De pierres elle fit coussin, de nuages poétiques elle fit voilage ou séparation aérienne, imagina un arbre à picorer des fruits et autres gourmandises, et habitat les jardins de sièges comme des gouttes, lumineuses à la nuit tombée… Comme la nature dont elle se nourrit, Stéphanie Marin sait se renouveler et apparaître là où elle n’est pas forcément attendue. Et c’est en mer qu’elle s’illustre, faisant équipage avec le navigateur Jean-Pierre Dick et l’architecte Guillaume Verdier, le premier à la barre et le second au dessin d’un monocoque mêlant la sportivité d’un voilier de course et le confort d’un vaisseau de luxe. À tout espace fini ses contraintes et la voile n’en manque pas, d’autant qu’au delà de sa ligne racée, le JP54 exigeait de voyager léger, durable et confortable.
STÉPHANIE MARIN MET LE DESIGN À FLOTPar Barbara Poirette
Stéphanie Marin… Un nom qu’il est aujourd’hui facile d’imaginer prédestiné. Connue par le plus grand nombre pour ses Livingstones, la jeune femme a pris soin de ne pas laisser le succès retentissant de ses galets lester son imagination. C'est aujourd'hui à l'aménagement d'un voilier qu'elle s'illustre brillamment.10 Juin 2010
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