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Normandie

Je m'apprête à signer, au nom de la CASE, un contrat local de santé avec l'Agence Régionale de Santé. La démographie médicale n'est pas l'objet principal de ce contrat, mais le diagnostic réalisé à cette occasion est aussi clair qu'inquiétant : l'agglomération manque de médecins.

Et tout indique que, loin de se résorber, cette désertification va empirer dans les années à venir. Or, la carence de médecins de campagne est l'une des raisons du sentiment d'abandon ressenti dans l'espace périurbain, avec les conséquences électorales que l'on sait...

Pour attirer les généralistes, notre territoire doit rivaliser avec une rude concurrence. D'une part, le Sud de la France et son ensoleillement, d'autre part les grandes villes, la densité de leurs services et de leur réseau médical, à commencer par la présence de spécialistes et des grands hôpitaux, têtes du réseau hospitalier public. La crainte de l'isolement, tant personnel et familial que professionnel est la raison majeure du choix des jeunes médecins pour les villes universitaire.

Que faire ? J'ai une proposition à soumettre à nos futurs parlementaires...




Quelle réponse à la pénurie de médecins ?
Qu'il s'agisse d'attirer de nouveaux habitants, des entreprises ou des médecins, tout nos efforts doivent aller dans le même sens : améliorer la qualité de vie et donc l'attractivité de l'agglomération exige une politique globale.

La préservation de l'environnement, du cadre de vie, un réseau de transport efficace, des équipements culturels, sportifs, de loisirs, les communications à haut débit, le développement du commerce participent au maintien d'un solde démographique positif et peuvent nous aider à inverser la courbe démographique négative des acteurs de santé.

Pour réussir, nous avons aussi besoin de l'Etat : le maillage territorial des services publics est un atout essentiel et l'on sait que la proximité d'établissements d'enseignement de qualité est un critère essentiel dans le choix d'implantation des jeunes médecins.

Directement ou indirectement, l'exercice de toutes les compétences de l'agglomération concourt à l'attractivité de notre territoire. Cela n'empêche pas d'élaborer des réponses spécifiques, pour les ajouter à cet effort global.

L'agglomération Seine-Eure est à la pointe de l'innovation, sur tous les terrains de l'action locale. Ainsi, le contral local de santé avec l'Agence régionale de santé sera conclu à titre expérimental en Haute-Normandie. Il permet la mobilisation du réseau des acteurs locaux dans le domaine de la santé, sur des objectifs et des actions précises. Toutefois, ce n'est qu'indirectement qu'il répond au problème de la démographie médicale.
La commune d'Heudebouville a pris la question à bras-le-corps en créant une maison médicale et la CASE lui a apporté un soutien décisif. Les sollicitations pour la création de maisons médicales sont nombreuses dans l'Eure et dans la sous-région haut-normande. Malheureusement, je pense que l'investissement ( y compris financier ) des collectivités dans la création des maisons médicales n'est pas la panacée. Le risque est grand de créer des maisons médicales... qui se videront ou resteront vides de médecins généralistes.

L'obstacle principal à l'installation de médecins de campagne est la crainte de l'isolement. Sortant du CHU où, jeunes internes, ils ont complété leur formation, les généralistes répugnent à s'éloigner du secteur hospitalier et du réseau de spécialistes, public ou privé, qui gravite autour des têtes de réseau hospitalier. Ils apprécient de pouvoir exercer le suivi de leurs patients à proximité, y compris en cas d'hospitalisation.
La prise en charge, seul(e), d'une population leur semble difficile, à commencer par la disponibilité qu'elle exige : tours de garde, urgences. Ajoutons que la féminisation accélérée de la profession incite à une organisation collective du temps de travail moins dévoreuse que dans un passé aujourd'hui révolu, les jeunes médecins souhaitant préserver une part de leur temps pour construire une famille.

L'hôpital, qu'il soit local, de référence ou universitaire doit être l'acteur de l'aménagement du territoire de la santé. Il faut créer un corps de médecins généralistes pour organiser un réseau de maisons de santé rurales dont les médecins seraient salariés par l'hôpital le plus proche et la construction et l'aménagement assurés par les collectivités territoriales.

Médecins généralistes hospitaliers, ils resteraient en contact étroit avec l'hôpital, assurant leur formation professionnelle continue, l'élaboration collective des bonnes pratiques médicales, le suivi des patients hospitalisés, la future généralisation de la télé-médecine hospitalière, le contact permanent avec les réseaux d'aide sociale.

Desserrant l'étau du paiement à l'acte, libérés d'une partie importante de la gestion administrative ces médecins généralistes du service public trouveraient plus facilement le temps à consacrer à la médecine préventive, dont l'absence en milieu rural est aussi criante que coûteuse pour la Sécurité sociale.

Rien n'empêche que ces médecins publics organisent la maison de santé avec des praticiens libéraux et toute la gamme nécessaire des métiers de santé : infirmières, kinésithérapeutes etc.

La création de ce corps de généralistes hospitaliers me semble être la seule façon d'éviter de construire des maisons de santé vite transformées en coquilles vides. Pour que l'hôpital public devienne l'organisateur des territoires de santé, des lois nouvelles sont nécessaires. La balle est dans le camp de nos futurs parlementaires.

Les salariés de Paris Normandie se battent, le dos au mur, pour la survie du titre et pour leurs emplois : la société éditrice du journal a déposé le bilan.
J'ai fait adopter une motion de soutien aux salariés par le conseil municipal de Louviers et le conseil communautaire de la CASE. C'est donc bien volontiers que je publie ce que les lecteurs de Paris Normandie ne pourront pas lire : 4 pages «pirates» réalisées et insérées dans l'édition de ce lundi par les ouvriers du Livre.
La direction du quotidien a réagi en bloquant la diffusion de Paris Normandie, absent des kiosques et des boîtes à lettres.


Une édition «pirate» de Paris Normandie bloquée par la direction du journal

Une édition «pirate» de Paris Normandie bloquée par la direction du journal

Une édition «pirate» de Paris Normandie bloquée par la direction du journal

Une édition «pirate» de Paris Normandie bloquée par la direction du journal

Moment solennel à Rouen. La fondation d'une institution locale à l'échelle de 100 communes et plus de 500 000 habitants n'est pas anodine. L'immense majorité de nos concitoyens y reste indifférente, mais dans 10 ans, on se demandera comment on pouvait travailler sans cet ce pôle, dédié à des projets collectifs.


Le pôle métropolitain CREA / CASE est installé
Voir aussi Actu@Louviers.

Après le rejet du projet d'implantation d'un Village des Marques à Douains, il était à craindre que le promoteur use d'un ultime recours devant le Conseil d'Etat. Le délai pour ce recours est aujourd'hui clos et nous avons reçu copie du certificat en non-pourvoi. Les promoteurs du mastondonte commercial jettent l'éponge.
Nos commerçants peuvent s'en réjouir, la bataille est terminée... A moins qu'un nouveau projet ne voie le jour dans les prochaines années.


Le certificat fourni par la section du contentieux du Conseil d'Etat
Le certificat fourni par la section du contentieux du Conseil d'Etat

Réunifier la Normandie n'est pas une lubie, ni un archaïsme. C'est la condition préalable à l'efficacité de toute politique régionale.

Dans le domaine de la production économique et donc de l'emploi, le bilan de la division est accablant, comme l'a démontré le rapport EDATER, hypocritement enterré dans un silence chafouin...


Haro ! La Normandie souffre
Quand au retard pris dans le développement des grandes infrastructures de transport ( air, fer, fleuve, haut-débit ) il se voit, mais s'oublie... comme le nez au milieu d'une figure.

Pour rattraper tous ces retards, le projet d'aménagement de l'axe Seine, lancé par l'Etat, est une chance historique, comme il en advient une fois par demi-siècle... Mais à une condition : que la Normandie parle d'une seul voix en face de l'Etat et... du Grand Paris.

On n'en prend pas le chemin, hélas, comme me l'a fait craindre la réunion de clôture du débat public sur la ligne nouvelle Paris Normandie.



Chaunu, dessinateur vedette du grand quotien Ouest-France, plaide pour la réunification. Il le fait avec cette caricature, que j'ai extraite de Plume et Crayon, le livre que publie Alain Tourret, vice-président de la "région" Basse Normandie. En librairie cette semaine.

Alain Tourret a présidé la commission chargée de l'étude de la fusion normande par la Région Basse Normandie, dont vous pouvez télécharger les conclusions ci dessous.

Plus que jamais, les Normands, veulent la réunification . Les radicaux le disent haut et fort. A ce concert de voix, Chaunu et Tourret ajoutent le talent.

En pièces jointes, le rapport Edater et le rapport fait au nom de la Commission intergroupe de réflexion et de proposition sur la réunification de la Normandie.

Lien vers Plume et Crayon

J'avoue avoir été un peu taquin dans mon précédent article sur la, LNPN, Ligne Nouvelle Paris Normandie. Du coup, la châtelaine du Mesnil Journain, Anne-Laure Reveilhac de Maulmont m'envoie une réponse, que je publie volontiers...


Le réveil des châteaux... contre les locos
Pourquoi ai-je taquiné la sourcilleuse châtelaine ?

Parce l'ensemble de la salle, représentant tous les décideurs et toutes les forces vives de la Normandie ont jugé que l'aggressivité de son intervention était inconvenante. A la sortie de la réunion, plusieurs hauts responsables ont pris la peine de m'aborder pour me faire part de leur surprise.

Je cite, texto, un grand élu régional de droite : « Elle vient de chez toi, celle-là ? Décidement, tu dois gérer de drôles de personnages à la CASE...» J'espère que la vidéo de l'intervention de la châtelaine-avocate sera bientôt publiée sur le site de la Commission du Débat Public, où toutes les informations sont disponibles depuis l'ouverture de la procédure.


Le réveil des châteaux... contre les locos
Toute action suscite des réactions. Tout projet dérange et tout grand projet crée des inconvénients, voire quelques nuisances. Je trouve donc parfaitement normal et légitime que, dans un débat public ouvert à tous et qui vise à recueillir un maximum d'avis, chacun défende son intérêt personnel et le fasse savoir.

Ce qui fut dérangeant dans l'intervention de la châtelaine, c'est le ton vociférant qu'elle a employé et son incompréhension ( feinte ou réelle ) de la nature de la réunion : ce que l'on comprenait le mieux dans son intervention, c'est qu'elle demandait, je cite, « un sursis à statuer » ! Comme si nous étions à la barre d'un tribunal... Alors que le débat public a pour vocation de recueillir des avis alors qu'aucune décision n'est prise, aucun tracé n'est défini. Que l'on râle avant d'avoir mal, que l'on glapisse préventivement, pourquoi pas ? Mais autant rester poli, non ?

Je l'ai dit, je le répète : il est normal que chacun défende son intérêt personnel, il n'y a rien de honteux à cela. A chaque fois que l'on veut construire une route, un pont, voire une école ou un hôpital, certains riverains se dressent pour dire : "D'accord, mais pas chez moi, construisez chez le voisin." Ce qu'on appelle l'effet Nimby de l'anglais «Not In My Backyard», que l'on peut traduire par « Ne construisez rien devant mon jardin ! » Les plus virulents constituent une association de défense, noircissent des tonnes de papier, envoient des pétitions que les autorités classent dans la poubelle, font pression sur les élus et finissent par encombrer les tribunaux administratifs. C'est du grand classique.

Tout grand projet d'avenir passe par la case des contentieux et il est évident que la châtelaine-avocate finira par y avoir recours. Heureusement, le principe de la loi donne des droits aux riverains, mais finit toujours par faire triompher l'intérêt général, l'intérêt de la nation.

Le réveil des châteaux... contre les locos
Car ce projet de ligne nouvelle est un projet d'intérêt national, lancé par le chef d'Etat. La ligne nouvelle Paris Normandie s'inscrit dans un vaste projet d'aménagement de l'axe Seine, pour organiser la façade maritime du Grand Paris. La Normandie n'a pas vocation a devenir un désert, parsemé de résidences secondaires et de parcs touristiques.

Tous les responsables normands savent que ce projet est une chance extraordinaire pour la Normandie. Nous souffrons de l'absence de grandes infrastructures de transport et ce projet est le bienvenu. L'unanimité est faite sur le bien fondé du projet, même si l'unanimité n'est pas encore faite sur ses modalités, son tracé, ses gares.

Avocate parisienne, Mme Réveilhac prétend parler en agricultrice et au nom des agriculteurs ! Ce qui a fait sourire ceux qui la connaissent, mais passons. Lundi soir, le président de la Chambre d'agriculture de Normandie s'est dit tout a fait favorable au projet de ligne nouvelle en Normandie. Cherchez l'erreur.

Le réveil des châteaux... contre les locos
Nonobstant l’absence de logorrhée, à défaut d’avoir pris la parole lors du débat public à CAEN le 30 janvier dernier, vous avez, semble t-il, perdu l’ouïe.
Si vous aviez pris la peine d’écouter les propos que j’ai tenu, sans parti pris ni intention inutilement désobligeante, vous auriez retenu ceci.
1-Les élus, et de surcroit les habitants du Plateau du NEUBOURG, ont été tardivement mis devant le fait accompli par RFF d’un projet de ligne ferroviaire AB incompatible avec les intérêts vitaux du plateau.C’est dans ces conditions que l’association NON A LA LNPN DU PLATEAU DU NEUBOURG a été constituée fin janvier 2012 et présidée par Monsieur Pascal LEMAIRE, Maire de QUATREMARE.
2-Mandatée par ce dernier, j’ai été le porte parole de l’association ce qui a permis comme vous le reconnaissez vous même de réveiller le débat et de faire entendre l’opposition des personnes concernées par ce projet dont je fais également partie en qualité d’agriculteur et non de « châtelaine » !
Une pétition réunissant déjà nombre de signatures d’élus et plusieurs centaines d’opposants à ce projet ont été réunies pour être transmis à RFF et ce n’est pas fini. D’autres manifestations de contestations sont par ailleurs prévues. La désinformation des propos que vous tenez dans votre blog, votre notion de l’intérêt général partisan relève d’une opposition frontale à celui défendu par ceux qui auraient à subir les nuisances de ce projet établi sans concertation.
La contradiction est en soi respectable sauf quand elle utilise l’invective et l’attaque personnelle comme vous le faites pour tenter de discréditer toute opposition à vos thèses. Je vous invite pour l’avenir à respecter un ton plus courtois et approprié à la nature du débat qui intéresse chaque normand sans préjudice des mesures que je serai contrainte de prendre en cas de nouveau dérapage.

Une nouvelle fois, la division de la Normandie risque de nous priver d'un grand projet d'avenir.
Hier soir à CAEN, la réunion de clôture du débat public sur le projet de ligne nouvelle Paris Normandie n'incitait guère à l'optimisme...


Débat public : le TGV prête à dérailler...
J'ai quitté le Palais des Congrès de Caen sur une impression pessimiste. Je reviendrai demain, plus en détail, sur les arguments échangés et l'analyse que je dégage de ce débat public, commencé à l'automne et qui s'est clos hier soir.

Mais il suffisait d'entendre Laurent Beauvais et Alain Le Vern, chacun président d'une demi-Normandie, pour mesurer le gouffre qui les sépare et qui risque de faire dérailler le projet, les Normands, une fois de plus, se montrant incapables de parler d'une seule voix.

Tandis qu'Alain Le Vern tonne contre "la dictature du chronomètre" et déclare secondaires les gains de temps espérès, Laurent Beauvais donne la priorité absolue à «la vitesse et la réduction des temps de parcours».

Tandis que Laurent Beauvais exige un projet et un plan de financement global, Alain Le Vern insiste sur le phasage : financement des travaux de la gare de Rouen et de la ligne nouvelle en Ile de France d'abord, le reste de la Normandie... plus tard.

Quand aux écolos, dressés contre tout progrés, il replient le projet sur le local et le quotidien, façon démagogique de torpiller un projet d'ampleur nationale proposé l'Etat : le respect du cahier des charges conditionnera son engagement financier.

Qu'émergera-t-il de cette cacophonie ?

Débat public : le TGV prête à dérailler...
Curieusement, le plateau du Neubourg, longtemps silencieux, a beaucoup donné de la voix.
Passons sur l'interminable logorrhée, vitupérante et discourtoise, de la châtelaine excitée du Mesnil Jourdain, Mme Réveilhac, réveillée en sursaut. Elle souhaite que rien ne vienne déranger son profond sommeil et qu'aucun projet d'avenir, fût-il d'intérêt général, ne sorte la Normandie du coma : mon confort personnel avant tout. Indécent.

Brusquement réveillé aussi, le maire d'Hondouville tonne contre le manque d'information et le risque de retour du projet de ligne Evreux-Louviers via la vallée de l'Eure. Sur ce second point, il a raison : cette réouverture de ligne - à laquelle je m'oppose depuis des années - est le cheval de bataille des Verts, enterré puis soudain ressuscité par leur proposition de dernière heure. Mais il n'a pas compris que les autres scénarios de ligne nouvelle ( A, B et AB ) permettent la liaison Rouen Evreux sans passer par l'ancienne ligne, sans passer par la vallée d'Eure.

Sur le manque d'information, il a tort. Le conseil général de l'Eure a largement communiqué. Via la presse et Internet ( le site du débat public donne toute l'information en temps réel ou presque ) l'information de tous ceux qui daignent s'intéresser au sujet a été remarquablement complète.

Ce lundi, la réunion de bureau du Conseil régional a été consacrée à l'audition de M.D'Harcourt, directeur de l'ARS, Agence régionale de santé. Un exposé clair, un diagnostic pertinent, des objectifs... mesurés. Globalement et théoriquement, la Région n'a pas compétence pour intervenir dans le domaine de la santé. En fait, sur de nombreux points et notamment la formation des professionnels de santé et la prévention, l'action de la Région est incontournable. Et la CASE s'investit dans l'action locale en matière de santé.



Ce dimanche, le conseil fédéral du parti d'Eva Joly a désigné ses candidats pour les législatives de 2012. Non sans surprise dans l'Eure...


Législatives dans l'Eure : les Verts dégainent leurs candidats
Ainsi, la candidature, face à Hervé Morin, de la chaleureuse, dynamique et brillantissime Rebecca Armstrong. La jeune maman, qui travaille à la CASE, a bien caché son jeu. Pour la connaître professionnellement, j'ai toujours pensé qu'elle pousserait la logique de son engagement citoyen jusqu'à faire de la politique. De là à briguer, d'entrée de jeu, un siège de députée dans la circonscription de Bernay...

En tout cas, les Verts ont fait une recrue de tout premier plan. A titre amical, je souhaite à Rebecca de faire une brillante campagne, à son image. Politiquement, je ne lui ferai pas de cadeau, au premier tour, tant les Verts me semblent devenir réactionnaires. Et l'amitié que je porte à Rebecca ne me fera pas voter Eva Joly !

Souhaitons qu'elle représente la gauche unie au second tour, je la soutiendrai à 150%

Dans la 4ème circonscription, c'est Laëtitia Sanchez, équipière de Jérôme Bourlet de la Vallée au sein du conseil municipal de Saint Pierre du Vauvray, qui sera candidate. Elle creusera un petit réservoir de voix pour François Loncle au second tour.

Décidément, la CASE s'avère un bon tremplin pour faire carrière : Jérôme Bourlet de la Vallée, élu président du SCOT pour y représenter l'agglomération, a décroché un mandat de conseiller régional EELV dans la foulée, en 2010. Sans compter son mandat de président de bassin à l'Agence de l'eau. Le voilà aujourd'hui candidat PS/Verts dans la cinquième circonscription, celle de Vernon. Une circonscription gagnable, en cas de triangulaire.

Intéressant pour un homme qui fait profession de foi du non-cumul des mandats. Une religion que je ne partage pas et qui compte, c'est vrai, beaucoup plus de croyants que de pratiquants ! Lol

Avec l'annonce faite jeudi soir, une page nouvelle de l'histoire locale commence à s'écrire : celle de la coopération active entre les agglomérations de Rouen et de Louviers. Le pôle métropolitain est un outil léger, souple, efficace pour mener à bien des projets communs, chaque partenaire gardant ses moyens et sa liberté de choix. Jalouse de son indépendance, la CASE s'engage sur la voie de la coopération.


Trois présidents à la tribune : pour une coopération active
Trois présidents à la tribune : pour une coopération active

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