« En découvrant le désastre après l’incendie la surprise a été grande. Le feu n’avait pas détruit Deyrolle, il l’avait transfiguré. Les animaux carbonisés et paisibles m’ont rappelé les vestiges inestimables d’une civilisation disparue qui nous seraient parvenus miraculeusement. Et dans un mélange de noirceur extrême et de beauté étrange, les boiseries calcinées étaient devenues leur sarcophage » souligne Laurent Bochet.




