Mélanie, Nico
Ce WE, direction Forcalquier pour le premier regroupement fédéral de l'année. Et c'est sous un soleil éclatant que nous avons redécouvert ces paysages grandioses avec en arrière plan les montagnes saupoudrées (légèrement...) qui dominent Digne.
Au programme, une longue distance servant de "test" pour le stage de mars et une course de nuit le samedi, puis 2 sprints et un entraînement "long-court" pour terminer la matinée (et nous faire puiser dans nos dernières forces) le dimanche.
Et la longue distance, c'était une très longue distance... 11,4 km pour nous, les filles, avec 580 m de dénivelée... c'est presque pire qu'une finale de Championnats du Monde, mais c'était un vrai régal de s'orienter une nouvelle fois sur la carte des Mourres, qui nous offre des paysages de rocailles à couper le souffle.
Pour moi, ce fut 1h56 d'orientation entre ravines, barres rocheuses et rochers affleurant de terre, avec de temps en temps sur les versants exposés au soleil quelques kilos supplémentaires accrochés aux pieds. Je fais environ 7-8 mn de fautes, je ne pense pas avoir fait les bons choix partout (trajet 18-19 voir sur la carte et plus bas), et les jambes étaient bien lourdes. Mais je suis contente d'avoir fait cette très jolie course nous offrant de nombreux choix d'orientation, et ma conclusion c'est que j'ai encore du chemin à parcourir pour être vraiment bien sur une longue distance, au même titre que j'ai pu l'être il y a 4 semaines à Clermont-Ferrand en moyenne. Le point positif, c'est que j'ai eu plusieurs fois de très bonnes sensations sur des longues auparavant, entre autres lors de la finale de la coupe du monde (!), alors il ne reste plus qu'à les retrouver... et les entretenir !
Petite analyse de la course :
Le poste 1 était assez rapproché du départ, ce qui nous mettait directement dans le vif du sujet. Les barres rocheuses m'ont guidée jusqu'à lui.
J'ai ensuite eu un petit souci sur le poste 2 : je pensais que le rentrant du poste allait me sauter aux yeux... mais j'ai oublié que les postes n'ont pas de jambes pour aller jusqu'à moi ni de sifflets pour m'appeler, et en plus j'ai vu des gens sortir de la zone... en me disant qu'ils étaient bien trop près et pas encore dans le zone... bien joué !! 2'30 de perdu...
Poste 2-3 : le choix qui me saute aux yeux passe par le ruisseau et la route, mais je me ravise au milieu parce que le ruisseau était impraticable et je décide de couper à flanc, ce qui n'est pas mal en soi.
Poste 3-4 : 3 choix possibles : je rate le chemin au Nord et je prends par le milieu. C'était assez courant, je pense que ce n'était donc pas trop mal comme itinéraire.
Poste 4-5 : le seul choix était de prendre le chemin ou non. Je pense que l'attaque est meilleure en l'empruntant le plus possible.
Papillon : je n'anticipe pas assez les zones de postes et je me trouve plusieurs fois à perdre du temps en approche pour rien. Peut mieux faire !
Choix 13-14 : je prends la trace la plus directe, cela passait bien.
Postes 17-18 : la route permet de bien courir et l'attaque est béton.
Vient ensuite le plus beau choix... pour aller au poste 19 : en voyant Karine devant moi partir tout droit, je me suis dit que ce serait très bien de tester la route, même si le trajet semblait pas mal long. Au bilan, je fais une entrée-sortie qui me fait déjà connaître le poste suivant, et je monte régulièrement sur la route. Je ne suis pas sûre que ce soit le plus rapide, mais il fallait tenter !
Restait la boucle finale très intéressante, où j'ai malheureusement bien dévié en allant au poste 23... dans le blanc en croyant que j'étais dans le vert avant le rentrant que je voulais remonter jusqu'au chemin.
On était tous bien fatigués, et le débalisage a eu raison de la course de nuit pour moi. Cela m'a permis de profiter plus longtemps de la magnifique voûte céleste qui s'étendait au-dessus de nos têtes... avec une voie lactée éclatante et un ciel d'une pureté rare... non sans me rappeler que je voulais être astrophysicienne quand j'étais petite !
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Au programme, une longue distance servant de "test" pour le stage de mars et une course de nuit le samedi, puis 2 sprints et un entraînement "long-court" pour terminer la matinée (et nous faire puiser dans nos dernières forces) le dimanche.
Et la longue distance, c'était une très longue distance... 11,4 km pour nous, les filles, avec 580 m de dénivelée... c'est presque pire qu'une finale de Championnats du Monde, mais c'était un vrai régal de s'orienter une nouvelle fois sur la carte des Mourres, qui nous offre des paysages de rocailles à couper le souffle.
Pour moi, ce fut 1h56 d'orientation entre ravines, barres rocheuses et rochers affleurant de terre, avec de temps en temps sur les versants exposés au soleil quelques kilos supplémentaires accrochés aux pieds. Je fais environ 7-8 mn de fautes, je ne pense pas avoir fait les bons choix partout (trajet 18-19 voir sur la carte et plus bas), et les jambes étaient bien lourdes. Mais je suis contente d'avoir fait cette très jolie course nous offrant de nombreux choix d'orientation, et ma conclusion c'est que j'ai encore du chemin à parcourir pour être vraiment bien sur une longue distance, au même titre que j'ai pu l'être il y a 4 semaines à Clermont-Ferrand en moyenne. Le point positif, c'est que j'ai eu plusieurs fois de très bonnes sensations sur des longues auparavant, entre autres lors de la finale de la coupe du monde (!), alors il ne reste plus qu'à les retrouver... et les entretenir !
Petite analyse de la course :
Le poste 1 était assez rapproché du départ, ce qui nous mettait directement dans le vif du sujet. Les barres rocheuses m'ont guidée jusqu'à lui.
J'ai ensuite eu un petit souci sur le poste 2 : je pensais que le rentrant du poste allait me sauter aux yeux... mais j'ai oublié que les postes n'ont pas de jambes pour aller jusqu'à moi ni de sifflets pour m'appeler, et en plus j'ai vu des gens sortir de la zone... en me disant qu'ils étaient bien trop près et pas encore dans le zone... bien joué !! 2'30 de perdu...
Poste 2-3 : le choix qui me saute aux yeux passe par le ruisseau et la route, mais je me ravise au milieu parce que le ruisseau était impraticable et je décide de couper à flanc, ce qui n'est pas mal en soi.
Poste 3-4 : 3 choix possibles : je rate le chemin au Nord et je prends par le milieu. C'était assez courant, je pense que ce n'était donc pas trop mal comme itinéraire.
Poste 4-5 : le seul choix était de prendre le chemin ou non. Je pense que l'attaque est meilleure en l'empruntant le plus possible.
Papillon : je n'anticipe pas assez les zones de postes et je me trouve plusieurs fois à perdre du temps en approche pour rien. Peut mieux faire !
Choix 13-14 : je prends la trace la plus directe, cela passait bien.
Postes 17-18 : la route permet de bien courir et l'attaque est béton.
Vient ensuite le plus beau choix... pour aller au poste 19 : en voyant Karine devant moi partir tout droit, je me suis dit que ce serait très bien de tester la route, même si le trajet semblait pas mal long. Au bilan, je fais une entrée-sortie qui me fait déjà connaître le poste suivant, et je monte régulièrement sur la route. Je ne suis pas sûre que ce soit le plus rapide, mais il fallait tenter !
Restait la boucle finale très intéressante, où j'ai malheureusement bien dévié en allant au poste 23... dans le blanc en croyant que j'étais dans le vert avant le rentrant que je voulais remonter jusqu'au chemin.
On était tous bien fatigués, et le débalisage a eu raison de la course de nuit pour moi. Cela m'a permis de profiter plus longtemps de la magnifique voûte céleste qui s'étendait au-dessus de nos têtes... avec une voie lactée éclatante et un ciel d'une pureté rare... non sans me rappeler que je voulais être astrophysicienne quand j'étais petite !
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Céline DODIN
Rédigé par Céline DODIN le 16/01/2007 à 22:41
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Actualités
Après Albertville 92... Caen 92
J'ai eu la chance d'être recontactée dernièrement par mon prof de sport de collège, André LAURENT, qui m'a suivie en UNSS à La Bresse pendant 4 ans. Il a fait un travail remarquable et c'est une vraie encyclopédie de l'historique sportive de tous les petits bressauds qui sont un jour passés par le collège des Boudières et ont fait de l'UNSS. Cela m'a fait bien plaisir d'avoir de ses nouvelles, et les montages qu'il m'a transmis (dont vous pouvez en voir un exemplaire !) sont bien sympas ! Du coup, cela m'a donné envie de me re-pencher sur mes débuts en sport....
26 février 1979, je fais un effort exceptionnel pour découvrir ce nouveau monde qui s'offre à moi...
Avec un Papa moniteur de ski et prof de sport, on peut dire que j'étais prédisposée à faire un jour du sport... et c'est à 1an 1/2 que j'ai commencé à glisser sur les flocons entassés de nos belles pentes vosgiennes, à Lispach sur ma commune de La Bresse. Le ski alpin est resté un "virus", et j'ai fait de la compétition de poussine (les microbes n'existaient pas encore ;), d'ailleurs, à quand les virus ?? ) jusqu'à 18 ans... entraînement hivernal mardi soir, mercredi, vendredi soir, samedi et dimanche compét, c'était un bon petit rythme !
Entre temps, j'ai testé la gym... 1 an "pour faire comme les copines", mais je crois que c'était vraiment pas mon truc... et puis je me suis mise au "swing golf" pour faire un sport en période autre qu'hivernale. Le problème, c'est que c'était pas assez physique, et je courais entre les balles... du coup quand j'ai découvert la CO, pas tout de suite encore, y'a pas eu photo et j'ai fait mon choix bien rapidement !
Avec toujours beaucoup de randonnées avec mes parents et mon frère dans les Alpes...
A 10 ans, je me suis mise au Catamaran, en Bretagne. C'est un type de bateau où on peut avoir vraiment de super sensations de vitesse, et je suis tombée amoureuse du Hobbie Cat 18 Tiger qui est vraiment un très très bon bateau... quel plaisir de fleurter avec l'eau et jouer avec le vent en étant barreur et équipier au trapèze... que du bonheur ! Je vous conseille ! J'en ai fait au moins pendant 8 ans.
Et puis, vient le collège et la découverte de l'UNSS. Je trouve que c'est vraiment un super concept, qui permet de découvrir une multitude de sports, mais par périodes dans l'année et sans faire une suraccumulation d'activités. Du coup, après, rien ne nous empêche de continuer dans le sport qui nous plait, mais en ayant découvert à petites doses tous les autres. J'ai donc pu faire entre autres : du basket, du Hand, du cross, de l'athlétisme, du ski alpin, du ski de fond, du ski combiné... et j'ai découvert en 4ème la course d'orientation ! Encore merci Yolande ! C'était comme si c'était le sport que j'avais toujours cherché, ce n'étais plus seulement courir, comme en cross ou en athlé, mais se remettre en question à chaque poste... et ça, c'est vraiment génial d'essayer à tout moment de "dompter" le terrain !
Mes années collège m'ont fait découvrir pas mal de sports, et j'ai eu la chance d'être qualifiée à 2 chpts de France en ski aplin, 2 en ski de fond, 2 en athlétisme, et 1 en course d'orientation à Blois, pour ma première année de CO. 2 championnats ont été annulés par manque de neige, en Alpin et fond à Barcelonnette en 1993. Que de découvertes et de voyages, je me souviens très bien d'un départ, celui des jeux de l'avenir à Caen, j'étais en 3ème, et nous sommes partis de La Bresse juste après l'épreuve de Maths du brevet !
Ensuite... et bien en 1994, j'ai fait 2-3 compétitions de CO, par ci par là, et ma 1ère nationale où j'ai terminé 2ème... je m'étais régalée, pas de fautes, j'avais juste vu une petite fille en forêt que j'avais recalée... mais c'était la chance du débutant et ça a pas continué ! Il a fallu que j'aille en prépa pour que je progresse techniquement (!). Je faisais alors footing le mercredi à la "pépinière", et 1h30 de bad puis 1h30 de volley le vendredi soir, pour terminer par une compet de CO le WE. J'ai été repérée en groupe France B, et après mes concours, une fois à l'école des Mines de Nancy, j'ai enfin eu le temps de m'entraîner : footing pour aller à l'escalade le mardi, badminton et volley le mercredi, CO le jeudi matin, rock à 6 temps le jeudi soir à 20h, rock acrobatique 4 temps le jeudi soir à 22h, et compets de CO le WE.... j'ai alors eu la chance de faire mon 1er stage de CO en février 2001 avec le groupe France en Italie (j'avais eu bien froid d'ailleurs...), d'être prise en charge par un entraîneur, Robert MONSCHEIN, puis de faire ma première compétition "équipe de France" en octobre de la même année avec la coupe des pays latins en Roumanie. Ensuite, circuit coupe du monde en 2002, mes premiers championnats du monde en 2003 où je fais une 13ème place en Sprint à Rapperswill, et puis tout le reste...
Voili voilou... en fait c'est rigolo de se repencher dans les souvenirs...
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26 février 1979, je fais un effort exceptionnel pour découvrir ce nouveau monde qui s'offre à moi...
Avec un Papa moniteur de ski et prof de sport, on peut dire que j'étais prédisposée à faire un jour du sport... et c'est à 1an 1/2 que j'ai commencé à glisser sur les flocons entassés de nos belles pentes vosgiennes, à Lispach sur ma commune de La Bresse. Le ski alpin est resté un "virus", et j'ai fait de la compétition de poussine (les microbes n'existaient pas encore ;), d'ailleurs, à quand les virus ?? ) jusqu'à 18 ans... entraînement hivernal mardi soir, mercredi, vendredi soir, samedi et dimanche compét, c'était un bon petit rythme !
Entre temps, j'ai testé la gym... 1 an "pour faire comme les copines", mais je crois que c'était vraiment pas mon truc... et puis je me suis mise au "swing golf" pour faire un sport en période autre qu'hivernale. Le problème, c'est que c'était pas assez physique, et je courais entre les balles... du coup quand j'ai découvert la CO, pas tout de suite encore, y'a pas eu photo et j'ai fait mon choix bien rapidement !
Avec toujours beaucoup de randonnées avec mes parents et mon frère dans les Alpes...
A 10 ans, je me suis mise au Catamaran, en Bretagne. C'est un type de bateau où on peut avoir vraiment de super sensations de vitesse, et je suis tombée amoureuse du Hobbie Cat 18 Tiger qui est vraiment un très très bon bateau... quel plaisir de fleurter avec l'eau et jouer avec le vent en étant barreur et équipier au trapèze... que du bonheur ! Je vous conseille ! J'en ai fait au moins pendant 8 ans.
Et puis, vient le collège et la découverte de l'UNSS. Je trouve que c'est vraiment un super concept, qui permet de découvrir une multitude de sports, mais par périodes dans l'année et sans faire une suraccumulation d'activités. Du coup, après, rien ne nous empêche de continuer dans le sport qui nous plait, mais en ayant découvert à petites doses tous les autres. J'ai donc pu faire entre autres : du basket, du Hand, du cross, de l'athlétisme, du ski alpin, du ski de fond, du ski combiné... et j'ai découvert en 4ème la course d'orientation ! Encore merci Yolande ! C'était comme si c'était le sport que j'avais toujours cherché, ce n'étais plus seulement courir, comme en cross ou en athlé, mais se remettre en question à chaque poste... et ça, c'est vraiment génial d'essayer à tout moment de "dompter" le terrain !
Mes années collège m'ont fait découvrir pas mal de sports, et j'ai eu la chance d'être qualifiée à 2 chpts de France en ski aplin, 2 en ski de fond, 2 en athlétisme, et 1 en course d'orientation à Blois, pour ma première année de CO. 2 championnats ont été annulés par manque de neige, en Alpin et fond à Barcelonnette en 1993. Que de découvertes et de voyages, je me souviens très bien d'un départ, celui des jeux de l'avenir à Caen, j'étais en 3ème, et nous sommes partis de La Bresse juste après l'épreuve de Maths du brevet !
Ensuite... et bien en 1994, j'ai fait 2-3 compétitions de CO, par ci par là, et ma 1ère nationale où j'ai terminé 2ème... je m'étais régalée, pas de fautes, j'avais juste vu une petite fille en forêt que j'avais recalée... mais c'était la chance du débutant et ça a pas continué ! Il a fallu que j'aille en prépa pour que je progresse techniquement (!). Je faisais alors footing le mercredi à la "pépinière", et 1h30 de bad puis 1h30 de volley le vendredi soir, pour terminer par une compet de CO le WE. J'ai été repérée en groupe France B, et après mes concours, une fois à l'école des Mines de Nancy, j'ai enfin eu le temps de m'entraîner : footing pour aller à l'escalade le mardi, badminton et volley le mercredi, CO le jeudi matin, rock à 6 temps le jeudi soir à 20h, rock acrobatique 4 temps le jeudi soir à 22h, et compets de CO le WE.... j'ai alors eu la chance de faire mon 1er stage de CO en février 2001 avec le groupe France en Italie (j'avais eu bien froid d'ailleurs...), d'être prise en charge par un entraîneur, Robert MONSCHEIN, puis de faire ma première compétition "équipe de France" en octobre de la même année avec la coupe des pays latins en Roumanie. Ensuite, circuit coupe du monde en 2002, mes premiers championnats du monde en 2003 où je fais une 13ème place en Sprint à Rapperswill, et puis tout le reste...
Voili voilou... en fait c'est rigolo de se repencher dans les souvenirs...
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Céline DODIN
Actualités
Elles sont pas belles ???
Les françaises, finale de la coupe du monde de course d'orientation, Clermont-Ferrand, octobre 2006
Céline DODIN
Actualités
le 31 décembre 2006
Un grand soleil en levant les volets... ben il faut bien en profiter encore une fois avant qu'arrive la neige !
Alors direction Plan Lachat, au-dessus de Valloire, pour une petite balade en raquettes avec Céline et Nicolas, les autres joyeux lurons étant restés à St Jean de Maurienne... dommage pour eux. Du coup, c'est eux qui ont préparé le repas de nouvel an... pendant qu'on s'en mettait plein les yeux !
Le départ a été un peu plus loin que prévu... la route étant coupée bien en deçà de Plan Lachat. Cela nous a rajouté une bonne heure à notre périple à travers les montagnes du massif des Rochilles. Après une bonne petite grimpette les raquettes accrochées au sac à dos, l'épaisseur de neige a commencé à être vraiment importante un peu en aval du camp des Rochilles. La descente après le col des Cerces a été un régal à courir dans la grosse neige qui s'écrasait sous nos pas...
Les photos valent mieux que les mots, alors je vous laisse découvrir ces quelques endroits sympathiques de Haute Maurienne : galerie photo.
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Alors direction Plan Lachat, au-dessus de Valloire, pour une petite balade en raquettes avec Céline et Nicolas, les autres joyeux lurons étant restés à St Jean de Maurienne... dommage pour eux. Du coup, c'est eux qui ont préparé le repas de nouvel an... pendant qu'on s'en mettait plein les yeux !
Le départ a été un peu plus loin que prévu... la route étant coupée bien en deçà de Plan Lachat. Cela nous a rajouté une bonne heure à notre périple à travers les montagnes du massif des Rochilles. Après une bonne petite grimpette les raquettes accrochées au sac à dos, l'épaisseur de neige a commencé à être vraiment importante un peu en aval du camp des Rochilles. La descente après le col des Cerces a été un régal à courir dans la grosse neige qui s'écrasait sous nos pas...
Les photos valent mieux que les mots, alors je vous laisse découvrir ces quelques endroits sympathiques de Haute Maurienne : galerie photo.
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Céline DODIN
Actualités
le 29 décembre, dans le Champsaur...
Un petit téléski improvisé...
Première sortie de ski de rando...
Un soleil magnifique, des paysages grandioses, un régal pour prendre des photos, une ambiance super sympa... que du bonheur ! et plein de merveilles dans les yeux...
Merci à Philippe pour les cours de conversion "en amont".
Et merci Alexis pour cette très jolie balade !
Plus de photos
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Un soleil magnifique, des paysages grandioses, un régal pour prendre des photos, une ambiance super sympa... que du bonheur ! et plein de merveilles dans les yeux...
Merci à Philippe pour les cours de conversion "en amont".
Et merci Alexis pour cette très jolie balade !
Plus de photos
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Céline DODIN


