Céline Dodin - Bienvenue sur mon blog !

13-14 mars 2007, sous un magnifique ciel bleu


Paris la belle en l'an 2007
Avant d'arpenter les ruelles de la plus belle ville du monde à la recherche de jolis clichés sous ce soleil magnifique, direction une salle de blocs la veille... avec Philippe et ses collègues qui m'ont fait renouer avec la grimpe, après plus de 4 ans sans remettre les chaussons... juste parce que j'en ai jamais eu l'occasion, et pourtant j'habite à 10' des Dentelles de Montmirail (oups...).
Promis, je vais m'y remettre et profiter de ce superbe site avec les beaux jours du printemps !

Bon, la reprise a pas été super terrible, j'ai bien discuté avec Barbara, une orienteuse de Valence, rencontrée par hasard à Antrebloc, j'avais un super style de coureuse (et pas de grimpeuse... hum, je crois que je me suis fait remarquer !!!), mais j'ai retrouvé plein de sensations et c'était super sympa, et j'ai passé des voies avec un peu plus de style que sur la vidéo... promis, c'est vrai, c'était le tout début !!!
A refaire !

Vidéo : Attention, fichier très gros...
Débuts bien laborieux (33 Mo)
ça c'est nettement mieux (15 Mo)

Céline DODIN
Rédigé par Céline DODIN le 20/03/2007 à 22:57 | Commentaires (0) | Permalien

Dimanche 11 mars, par une superbe journée de printemps... pas au printemps !


Moyenne Distance du Trophée International Martin KRONLUND
Le jour se lève sur la planète... Espagne, sous un grand ciel bleu comme la veille et avec des températures qui promettaient d'être très agréables, même à 1000 m d'altitude !

Deuxième étape pour le trophée Martin KRONLUND, avec pour moi 2'30 de retard sur le 1ère... à essayer d'aller chercher, bien sûr !
Le fléchage nous emmène avec le mini-bus bien loin du départ, et nous mettons 20' à le rejoindre en scrutant de chaque côté du chemin les éléments qui nous permettaient d'imaginer comment allait être le terrain : technique, ça on l'imagine bien, et avec plein de jolis rochers, mais tout ce qu'on arrive à voir depuis notre marche d'approche, c'est de la forêt, encore de la forêt... et je dirais même plus, toujours de la forêt... mais pas de rochers ! Hum, on nous aurait menti ???
Et bien non... et y'en avait un paquet, mais ils étaient bien cachés... et pourtant ils étaient énormes ! En arrivant sur l'aire d'arrivée, nous nous installons comme des lézards sur la pierre, et me voilà partie en direction du départ... ça m'aurait presque mis en retard toutes ces émotions !!

10h46, c'était mon heure de départ. Je prends ma carte, et me voilà partie à l'assaut des magnifiques rochers... qui ne me semblent plus si magnifiques que ça finalement au bout de 2 postes (non, je plaisante, mais je les ai trouvés tellement beaux que j'ai décidé de rester plus longtemps dans la zone...). Je ne comprends pas du premier coup la cartographie, et je monte un peu trop tôt dans les rochers pour le poste 1. Par contre, pour le poste 2, je décide de passer par la droite du bloc rocheux, mais ce que je prends pour des falaises et des pierres est en fait la colline cartographiée sur la carte et je ne comprends pas trop, d'autant plus que je cherche une falaise... En m'avançant dans le rentrant, je finis par comprendre, mais j'ai un peu de mal à me forcer à remonter au bon endroit et je finis par perdre 1'30 dans l'histoire... pas cool le début, alors pour rattraper 2'30, ça risque d'être très chaud, mais il va aussi falloir préserver ma 2ème place !
Je pars sur le poste 3, trop sur la défensive, puis place à une autre orientation : tout droit à fond... Je m'arrête un peu avant le poste 4, avec des doutes sur ma direction car j'arrive presque sur le chemin et je ne vois pas le poste, mais il finit par me sauter aux yeux (il sont violents de nos jours... preuve mon nez un peu amoché en revenant du stage !). Je passe un peu trop haut sur le poste 5, me laissant entraîner par une zone de rochers non cartographiés, je vais sur le rocher en amont du poste 6 avant de redescendre sur le bon... bref, la course est bien loin d'être parfaite, mais je me rattrape par le régal des yeux que l'orientation et le terrain peuvent m'apporter.
J'enchaîne ensuite les postes 7 - 8 - 9 avec un peu moins de décalages. Je reperds un peu de temps au poste 10 en voulant trop assurer sur la droite, et me voilà sur le plus grand itinéraire qui me mène au poste 11 : je choisis d'aller tout droit (il n'y avait pas vraiment d'autre choix...), et je m'appuie sur tous les éléments en dessous du trait rouge. Je commence à mieux comprendre la cartographie dans cette zone, sachant qu'il nous avait été annoncé que les 2 zones Nord et Sud avaient été cartographiées par des personnes différentes à 10 ans d'écart, donc que le degré de détail était totalement différent sur la carte.
Pour aller à la 12, je passe à gauche du gros bloc rocheux (si si sur le terrain c'était énorme !).
Postes 14 et 15 à la boussole. Et catastrophe au poste 16 où je monte dans le 1er rentrant : je m'en rends vite compte en reconnaissant la zone que j'avais bien visitée au poste 2, mais mon erreur a été de vouloir alors attaquer mon poste par le haut, alors que les éléments étaient beaucoup plus faciles à interpréter si j'étais redescendue et montée dans le bon rentrant. Je perds plus de 2', et je termine la course en 30'03. Meilleur temps : 28'30 je crois, mais je préserve ma 2ème place au trophée !

Et après... séance photo sous ce joli ciel bleu, parce que c'était vraiment trop beau ! Je vais essayer de mettre en ligne prochainement dans la galerie photos un aperçu de ces merveilles !

Céline DODIN
Rédigé par Céline DODIN le 15/03/2007 à 21:26 | Commentaires (0) | Permalien

Samedi 10 mars – Jour 1 – Longue Distance


XXème trophée International d’Orientation Martin KRONLUND
Je bouleverse un peu l’ordre chronologique des articles, mais tant que c’est frais dans ma tête, je vais parler des deux derniers jours du stage FFCO en Espagne où nous avons couru à Peguerinos, dans la province d’AVILA et pas très loin de Madrid, le trophée international Martin KRONLUND.
Cette compétition s’étendait sur 2 jours, avec une longue distance le samedi et une moyenne distance le dimanche, le classement se faisant sur les temps cumulés des 2 jours. Les deux événements devaient être des WRE (World Ranking Event), mais les organisateurs n’ont a priori pas eu gain de cause dans leur demande auprès de l’IOF.

Samedi matin, nous partons de notre camping de El Escorial en direction de Peguerinos. Le parking et l’arrivée de la longue distance étaient directement dans la ville, et notre voiture était garée à côté du poste 100… Les températures commençaient à devenir clémentes, et c’était la première fois de la semaine que je courais sans Helly Hansen… malgré le soleil des deux derniers jours.
2,2 km pour le départ, me voilà partie pour m’échauffer, avec une heure de départ à 12h57. Cette petite marche nous fait beaucoup monter, et passer à côté d’un poste qui en fait était commun à tous les circuits pour nous faire passer la rivière avant d’attaquer les derniers postes aux alentours et dans la ville.
Nous avons une vue magnifique de la-haut ! voire même sur une partie de la carte où nous voyons des personnes chercher leurs postes. 12h57… c’est à moi. Nettoyage – contrôle de la puce – contrôle du numéro de puce et du dossard – prise des définitions – prise de carte, et c’est parti pour 8,4 km et 250m de dénivelée.

J’ai tout de suite du mal à rentrer dans la carte : cela faisait très longtemps que je n’avais pas couru sur du 1/15000ème… Je me dirige de la balise de départ en direction du poste 1, mais je suis un peu déboussolée par un muret que je ne comprends pas et qui, a priori, n'existait pas sur la carte. Je m'avance petit à petit, et je me retrouve sur quelquechose qui ressemblait bien à mon avancée à droite de mon poste 1... et c'était bien elle ! avec quelques hésitations, je descend dans le petit rentrant et je trouve ma première toile blanche et orange. Je négocie le poste 2 à la boussole : je tombe un peu trop haut sur le chemin et je redescend.
L'itinéraire qui suit est intéressant. Je décide de partir à droite de la "montagne". Ma première idée était de récupérer le chemin, mais je ne le trouve jamais (je ne suis pas assez montée), et finalement je fais une course complètement à flanc sans dénivelée inutile : je me recale sur les murets à 200 m du poste.
Je rate ensuite un peu la sortie du poste 3 : je vais directement dans le vert et je dois faire des acrobaties pour retourner sur la terre ferme.
Le trajet poste 4 - poste 5 se passe bien, je connaissais déjà un peu le flanc (!). Je pars ensuite sur le deuxième grand choix : je décide de passer à gauche de la colline, en longeant le muret, même si je dois monter un peu de dénivelée en trop. Je tombe ensuite sur le croisement de chemins, mais ma boussole me joue des tours... et je pars dans la mauvaise vallée (celle de droite), et je finis par tomber brusquement sur le chemin, bien loin du poste...
J'enchaîne ensuite les postes 7 et 8 avec des petites hésitations, et je manque de peu de passer à côté du poste 9 en étant beaucoup trop bas dans le flanc.
Après deux passages de "torrents" (et y'en a eu des chutes dans la rivière glacée !!), je suis un peu trop haute sur le poste 11, je cherche trop tôt le poste 13, mais surtout je ne vois jamais le chemin juste avant le poste 14 et je vais trop loin avant de me dire que la pente est vraiment très forte et que cela ne ressemble plus à la carte...
Après le poste 15, l'orientation devient une orientation de sprint... et il fallait maintenant courir... après 1 semaine de ski de rando et 1 semaine de stage, pas forcément facile, mais c'était bien de retrouver des sensations de sprint !!

Je termine ma course en 1h00'10" (décalage d'1' par rapport à l'heure officielle, d'où le temps officiel : 1h01'10"), 2'30 derrière la première.
Je fais une course correcte sans plus, les paysages étaient super sympas, et ça allait promettre pour le lendemain et la moyenne distance !!



Céline DODIN
Rédigé par Céline DODIN le 12/03/2007 à 22:02 | Commentaires (0) | Permalien

Dimanche 18 février 2007


EcoRaid : 2ème jour en pays ardéchois
Comme les résultats sont enfin tombés je vais pouvoir reprendre ma plume pour raconter nos péripéties sur le 2ème jour de l'EcoRaid dans les Monts d'Ardèche. Comme Fabrice avait un train assez tôt qui le ramenait en Alsace, nous étions partis du Lac de Devesset avant que les classements soient calculés, même si nous savions à peu près quand même ce que nous avions fait !

Dimanche matin, 7h00
, le réveil sonne après une courte nuit… et une douche froide la veille au soir.
Le briefing était prévu à 8h45, nous arrivons à 8h30 sur zone, pour nous laisser le temps de préparer les vélos, et de récupérer la petite pompe de réparation qui nous manquait dans notre paquetage (merci à l’équipe Sport 2000…). Grosse surprise quand j’arrive sous la tente de la logistique : Fabrice était en train de remplir un questionnaire sur l’écologie… oups, ça c’était pas prévu au programme ! Du coup je prends la feuille à mon compte pendant que Fabrice termine de se préparer, il avait déjà bien entamé les questions, et merci Mathieu pour le coup de pouce, avec aussi l’aide des panneaux de l’exposition sur l’écologie, finalement ça nous a fait 11 réponses justes (sur 15 je crois), donc 11 mn de moins au temps final compensé ! et ça, ça aurait pu peser très lourd dans la balance !

On part alors s’échauffer, sous la pluie, tout en entendant les dernières consignes de l’organisateur, et en jetant un œil sur le parcours du combattant… qui avait été re-tendu depuis la veille. Seulement 1 des deux équipiers allait y passer… Fabrice sera plus rapide que moi, ça c’est sûr !
Vers 9h15, c’est le départ officiel du 2ème jour du raid, avec des départs échelonnés toutes les 30’’ dans l’ordre inverse des classements de la veille.
Au programme :
· 16 km de VTT en suivi d’itinéraire avec des balises sauvages le long du parcours
Dans un ordre imposé par l’organisation, pour éviter les embouteillages :
· Tir à la sarbacane
· CO urbaine
· Trail Orientation d’environ 6 km

Et retour au lac de Devesset par une boucle de 8 km en VTT’Orientation.
C’est la première fois que je vais enchaîner des épreuves aussi différentes sans m’arrêter. Mais comme les portions ne sont pas hyper longues, il n’y a pas de raisons que cela ne passe pas, en s’alimentant bien au moment opportun.

Nous partons avant-derniers, 30’’ avant les leaders du premier jour du raid… enfin, on a failli partir derniers car Fabrice était parti faire un petit tour sans s’apercevoir qu’on allait prendre le départ… merci à un des organisateur de lui avoir tenu son vélo pour qu’il n’ait plus qu’à l’enfourcher sur la ligne de départ… hum, c’est pas sérieux tout ça !
16 km de VTT, ça va être sympa… en fait je déchante au bout de 300m, à la première plaque de neige… où je me retrouve à 4 pattes à côté de mon vélo sur lequel j’avais pourtant monté des pneus avec des bons crans… Bon, c’est pas gagné, car il va y en avoir des plaques de neige ! Du coup, nos poursuivants en profitent pour nous passer, et on ne les reverra plus sur cette portion.
Le parcours était très sympa, avec des petites montées- descentes dignes de terrains de collines, jusqu’à arriver sur le cauchemar de la journée : la voie de chemin de fer. On avait déjà rattrapé par mal d’équipes parties devant nous, et personne ne nous a doublé sur la voie, et pourtant elle n’était pas facile du tout à rouler avec les traverses de hauteurs inégales, laissant souvent apparaître des trous très profonds. Ce fut un enchaînement de quelques mètres à pied, suivis de quelques mètres sur le vélo, avec la crainte de crever ici ou là. Finalement, on arrive au bout de ce labeur… et que voit-on ? des équipes que nous avions doublées qui ressortent d’un magnifique chemin en amont de la voie… alors que le suivi d’itinéraire passait par la voie… Il n’y avait pas de balise sauvage sur cette portion, et alors là on s’est sentis un peu déboussolés !!!!

Finalement, nous voilà arrivés au gymnase de St Egrève, un peu déçus du comportement des équipes, pour enchaîner les épreuves de sarbacane, CO Urbaine et Trail’O.
On nous dirige d’abord vers la CO urbaine (désolée, je n’ai pas encore réussi à récupérer la carte, mais dès que je l’ai je la met en ligne). Elle s’est faite sur un plan cadastral pas mal du tout à une échelle 1/5000e, sous forme de course au score. Une carte pour deux, nous partons, avec Fabrice qui orientait. Dur dur d’enchaîner direct la course après le vélo… mais c’est parti dans les rues de St Agrève, car on sait que c’est sur une épreuve comme celle-là qu’on peut gagner du temps. Nous enchaînons les postes sans trop de problème, jusqu’à arriver au dernier et vérifier que nous avions bien tout. Et là, c’est le drame… il nous manquait 1 poste, le plus éloigné de la carte, que nous avions oublié car la carte était pliée… Demi tour au Sport 2000… et 4’ de perdues au moins. Aïe Aïe Aïe…
Mais bon, tout n’est pas perdu, on avait quand même 19’ d’avance sur les 2ème en mixte à l’issue du 1er jour.

La roulette russe nous envoie ensuite sur le trail’O. Tout se passe bien, on revoit pas mal d’équipes, et surtout, Fabrice a été bien inspiré en nous faisant contourner le sommet avant le poste 18… car nous tombons directement sur ce poste, au niveau du col… (Finalement, ce poste sera supprimé de l’épreuve, beaucoup d’équipes ne l’ayant pas trouvé car il était mal placé). Nous enchaînons alors sur les autres postes, sans difficultés, et nous voilà de retour au gymnase, après avoir doublé l’équipe mixte 2ème la veille… mais au jeu des épreuves tournantes, on ne savait pas qui en était où ??

Dernière épreuve avant le retour : la sarbacane… on avait fait des tests la veille, mais je n’étais pas restée sur une note optimiste. Finalement, Fabrice commence, il fait 3 pts + 1 pt + 1 pt (cible divisée en 3 parties concentriques). La sarbacane me paraît plus légère que la veille, et je réussis à faire 2 pts + 1 pt + 2 pts… donc au total, nous avons 10/18 pts possibles : on a limité les dégâts et cela devrait bien aller !

Nous reprenons les vélos, et nous attaquons la dernière portion qui nous emmènera vers la ligne d’arrivée. 9 postes à prendre… nous ne savons pas alors dans quelle position nous partons, mais un routeur de l’organisation nous demande pourquoi on prenait cette direction car nous étions les 1ers à partir vers là… ???? On découvre alors quelques instants plus tard qu’en fait seuls les 1ers de la veille étaient devant nous, et donc qu’on avait remonté tout le paquet !! Chouette !! L’autre équipe n’était pas très loin devant nous car nous les voyons sur toutes les entrées sorties. Cela met un peu de pression, et bien qu’ils pédalaient plus vite que nous, nous étions toujours au coude à coude car ils faisaient des bêtises en approche. Fabrice galère avec son vélo en allant chercher un poste dans la forêt… alors que l’équipier de l’autre équipe laisse son vélo sur le chemin… un éternel yo-yo.
Nous arrivons au parcours du combattant 30’’ derrière eux, donc à 30’’ d’eux sur la ligne d’arrivée.

Les équipes arrivent ensuite une à une sur la ligne d’arrivée, pendant que nous nettoyons les vélos et que nous retournons au gîte pour prendre une douche chaude bien méritée.

A midi : repas bio… mangé au lance-pierre, car nous devions partir en direction de Valence pour que Fabrice ait son train à temps… qui le ramenait en Alsace.
Nous sommes partis avec nos paniers de produits bio locaux, miel, crème de châtaigne, fromage et autres joyeusetés… mais sans les classements définitifs, tout en étant pratiquement sûrs que nous serions 1ers du classement mixte, et 2ème au général (tout dépendait du questionnaire et des points de la sarbacane).
Les résultats sont maintenant disponibles sur le site : nous sommes à 4 mn en temps compensé de la 1ère équipe, donc c’est pas mal du tout pour notre 1er raid multisports à 2 enchaîné.

Cette épreuve était originale et bien sympathique, et vive les lasagnes bio !!


Céline DODIN
Rédigé par Céline DODIN le 09/03/2007 à 19:50 | Commentaires (1) | Permalien
Retour du pays du soleil levant... souvenir après le WOC au Japon en 2006
J'ai retrouvé ce dessin dans mes papiers. Je ne sais plus qui me l'a donné, mais je le trouve super sympa... alors ça aurait été dommage de ne pas le publier !

Pour le petite histoire, j'ai ramené au bureau, comme lors de la plupart de mes voyages, une spécialité du Japon.... et c'est tombé sur des poissons séchés qui ont siégé à côté du café pendant au moins 15 jours, avant que quelqu'un ne décide que le paquet avait fait le tour de ceux qui voulaient goûter. Triste fin de vie... pour ces poissons qu'un de mes collègues dégustait allégrement à raison de 1 par jour devant l'oeil ébahi de tous les autres !

Céline DODIN
Rédigé par Céline DODIN le 28/02/2007 à 22:10 | Commentaires (0) | Permalien
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