Outre l’esthétique touchante des photos de Laurent Bochet, l’exposition comme le livre qui relatent cet épisode tragique, se font porteurs d’un formidable élan de vie. L’exposition se tient sur les lieux du sinistre, là où le feu avait assouvi sa fureur, là où la couleur règne à nouveau, là où la diversité des pelages se mêle à nouveau à celle des plumages, là où les insectes rivalisent à nouveau d’extravagance, là où les histoires naturelles se content et se croisent à nouveau, dans ce lieu patrimonial et historique dont la magie n’a pas été consumée.




