation et les marchés se sont développés au carrefour des grandes routes et autour des ponts jetés sur les fleuves.
 A une échelle certes plus modeste, ce tracé crée un carrefour stratégique entre l’axe Seine et le méridien de Louviers, ouvrant le trafic vers le Nord de la France et la fameuse route du blé Orléans, Chartres, Dreux, Evreux.
Ce carrefour va permettre de créer de l’activité là où elle manque cruellement, en désenclavant la vallée de l’Andelle, vallée du chômage où Sealynx agonise. Il ne vous échappe pas que le franchissement de la Seine s’opérera à deux pas du site Mreal d’un côté et de Rouen Sud de l’autre.
Deux sites où le pôle métropolitain CREA CASE prévoit de développer  2 plateformes multimodales et intensifier le développement économique autour des échangeurs. C’est d’ailleurs la tâche des élus, dans la future discussion du projet, que de peser de tout leur poids pour que ni le positionnement des péages, ni l’emprise des échangeurs ne stérilisent le potentiel de développement économique apporté par cette liaison autoroutière et le contournement Est de Rouen.


Le retour au char à boeufs attaquerait la couche d'ozone !
Le retour au char à boeufs attaquerait la couche d'ozone !
Bien que cette opération soit essentielle pour le développement régional, certains s’obstinent à le contester. Ceux qui veulent nous ramener à l'âge des chars à boeufs pour protéger la violette de Rouen en sont réduits à pointer du doigt la difficulté du financement pour s'obstiner dans leur refus du projet. En oubliant qu’un char à bœufs pollue plus qu’un camion : chaque flatulence de bovidé libére un pet de méthane dramatiquement corrosif pour la couche d’ozone. Mais la violette survivra : s'il a fallu tant d'années pour définir un tracé, c'est précisément parce qu'il fallait rendre inoffensif son impact sur l'environnement, sous le regard soupçonneux de la commission de Bruxelles.
Certes de l’argent, il en faudra : ces 41 kilomètres valent un bon milliard d’euros.
Mais les Cassandre ont tort car... le temps c'est de l'argent et vice-versa ! S'il y a beaucoup d'argent, le projet peut maintenant se faire vite. S'il y en a peu, cela prendra plus de temps. Mais il se fera.

Le tracé choisi épargne la fameuse violette de Rouen
Le tracé choisi épargne la fameuse violette de Rouen
Certes, il est tentant de se draper dans la toge de Cassandre et clamer que les caisses de l’Etat sont vides et que les collectivités locales sont exsangues. Ce n’est tout simplement pas vrai. Une lecture attentive du très officiel rapport de l’Observatoire des finances locales atteste que, depuis 2 ans, la formation brute de capital fixe des collectivités, autrement dit notre investissement a nettement repris sa marche en avant. Même si le progrès est lent, il n’y a jamais eu autant d’argent investi.
 Le « crédit crunch » tant redouté a fait plus de peur que de mal. Réjouissons nous, mes chers collègues, de la création de la Banque publique d’investissement. En confiant aux régions le copilotage de cet outil de financement, en préparant la régionalisation des crédits européens,l’Etat réaffirme notre mission : construire l’avenir.
Et pour  finir : « Conjugenda est Normanniae » Il faut réunifier la Normandie


Jeudi 25 Octobre 2012 | Commentaires (0)

Etre noté par une agence de notation financière ? Pourquoi pas l’agglomération de Louviers ? Certes, sa petite taille l'empêchera d'obtenir le triple A de Standard and Poor's ou de Moody"s, mais la notation par une agence internationale lui ouvrirait les portes des marchés, pour diversifier ses sources de financement.


Un "triple A" pour l'agglomération de Louviers ?
Les collectivités territoriales ont besoin de diversifier leurs sources de financement.

D’une part, les villes, départements, régions ont perdu une bonne part de leur autonomie financière : les dotations d’Etat représentent désormais la plus grande part de leurs ressources et il est clair que l’Etat sera de moins en moins généreux, si tant est qu’il l’ait jamais été.

De plus, la crise financière a suscité la crainte d’un véritable « credit crunch », le blocage de tout prêt bancaire pour financer les investissements publics.

Ce «credit crunch» n’a pas eu lieu mais, depuis la chute de Dexia et la mise en place des normes de Bâle III, les banques sont devenues plus que frileuses et excessivement gourmandes.

Conséquence : alors que les taux sont historiquement bas sur les marchés, les marges bancaires ont explosé !

La notation de la situation financière par une agence internationale ( Moody, Standard and Poor’s) ouvre aux collectivités bien gérées la porte des marchés financiers, sans passer par les banques. Enfin presque…

Mais pour lever des fonds ( sous forme d’obligations ) sur les marchés financiers, il faut être noté par les agences internationales, bien connues depuis la perte du triple A par la France.
Et pourquoi pas ? Une collectivité bien gérée, aux finances saines, n’a rien à craindre de l’exercice. C’est le cas de l’agglomération de Louviers.

Une trentaine de collectivités ont accepté de se plier aux normes des agences, suivant l’exemple… du département de l’Eure, qui avec son double A figure parmi les trois départements les mieux notés.

«  Au-delà de la reconnaissance de la qualité de notre gestion, cette note nous permet de prétendre à des financements à court terme et à long terme sans passer par l’intermédiaire des banques », commente Jean Louis Destans, président du conseil général. « Sur un emprunt de 20 M€, la marge appliquée actuellement par les banques est d’environ 3% alors que sur les marchés financiers la note AA permet d’avoir une marge de seulement 1,5% ». Un exemple à méditer et, sans doute, à imiter.


Tags : Destans
Jeudi 25 Octobre 2012 | Commentaires (1)

N'en déplaise aux Verts, qui disent toujours non à tout projet, le choix d'un tracé définitif pour l'autoroute A-28 A13 est une excellente nouvelle pour l'emploi et le développement de notre territoire.
De belle humeur en sortant du comité de pilotage vendredi, sur le parking de la Préfecture de Région, je sifflotais un air de mon enfance, la chanson d'Hugues Aufray : « Debout les gars ! ».

La route passera et ce n'est pas triste... Pour consoler Jérôme et Laetitia, je leur propose de l'écouter en cliquant ci-dessous.


Il faut cliquer en bas de page
pour écouter la chanson d'Hugues Aufray.


Que les amoureux de la violette de Rouen se rassurent !

S'il a fallu tant d'années pour définir le tracé, c'est aussi parce qu'il fallait insérer l'emprise de l'autoroute dans son environnement, en prenant toutes précautions pour minimiser l'impact sur le biotope.

C'est fait, avec l'aval de la Commission Européenne, si sourcilleuse sur tout ce qui peut toucher au programme Natura 2000.



Paroles de Debout Les Gars
:

Cette montagne que tu vois,
on en viendra à bout, mon gars.
Un bulldozer et deux cent gars
et passera la route.

{Refrain:}
Debout les gars ! Réveillez-vous !
Y va falloir en mettre un coup.
Debout les gars ! Réveillez-vous !
On va au bout du monde.

Il ne faut pas se dégonfler
devant les tonnes de rocher.
On va faire un quatorze juillet
à coups de dynamite.

{Refrain}

Encore un mètre et deux et trois,
en 1983.
Tes enfants seront fiers de toi:
La route sera belle.

{Refrain}

Les gens nous prenaient pour des fous
mais nous, on passera partout
Et nous seront au rendez-vous
de ceux qui nous attendent.

{Refrain}

Il arrive, parfois, le soir,
comme un petit goût de cafard
Et ce n'est qu'un peu de brouillard
que le soleil déchire.

{Refrain}

Quand tout sera terminé,
y faudra bien se séparer
Mais on oubliera jamais
ce qu'on a fait ensemble.
1_07_debout_les_gars.mp3 1-07 Debout Les Gars.mp3  (2.41 Mo)


La visite de deux préfets et de tous les organismes partenaires du développement économique de l'agglomération Seine-Eure a mis en lumière le succès du pari fait par la Case sur l'avenir de jeunes sociétés de haute technologie : Polyintell, Holodiag, TfChem.

Créés par des chercheurs de haut niveau, déterminés à sauter le fossé qui sépare la recherche universitaire de la création d'entreprise, ces entreprises sont issues de l'«incubateur» de l'Université, une pépinière de jeunes sociétés issues de la recherche.

Le partenariat


Visite de 2 préfets dans les "start-ups"
Visite de 2 préfets dans les "start-ups"

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